Histoire de Paris, corporations métiers (D'après Paris à travers les âges, histoire nationale de Paris et des Parisiens depuis la fondation de Lutèce jusqu'à nos jours, paru en 1879) Louis IX. – Blanche de Castille – Les écoliers. – Sainte-Catherine du Val des Écoliers. – Les cordeliers. – Les Filles-Dieu. – Un clou perdu. – Saint-Leu-Saint-Gilles. – La Sainte-Chapelle – Le collège des bernardins. – Le départ. – Les Pastoureaux. – L'affranchissement des serfs. – Le collège des prémontrés. – Les jacobins et les bedeaux. – Les blasphémateurs. – Supplices. – Les filles de joie. – Les juifs. – Les chartreux. – Les métiers. – Le bourreau. Les pelletiers ou marchands de fourrures reçurent en 1183 du roi Philippe-Auguste dix-huit maisons confisquées sur les juifs ; ces dix-huit maisons étaient situées dans une rue de la Cité qui bordait la rivière et prit le nom de la rue de la Pelleterie ; cette rue fut supprimée lors de la construction du nouvel Hôtel-Dieu, et le Marché aux Fleurs occupe son emplacement. On dînait à midi.
16 - Angoulême Bienvenue sur le site des Archives municipales d’Angoulême Les archives municipales d’Angoulême viennent de faire numériser l’exceptionnel ensemble des délibérations municipales de 1488 jusqu’en 1910. Vous pouvez y accéder en cliquant ici. Les registres paroissiaux (1571-1792) ainsi que les registres de l’État-Civil (1793-1900) sont désormais accessibles en ligne. L’équipe des archives municipales Les archives municipales sont ouvertes au public du lundi au vendredi de 9H à 12H et de 13H30 à 17H. Programme trimestriel début 2014 Vous allez trouver sur ce site d’importants fonds numérisés (tels les registres paroissiaux et d’état civil). Les fonds numérisés : Vous pouvez dès à présent consulter les registres paroissiaux d’Angoulême (1571 – 1792) et les registres de l’état civil (1793 – 1900) en cliquant ici.
PAVILLON DE L'ARSENAL - Qui sommes-nous? Créé en 1988, le Pavillon de l'Arsenal, Centre d'information, de documentation et d'exposition d'Urbanisme et d'Architecture de Paris et de la métropole parisienne, est un lieu unique où l'aménagement de la ville et ses réalisations architecturales sont mis à la portée de tous. Au moment où les questions urbaines sont au cœur de l'actualité, il est essentiel que ces questions fassent l'objet d'une présentation pédagogique, attractive et génératrice de débats, permettant au citoyen de se situer au cœur du processus de la création architecturale et urbaine. Exposer l'urbanisme et l'architecture parisiens, documenter le plus précisément possible les visiteurs, éditer des livres de références sur des thèmes touchant à notre quotidien, donner la parole aux multiples acteurs qui font la ville, sont les actions mises en place par le Pavillon de l'Arsenal afin de permettre à un large public de comprendre l'évolution de Paris et ses projets.
Les PARIS d'Alain Rustenholz 95 - Pontoise L'Histoire par l'image - L'équipe Coordination Anne-Lise GUINCHARD, chef de projet, Réunion des musées nationaux - Grand Palais Florence VIELFAURE, chargée du multimédia, Direction générale des Patrimoines Conception, initialisation et développements Mireille GUILLAUME, chef de projet, Réunion des musées nationaux - Grand Palais Bernadette GOLDSTEIN, chargée de mission, Direction des musées de France Emmanuelle FRANCOIS, responsable éditoriale chargée des auteurs indépendants Benoît DESHAYES, chef de projet, Réunion des musées nationaux - Grand Palais Équipe éditoriale Responsable éditoriale Isabelle COURTY Webmestre Anne-Lise GUINCHARD Coordination technique Benoît DESHAYES Relecture des textes Jacqueline LETTERON Traduction des textes du hors-série franco-allemand Beate E. Ont également participé au site Comité de lecture Principaux auteurs
Charles POMEROL Histoire géologique de Paris à travers les noms de rues. TRAVAUX DU COMITÉ FRANÇAIS D'HISTOIRE DE LA GÉOLOGIE - Troisième série - T.I (1987) Charles POMEROL Histoire géologique de Paris à travers les noms de rues. COMITÉ FRANÇAIS D'HISTOIRE DE LA GÉOLOGIE (COFRHIGEO) (séance du 27 mai 1987) Au cours de sa longue histoire Paris a conservé, à travers ses noms de rues, non seulement la mémoire de son passé historique mais aussi celle de ses ressources en eau, des matériaux extraits de son sous-sol, de leur utilisation et de leur rôle dans la morphologie, sans oublier le nom de quelques-uns de ses enfants qui, devenus des savants, ont illustré les Sciences de la Terre. La substance de cet article est extraite du Guide géologique "Paris et environs. I. Les principales exploitations ont été celles du Calcaire grossier sur la rive gauche de la Seine, du gypse sur la rive droite, de l'argile plastique à Vaugirard et des alluvions grossières des terrasses de la Seine. 1°)-Emplacement d'anciennes carrières. 2°)-Argile. 3°)-Grès et graviers. 4°)-Sables. II.
2B - Bastia Registres Paroissiaux et Tables Décennales de l'Etat Civil de BASTIA Libre consultation Afin de faciliter les recherches des particuliers, des juristes, des historiens et chercheurs, des généalogistes, la ville de Bastia a décidé de mettre à la disposition de tous, les informations, libres de toute restriction réglementaire, contenues dans les documents de plus de 75 ans. Vous trouverez donc ici la retranscription des registres paroissiaux de Bastia concernant les naissances (de 1763 à 1804), les baptêmes (de 1707 à 1795), les mariages (de 1765 à 1804), les décès (de 1750 à 1805), tels qu'ils ont pu être retranscrits eu égard aux informations contenues et à l'état des documents originaux. Ainsi certaines années sont incomplètes, parfois inexistantes, des indications font défaut car illisibles. Vous trouverez également les tables décennales des années 1893 à 1932, récapitulatifs des naissances, mariages, divorces, décès, survenus à Bastia durant ces années. 1. 2. 3. 4. 1. 2. 3. 4.
Accueil Village Losserand | Bienvenue Liste des voies de Paris Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cet article présente l'histoire, les caractéristiques et les événements significatifs ayant marqué le réseau viaire de Paris, en France. Désignation et numérotation[modifier | modifier le code] Le nombre des rues progressant (309 au XIIIe siècle, 789 sous Louis XV)[1], l'ordonnance du du lieutenant de police René Hérault fait poser une plaque portant le nom de la rue sur chaque première et dernière maison de celle-ci. Le numérotage des rues est institué en 1805 par Nicolas Frochot, préfet de la Seine, qui classe les rues selon leur orientation par rapport à la Seine : si elles sont parallèles à la Seine, les immeubles sont numérotés de l'amont vers l'aval du fleuve,si elles sont perpendiculaires à la Seine, les immeubles sont numérotés depuis la Seine vers les faubourgs. En 1844, l'utilisation de plaques émaillées à fond bleu et lettres blanches est prescrite par Claude-Philibert Barthelot de Rambuteau, préfet de la Seine.