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Agissons pour le développement Durable

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Reporting RSE : les entreprises de plus de 500 salariés concernées en 2013 Le projet de décret, soumis jusqu'au 24 mars à consultation, fixe un seuil de 5.000 salariés en 2011 pour les entreprises devant rédiger leur rapport annuel social et environnemental. Ce seuil passerait de 2.000 salariés en 2012 à 500 en 2013. La loi sur les Nouvelles Régulations Economiques (NRE) de 2001 demandait déjà aux 700 entreprises françaises cotées sur le marché de publier leur rapport annuel sur leur responsabilité sociale et environnementale (RSE). Recul de la loi Grenelle 2 sous pressions du patronat Initialement prévu pour toutes les entreprises de plus de 250 salariés, le seuil a donc, au fil de l'examen du projet de loi Grenelle 2, été relevé à 500 salariés puis disparu du texte avant d'être rehaussé à 5.000 salariés (soit quelque 270 sociétés) à la demande du Medef et de l'AFEP (Association française des entreprises privées). En 2012, ce sera au tour des entreprises dont le C.A. est de 400 millions d'euros et le nombre de salariés supérieur à 2.000.

Des usines d'insectes pour nourrir les Chinois LE MONDE | • Mis à jour le | Par Harold Thibault ((Kunyang, province du Yunnan) et Chine) (envoyé spécial)) Li Jinsui ne manque pas d'ambition. Il fait fièrement visiter l'usine d'insectes pour laquelle il a déposé sept brevets et investi l'équivalent de 250 000 euros de sa poche. Sur les hauteurs de Kunyang, cité satellite de Kunming, la capitale de la province du Yunnan (sud-ouest), la production a réellement débuté en 2009. Aucun de ses invités n'échappe à un plat de vers de bambou, affichés à son catalogue. Li Jinsui, un précurseur ? Les qualités nutritionnelles – protéines, minéraux, etc. – des insectes sont importantes. M. Ses recherches l'ont conduit à se focaliser sur une espèce : la mouche. Li Jinsui n'est pas le seul à avoir fait tous ces calculs. Pour le moment, M. Reste toutefois à peaufiner ses recherches et à parvenir à nourrir les mouches de son de riz et non de déjections animales, comme c'est le cas à présent, ce qui les rend impropres à la consommation humaine.

Josh Tetrick - L'homme qui va changer votre façon de manger A la tête de la start-up Hampton Creek, Josh Tetrick, 34 ans, entend nous faire manger des aliments plus sains, plus économiques, moins coûteux en eau et plus respectueux des animaux. Comment ? En cherchant une alternative à nos denrées traditionnelles dans les 18 milliards de protéines végétales existant sur Terre. Tout est parti d’un constat : 90 % de la production ­annuelle d’œufs provient de poules élevées en batteries. Pendant deux ans, ces poules (les mâles sont « détruits » à la naissance) sont gavées de maïs et de soja. Une nourriture elle-même extrêmement coûteuse en eau, en ­engrais, en pesticides, en CO2 et en surfaces agricoles. Son intuition : éliminer les œufs de notre alimentation en les remplaçant par des protéines végétales « Le système de production alimentaire mondial est absurde, inefficace. Paris Match. Ces ersatz ne sont-ils pas en contradiction avec notre obsession de manger des produits moins transformés et plus naturels ? Quel est l’enjeu ?

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