Jacques Lecomte, Agnès Rebelle : regards croisés sur le bonheur | Le Blog de PRH France Une première rencontre, en 2014, avait mis à jour les points communs de leurs visions de l’homme et de la société. Jacques Lecomte et Agnès Rebelle, responsable de la formation des formateurs PRH, se sont rencontrés une nouvelle fois, à l’initiative du blog de PRH, pour échanger sur le thème du bonheur. Quelle est votre définition du bonheur ? Agnès Rebelle : Beaucoup de personnes confondent bonheur et plaisir : pour eux, vivre des plaisirs c’est être heureux. Bien sûr, il y a du plaisir dans le bonheur, mais tout plaisir n’est pas bonheur, et certains plaisirs ne vont pas dans le sens de la vie. Jacques Lecomte : J’adhère à ce que vous dîtes. Agnès Rebelle : Oui, c’est l’accomplissement de soi qui rend heureux. Jacques Lecomte : Le bonheur intègre une notion d’alignement. Agnès Rebelle : Cette notion de temps est importante. Jacques Lecomte : C’est très juste. Jacques Lecomte : Vous évoquez le souffle de la vie, la vie inscrite en nous. Jacques Lecomte : C’est exact. J'aime :
Le bonheur est dans les relations (le malheur aussi) - Palo Alto et Cie Qu’est-ce qui nous rend heureux ou malheureux ? La plus longue étude jamais réalisée sur la vie humaine a rendu ses conclusions. Elles viennent confirmer le fondement de l’école Palo Alto : notre bonheur et notre santé sont interactionnels ! Les bonnes relations nous rendent plus heureux et en meilleure santé. Et inversement, des relations mal gérées provoquent le plus de souffrances et de mauvaise santé. Des hommes suivis pendant 75 ans de leur vie « A votre avis, que faut-il pour être heureux et en bonne santé ? Et vous, que répondriez-vous à cette question ? Devenir riche ? Pendant 75 ans, 724 hommes ont été suivis de puis leur adolescence jusqu’au soir de leur vie. « Ils sont devenus ouvriers, avocats, maçons, docteurs, l’un d’eux Président des États-Unis. Les bonnes relations nous rendent plus heureux et en meilleure santé. C’est le message tiré de cette étude sur 75 ans de vies humaines. Toutefois « bonne relations » ne signifie pas « lisses tout le temps », ni sans conflit ! WordPress:
Les lois du bonheur Depuis l’Antiquité, les philosophes se penchent sur l’art du bonheur. Depuis peu, les sciences humaines reprennent le problème sous un nouvel angle. N’existerait-il pas quelques facteurs fondamentaux – culturel, économique, social, relationnel et, pourquoi pas, génétique – qui prédisposeraient certains à être plus heureux, ou malheureux, que d’autres ? Le bonheur : de quoi parle-t-on ? « J’ai connu le bonheur, mais ce n’est pas ce qui m’a rendu le plus heureux », écrivait le malicieux Jules Renard. La mesure du bien-être Plutôt que d’en rester à des considérations générales sur le bonheur, des chercheurs ont entrepris de le mesurer objectivement (1).Depuis plus de trente ans, des méthodologies diverses – « life satisfaction » (satisfaction de vie) ou « well subjective being » (bien-être subjectif) – ont été développées pour mesurer le niveau de satisfaction. Les humains seraient programmés pour le malheur Certains sont nés pour être heureux La richesse ne rend pas plus heureux
La solitude .Le bonheur d’être seul L'expérience de la solitude conduit donc à mieux ressentir sa subjectivité. C'est pourquoi nous pouvons dire qu'il est difficile de se sentir seul puisqu'en réalité, dans la solitude, c'est avec nous-mêmes que nous sommes. Dans toute solitude, chez celui qui en explore toutes les facettes, il y a le bonheur d'être seul. Pour celui ou celle qui la cultive, la solitude procure une grande satisfaction, celle d'être avec soi-même, avec tout soi-même totalement et entièrement, sans distraction. En ces moments privilégiés, la solitude, côté éclairé de notre condition d'être séparé, illumine toute la personne. La solitude avec soi-même correspond à la facette glorieuse d'être avec soi-même. (3) C'est à l'intérieur de cet espace que la personne vit d'elle-même et avec ses propres ressources aucunement distraite d’elles par la présence de l'autre. Et plus il y a aussi de marginalité?
BONHEUR ET SOLITUDE SONT-ILS COMPATIBLES ? | BAC PHILO COOL DISSERTATIONS Le bonheur, c’est un état de complétude où l’on se sent heureux, en harmonie avec la nature et son environnement. Cependant, pour atteindre cet état d’osmose avec soi-même et l’existence, faut-il être seul(e) ou accompagné(e) ? Nous verrons que dans certains cas, il y a une nécessité de la solitude pour être heureux, puis nous verrons les limites de l’aspect bénéfique de l’isolement. La jalousie et l’envie sont des travers très répandus dans le genre humain, aussi le contact avec autrui est loin d’être toujours bénéfique. C’est pourquoi le philosophe Schopenhauer (philosophe allemand , XIXème siècle) dans Aphorismes sur la sagesse dans la vie disait même que « La sociabilité est un penchant dangereux et pernicieux … car il nous met en contact avec des êtres moralement mauvais, et intellectuellement bornés ou détraqués ». C’est ce qu’on appelle l’altérité. QUATRIÈME ARGUMENT : LA SOLITUDE EST BÉNÉFIQUE CAR ELLE PERMET LE RETOUR SUR SOI, LA RÉFLEXION . WordPress: J'aime chargement…
La recette du bonheur existe, c'est Harvard qui le dit ! En novembre 2015, lors d’une conférence TEDx, Robert Waldinger a révélé l’aboutissement d'une longue, d'une très longue étude. Pendant 75 ans, des chercheurs de la prestigieuse Harvard Medical School ont suivi à la loupe le quotidien de 724 hommes. Alors que, généralement, les études de cet acabit s’arrêtent au bout d’une dizaine d’années, faute de moyens, ici pas moins de quatre directeurs d’étude se sont succédés depuis 1938 pour mener à bien les recherches. La chaire sur le « développement de l’adulte » (Study of Adult Development) de l'université a passé au crible tous les aspects de la vie des participants. À intervalles réguliers, les scientifiques ont méticuleusement interrogé les patients sur leur travail, leur famille et leur santé. Un travail titanesque Le projet original était ambitieux, tant au niveau des fins que des moyens. Pour être heureux, connectez-vous à votre entourage Trois quarts de siècle se sont écoulés depuis le début de l’étude. À lire aussi :
Une gigantesque étude le prouve: l'amitié est la clef du bonheur et de la santé Vous êtes riche? Vous êtes célèbre? Ça ne vous empêchera pas d’avoir une santé pourrie, alors même que vos anciens copains de classe qui ont anonymement pointé à l’usine ou gratté du papier pour pas cher toute leur vie affichent une santé insolente à l’heure où sonne la retraite. Parce que eux, on les aime pour de vrai. Telle est la conclusion que l’on peut tirer d'une étude dirigée par le professeur Robert Waldinger et rapportée par le Washington Post. Robert Waldinger, psychiatre à Harvard, a repris en 2003 la direction de la Grant Study. Cette étude, la plus longue jamais réalisée sur le développement humain, a débuté en 1938. L’étude comptait au départ 724 participants. Waldinger était parvenu à cette conclusion depuis longtemps lorsqu’il est devenu le quatrième directeur de cette étude en 2003. Dans sa conférence Ted, Waldinger souligne que les projections des médias sur ce qui fait le bonheur –l’argent et la gloire– ne sont pas les ingrédients ni de la santé, ni du bonheur.
Les gens intelligents mettent plus de temps à trouver l'amour Elles ont tendance à être un peu trop analytiques. Il y a plus de couples qui ressemblent à des partenaires sexuels que de personnes heureuses ensemble. Evidemment, les personnes intelligentes en sont pleinement conscientes. Elles passent du temps à analyser ce qui ne va pas dans la relation, sur ce que cela peut produire dans l’avenir, sur ce qui devrait être changé et comment. Elles s’interrogent aussi sur la meilleure façon de cultiver la romance. Surtout, elles se demandent si elles sont avec la bonne personne. Elles savent qu’il vaut mieux être seul que mal accompagné Il n’y a rien de honteux dans la solitude. Les personnes intelligentes peuvent avoir tendance à être intimidants Une personne qui excelle dans son domaine peut paraitre intimidante. Les personnes intelligentes savent se protéger Les personnes intelligentes peuvent être plus anxieuses que la moyenne, ou tout du moins sentir plus facilement le danger d’une situation donnée. Source et crédit photo
La peur de la solitude en amour les effets souffrants de la dépendance affective Depuis 21 ans à présent que j’exerce ma carrière, notamment en tant que formatrice en santé, mieux-être, joie de vivre et libération émotionnelle, j’ai pu observer toutes sortes de personnalités et analyser leurs réactions, leurs besoins, leurs souffrances. J’ai toujours apprécié me former pour mieux aider et mieux comprendre la nature humaine. C’est en ce sens qu’aujourd’hui je partage avec vous cette réflexion sur la solitude. Comment vivez-vous la solitude ? Avez-vous de la difficulté à demeurer seul un certain temps, par exemple suite à une rupture amoureuse ? Ressentez-vous le besoin d’être avec quelqu’un au plus vite ? J’ai la philosophie de toujours me demander ce que telle ou telle situation m’apprend sur moi (sans trop analyser quand même !) Êtes-vous dans une relation personnelle ou professionnelle qui ne vous satisfait plus et y demeurez-vous malgré tout ? La solitude bienfaisante Pourquoi avoir peur de la solitude quand elle peut devenir une solide alliée ? Quitter ou rester
13 techniques pour ne jamais abandonner La principale raison qui fait que les gens n’obtiennent pas ce qu’ils veulent, c’est qu’ils abandonnent trop tôt. Ca peut être n’importe quoi, mais souvent le schéma est le même : vous n’avez pas obtenu ce que vous vouliez alors vous avez abandonné. Arrêtez d’abandonner ! La persévérance est de ces qualités qui font la différence dans une vie. Une qualité, ce n’est pas de l’inné. Voilà quelques techniques pour apprendre à être persévérant et vous aider à ne pas baisser les bras à la prochaine difficulté. 1- Faites du sport Ca peut paraître surprenant comme premier conseil pour ne pas abandonner. Vous pouvez aussi faire une séance de musculation en salle. Vous avez là l’occasion de découvrir des limites physiques, de persévérer quand ça devient difficile. Qu’est-ce que vous attendez pour faire du sport ? 2- Inspirez-vous des exploits des autres Qu’est-ce que vous êtes capable de faire ? Vous êtes une personne parmi tant d’autres. Regardez quelqu’un faire quelque chose qui semble impossible.