John Davison Rockefeller Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les autres membres de la famille, voir Rockefeller. John Davison Rockefeller ( – mort le à 97 ans) est un industriel américain, fondateur de la famille Rockefeller, qui a fait fortune dans l'industrie du pétrole. Il est le frère de William Rockefeller. Biographie[modifier | modifier le code] Début[modifier | modifier le code] Son père d'origine anglaise et allemande, William Avery Rockefeller (en), est un marchand itinérant, officier de santé vendant des « médicaments-miracles » (qui étaient en fait des flacons d'huile mélangée à du laxatif qu'il vendait sans scrupules sous ce titre, certains comme remèdes contre le cancer dont il se prétendait spécialiste)[2]. Protestantisme et capitalisme[modifier | modifier le code] Rockefeller, âgé de 18 ans Standard Oil[modifier | modifier le code] En janvier 1870, Rockefeller crée la société Standard Oil of Ohio, qui devient rapidement la raffinerie la plus rentable de l'Ohio. John D. John D.
Criminalisation dans le bastion pétrolier : Cameroun, Tchad, Gabon, Congo, Guinée Equatoriale L’approche du nouveau PDG d’Elf, l’ancien Directeur du Trésor et très balladurien Philippe Jaffré, celle du manitou André Tarallo (entre réseaux Foccart et Pasqua), celle des trafiquants en tous genres, experts en recyclage de royalties, ne sont pas identiques - même si elles se recoupent, plus ou moins fréquemment. Mais l’on observe que les principaux réseaux d’origine politique, loin de calmer le jeu, optent pour le tripot. Brefs aperçus. Les recettes pétrolières n’ont jamais été budgétisées pour, disait-on, " ne pas habituer les Camerounais à la facilité ". Notons au passage, et par pure coïncidence, que le Cameroun compte quelques gros brasseurs de liquidités. Pendant ce temps, un Biya de plus en plus contesté croit pouvoir s’en sortir en affûtant les divisions ethniques. Là encore, les chefs de clans sur lesquels la France parie successivement [8] ne se contentent pas de battre des records de cruauté [9] : ils jouent leur va-tout en exacerbant les rivalités ethniques. [3] Cf.
LBJ Killed JFK... American History and Politics Most of us knew Lyndon Banes Johnson as "LBJ" -- the tall man with the Texas accent who reluctantly assumed the responsibilities as the 36th president of the United States following the assasination of John Kennedy. Some of us remember him addressing the nation, looking like a sad hound dog, regretting that more American soldiers had died in the Vietnam War -- a conflict that divided the nation between Democrats and Republicans, between the old and the young and between the rich and the poor. Not many of us knew who Lyndon Johnson was before he was placed on the Kennedy presidential ticket in 1960. He was simply a senator from Texas. It was John Kennedy who took the spotlight, leaving LBJ in the shadows. Johnson was born in 1908 in Johnson City, Texas. In 1941, a young Lyndon Johnson tried and failed to be elected as the Texas Democratic Senator. Parr [right] controlled the votes in southern Texas. Six days after the polls had closed, the winner was still not decided.
1971 Émirats arabes unis Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. État des Émirats arabes unis دولة الإمارات العربيّة المتّحدة (ar) Dawlat al-ʾImārāt al-ʿarabiyyat al-muttaḥida (ar) Histoire[modifier | modifier le code] Préhistoire[modifier | modifier le code] De récentes découvertes faites dans les Monts Hajar permettent de retracer l'histoire des Émirats arabes unis à l'apparition des premiers hommes dans la région, il y a plus de 7500 ans. Conquête islamique[modifier | modifier le code] Devenu une véritable plaque tournante pour le commerce, le port d'Omana (à présent Umm al-Qaiwain), est utilisé par les marchands pour transporter leur marchandise de la Syrie et du sud de l'Irak jusqu'en Inde. En 630 après J. Conquêtes européennes[modifier | modifier le code] Au XVIe siècle, alors que les grandes puissances européennes se disputent le contrôle de l'océan Indien, les Portugais luttent contre les populations arabes de Julfar et d'autres ports dans le Golfe. Les États de la Trêve[modifier | modifier le code]
Iraq Petroleum Company Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Compagnie pétrolière fondée en 1927 et remplaçant la Turkish Petroleum Company pour l'exploitation pétrolière en Irak, l'IPC formait une société à capitaux occidentaux répartis comme suit : Cette compagnie détenait une concession sur la quasi-totalité du territoire de l'Irak et s'était développée dans d'autres pays du Moyen-Orient. Véritable État dans l'État, elle était quasiment le seul partenaire international de l'Irak, et fut nationalisée en 1971. Histoire[modifier | modifier le code] En 1912, plusieurs sociétés rivales s'unirent pour créer la Turkish Petroleum Company (TPC) afin d'obtenir une concession d'exploration pétrolière en Irak. L'établissement de la TPC n'élimina pas la rivalité parmi les actionnaires qui représentaient divers intérêts nationaux. L'accession du Royaume-Uni à un mandat sur l'Irak en 1920 ne garantit pas à la TPC une concession exclusive. Sources[modifier | modifier le code] U.S.
Le massacre des communistes indonésiens de 1965 : retour sur un des plus grands crimes contre l'Humanité du XXe siècle -- Histoire Secrète L'idéologie dominante ne se contente pas de ré-écrire l'histoire, elle pratique la mémoire sélective. A côté des crimes qu'elle commémore, ceux attribués aux forces communistes et progressistes, il y a ceux qu'elle passe sous silence, tente d'oublier. La sortie dans les salles françaises du banalement sordide The act of Killing nous rappelle un des plus grands massacres du XX e siècle, absents de nos manuels scolaires, de la scène médiatique, du débat historique : le massacre de masse des communistes indonésiens, en 1965. Les cadavres remontent désormais à la surface, en Indonésie même, où toute référence aux « événements de 1965 » était proscrite sous le dictateur Suharto et encore largement tue. Un rapport de la Commission indonésienne des droits de l'Homme (Komnas-HAM) a reconnu en 2012 pour la première fois le « crime contre l'humanité » qu'a constituée la répression anti-communiste de 1965. Le premier parti communiste du tiers-monde et l'alliance anti-impérialiste de Soekarno
16 mai 1916 Accords Sykes-Picot Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les accords Sykes-Picot, sont des accords secrets signés le , entre la France et la Grande-Bretagne (avec l'aval des Russes et des Italiens), prévoyant le partage du Moyen-Orient à la fin de la guerre (espace compris entre la mer Noire, la mer Méditerranée, la mer Rouge, l'océan Indien et la mer Caspienne) en zones d'influence entre ces puissances, dans le but de contrer des revendications ottomanes. L'accord[modifier | modifier le code] Le , faisant suite à un travail préparatoire épistolaire de plusieurs mois entre Paul Cambon, ambassadeur de France à Londres, et Sir Edward Grey, secrétaire d'État au Foreign Office, l'accord Sykes-Picot est conclu entre la France et le Royaume-Uni à Downing Street entre Sir Mark Sykes, et François Georges-Picot. Carte des accords Sykes-Picot Le Moyen-Orient est découpé, malgré les promesses d'indépendance faites aux Arabes, en 5 zones[1] : Le le gouvernement britannique répond[réf. nécessaire] :
[Affaire de Margerie, accident ou attentat ?] 1ère partie : un accident bizarre qui en rappelle un autre Préambule Un mois déjà, mais on n’en parle plus. « Accident ». Classé et oublié. Et pourtant… 21 octobre 2014, 23h57 (heure de Moscou) : le Falcon 50 transportant Christophe de Margerie, le patron de Total, percute l’engin de déneigement que conduit Vladimir Martynenko, un simple employé, sur la piste de décollage de l’aéroport moscovite de Vnoukovo. Dès le 25 octobre, sur le site vigile.net, Richard Le Hir s’interrogeait, en constatant une bien étrange similitude. Nos remerciements à lui et au site vigile.net de nous autoriser à reproduire ici des éléments que l’on ne trouve pas dans les médias grand public. Le Saker francophone 1ère partie : un accident bizarre qui en rappelle un autre Après le décès du PDG de Total dans des circonstances tragiques à Moscou, demandons-nous qui pouvait avoir intérêt à ce qu’il disparaisse. L’Affaire Mattei Rappelons les faits. Mais Mattei a pris quelques libertés avec la réalité. Il commence alors à s’intéresser au marché international du pétrole. Notes