Les relations avec les autres : une part de bonheur - Linkup Coaching - Centre Européen de Formation au Coaching Professionnel sur Viadeo.com Qu’est-ce qui nous pousse à entrer en relation avec nos congénères ? Il est dans la nature humaine d’établir des rapports avec les autres. La psychologie positive se concentre sur la qualité de la relation entre deux personnes et sur ses conséquences sur notre bonheur. Toutefois, nous n’avons pas tous le même seuil idéal de rencontres. Quel est le lien entre nos relations et le bonheur ? Lorsque il est demandé à des personnes d’énumérer les activités qui leur procurent du bien-être, du bonheur dans la journée, voici les réponses : • Etre avec des gens heureux• Etre avec des personnes qui s’intéressent à ce que l’on dit• Etre sexuellement attirant• Etre tout simplement avec des amis Quel rôles distincts jouent les amis, le conjoint et la famille ? Nos amis nous apportent une humeur positive. La famille, elle, nous donne de la protection affective. Nous avons besoin d’appartenir et de nous confier. Pour finir, vous pouvez vous poser ces quelques questions :
Nous ne sommes pas faits pour vivre seul! | Bonheur et société Rédigé le 2008-03-10 C’est la conclusion que je retire de ma dernière enquête. Je savais qu’il était important d’avoir une vie sociale minimale, mais l’intensité de cette dernière influence à ce point le niveau de bonheur que j’en suis un peu estomaqué et, avouons-le, un peu perplexe également. Imaginez! N’empêche, je dois admettre que c’est au contact des autres que l’on apprend, que l’on s’ouvre, que l’on reçoit et que l’on donne également. C’est un peu comme l’entraînement. Combien de fois laissons nous passer une occasion de sortir, de voir des amis ou des connaissances ou tout simplement d’aller au cinéma ou au théâtre. Alors, la prochaine fois que vous aurez une belle occasion de sortir (pas pour n’importe quoi et avec n’importe qui, on s’entend), donnez-vous donc le coup de pied là où je pense.
La bienveillance au travail, c'est possible ! Améliorer le bien-être Salles de jeux, de sport, jardins partagés, mise à disposition de paniers bio… Dans ce domaine, les entreprises ne manquent pas d’imagination pour chouchouter leurs salariés. Pour son entreprise nantaise de communication responsable, Alexandre Legendre a, par exemple, aménagé un poulailler et un potager, « pour s’occuper de la terre pendant les pauses et ne pas être toute la journée devant son ordinateur ». Ainsi, chez MMA, groupe de mutuelles et assurances, les salariés peuvent bénéfi cier de consultations psy, confidentielles et hors temps de travail, en cas de difficultés personnelles. LES PIÈGES À ÉVITER : « Attention à ce que l’entreprise ne soit pas toute-puissante en régentant tous les aspects de la vie de ses salariés à qui elle demande, en échange, d’être à sa disposition, prévient Éric Albert. Poser un cadre Il y a la charte de la parentalité, pour éviter les réunions importantes à l’heure de sortie de la crèche. Changer les comportements
Faut-il aimer son travail pour être heureux S’épanouir dans sa profession est une aspiration forte pour beaucoup d’entre nous. Mais parce que nous n’exerçons pas le bon métier ou que nous l’exerçons dans de mauvaises conditions, cela n’est pas toujours possible. Quelles sont les vraies raisons de nos frustrations professionnelles ? Et comment remettre le travail à sa juste place ? Christilla Pellé Douel Sommaire « Un châtiment pour le péché originel, que l’on s’efforçait d’accomplir le plus rapidement possible puis d’oublier dans l’alcool et la religion »… C’est ainsi qu’était autrefois perçu le travail, raconte Alain de Botton, écrivain et journaliste, auteur de Splendeurs et misères du travail. Ne pas se réduire qu'à son activité A découvrir A lire Splendeurs et misères du travail d’Alain de Botton Une réflexion fine, originale et pleine d’humour sur le monde du travail (Mercure de France). La Société malade de la gestion de Vincent de Gaulejac Le culte de la performance met tout le monde sous pression.
Le bonheur, tributaire de la société. | Guillaume Deloison Le bonheur, concept compliqué et riche en définition. Parfois l’assouvissement de tout les désirs et d’autres fois la réalisation de tout ce qui est « bien ». Dans chacune de ses définitions pourtant revient un élément qui est lui aussi omniprésent dans chacune de nos existences. La société. En effet, c’est elle qui détermine ce qui est « bien » ou « mal » pour chaque membre dont elle est constituée. comme un tracée vers le bonheur, les immeubles créent des lignes horizontales qui guide le regard vers ce ciel pure. Cette réflexion semble donc s’opposer totalement à une pensée sartrienne qui placerait la société comme un enfer : « l’enfer c’est les autres ». La société ne crée donc pas à proprement parlé le bonheur mais en définissant le « bien » et le « mal » et créant un système de valeur elle cristallise Un bonheur qu’il est souhaitable d’atteindre dans une société donnée. Guillaume Deloison. WordPress: J'aime chargement…
Le bonheur, c’est les autres! Qu’est-ce qui nous rend vraiment heureux? L’étude a plus longue de l’histoire rapportée par le psychiatre chercheur Robert Waldinger dans une conférence TED, est catégorique, il n’y a qu’une seule chose qui garantit et entretient le sentiment d’être heureux. Ce n’est ni la méditation ni l’argent: ce sont les relations sociales réjouissantes. Qu’est-ce qui nous rend vraiment heureux dans la vie ? Voir : Produire vs induire le sentiment d’être heureux En voici deux exemples : Richesse et célébrité: Selon Robert Waldinger, une étude américaine récente a demandé à des jeunes adultes de la génération Z quels étaient leurs objectifs dans la vie. 80% ont répondu « devenir riche » et 50% « devenir célèbre ». Ce qui est intéressant, c’est que ces deux aspirations auxquelles nous croyons et tenons fermement ne sont que des éléments de reconnaissance externe qui ne nourrissent qu’en apparence le sentiment d’être heureux. Le besoin de reconnaissance Ce n’est pas une surprise. Voir aussi
Le bonheur est un choix, en voici la preuve scientifique BIEN-ETRE - Une des hypothèses courantes des recherches en psychologie est que nous aurions un seuil de bonheur qui prédétermine en grande partie notre bien-être général. Nous orbitons autour de ce seuil, nous sentant plus heureux lorsque quelque chose de positif survient dans notre vie, et l'inverse, pour retrouver notre équilibre par la suite. Or, il se trouve que ce seuil peut, dans une certaine mesure, être recalibré. Bien que notre humeur et notre bien-être soient en partie déterminés par des facteurs génétiques et culturels, les experts s'entendent pour dire qu'environ 40% de notre bonheur dépend entièrement de nous-mêmes. Lire aussi:» Les 6 critères du bonheur selon l'ONU » 13 astuces prouvées scientifiquement pour se sentir heureux Voici donc huit stratégies pour prendre votre bonheur en main Essayez. Même un tout petit effort peu faire considérablement augmenter votre bonheur. Faites de votre bonheur votre priorité numéro un. Choisissez la pleine conscience. Soyez reconnaissants.
Relation à soi / aux autres: le cocktail indispensable Nous sommes alors beaucoup plus à même de vivre sans nous cacher derrières des masques, sans avoir peur du jugement d’autrui, sans nous sentir obligés d’avoir recours à la manipulation; plus à même d’agir avec authenticité, c’est à dire en cohérence avec nos valeurs, nos opinions, nos principes, nos envies, tout ce qui fait notre identité.Nous développons plus de confiance dans nos capacités à réussir ce que nous entreprenons, plus d’aptitude à nous apppuyer sur nos talents et à développer ceux qui ont besoin de l’être, plus de motivation et d’enthousiasme à passer à l’action avec plaisir et fluidité. Enfin, quelle que soit la carrière que nous choisissons, nous avons besoin des autres pour y réussir, qu’ils se trouvent être collègues, collaborateurs, salariés, patrons, partenaires, clients etc.Notre façon de nous positionner dans la relation dépend des personnes et des situations auxquelles nous sommes confrontés et elle est intimement liée à l’estime de soi.