Le covoiturage ne doit pas être rémunéré La Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) rappelle, dans un communiqué du 7 février 2014, que le covoiturage est licite à condition qu’il soit gratuit ou que l’argent versé par les personnes transportées corresponde à un partage des frais générés par l’utilisation du véhicule. Dans un arrêt rendu le 12 mars 2013, la Cour de cassation s’était en effet prononcée sur le caractère licite du covoiturage. Ayant constaté une baisse subite de la fréquentation de ses autocars, une entreprise de transports avait intenté un procès à une dizaine de salariés d’une société. Elle leur reprochait de ne plus emprunter ses autocars et d’avoir organisé un covoiturage pour se rendre de leurs lieux de résidence à leur lieu de travail et de créer ainsi une situation de concurrence déloyale. La DGCCRF recommande aux utilisateurs de sites de covoiturage sur internet à être vigilants.
Livraison de colis entre particuliers | Bring4You RSE et formation Les organismes de formation peuvent, comme toute autre entreprise, s’emparer de la question de la RSE. Ils sont en la matière soumis aux mêmes obligations réglementaires de reporting, lorsqu’ils sont cotés en bourse ou atteignent un chiffre d’affaires de 100 millions d’euros, et un nombre moyen de salariés permanents d’au moins 500 personnes. Ceci ne concerne néanmoins qu’une très petite partie des organismes de formation privés (en 2011, selon la Dares, seuls 1 % des organismes de formation réalisaient un chiffre d’affaires supérieur à 3 millions d’euros). Les organismes de formation peuvent également s’engager volontairement dans une démarche de RSE, en s’appuyant éventuellement sur les différents outils à leur disposition (norme Iso 26 000, GRI, etc.). La Fédération de la formation professionnelle (FFP) a également élaboré une charte RSE, visant à engager ses adhérents et leurs collaborateurs dans une démarche appliquée à leur activité de formation professionnelle.
RDEX | FEDUCO 4 opérateurs de covoiturage (Ecolutis, Roulez malin, Covivo, Covoiturage.com) se sont réunis pour concevoir et expérimenter un protocole d’échanges de données du covoiturage. Baptisé RDEX (Ridesharing Data EXchange), ce standard a pour vocation de faciliter les échanges de données de covoiturage afin de mutualiser les centaines de services existants en France et en Europe. Complètement ouvert, ce standard a été conçu pour permettre une interactivité sans dépendance à la mode des réseaux P2P. Il ne s’agit pas de rejoindre un groupe de partage de données, mais de construire des accords bilatéraux entre plate-formes. 100% décentralisé, ce protocole ne s’appuie sur aucune infrastructure commune. Si elles le souhaitent, les collectivités pourront ainsi très facilement ouvrir leurs données covoiturage. Roulez Malin, Ecolutis, Covoiturage.com et Covivo ont participé à la rédaction des spécifications et sont en mesure d’intégrer ce protocole. Contacts
L’autre covoiturage, entre le domicile et le travail Le potentiel est gigantesque. Chaque jour 23,2 millions de Français quittent leur domicile et se rendent sur leur lieu de travail par différents moyens de transport. Selon une étude de l’Insee publiée en février dernier, 70 % d’entre eux utilisent leur voiture pour ces trajets du quotidien. Et dans les zones rurales, plus de huit salariés sur dix ont recours à l’automobile pour rejoindre leurs bureaux. Dans la majorité des cas, ils sont seuls au volant – les consultants et les professionnels de la mobilité les appellent les « autosolistes ». Fort de ce constat, le gouvernement a décidé de privilégier le covoiturage domicile-travail. L’Etat a décidé de montrer l’exemple en proposant un forfait mobilité durable de 200 euros à l’ensemble de ses agents. Des frais divisés par deux Pour les salariés comme pour la société dans son ensemble, le covoiturage a de multiples avantages. Bénéfique à l’ensemble de la population, le covoiturage l’est aussi pour le portefeuille des covoitureurs.
Formation en développement durable - Le guide complet Pour les personnes engagées dans la sauvegarde de l’environnement, quelles sont les formations menant aux métiers du développement durable ? Réponse ci-dessous. Quelles sont les formations en Développement Durable ? Selon la définition officielle des Nations Unies, le développement durable renvoie au « développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs ». Le développement durable est au cœur des préoccupations des sociétés actuelles. On trouve ainsi des formations de bac+2 à bac+8 telles que : Les étudiants ont également la possibilité de suivre un cursus ingénieur dans une école spécialisée. Selon les établissements, ces diplômes peuvent être préparés en formation initiale, en alternance, et par correspondance. Les matières au programme d’une formation Environnement Dans une formation développement durable, les étudiants auront la possibilité de suivre des matières traitant de : Vous êtes déjà étudiant ?
BlaBlaCar BlaBlaCar[n 1] est une plateforme communautaire payante de covoiturage développée par la société Comuto. Son succès est largement dû à un soutien financier de TotalEnergies, qui lui verse de l'argent à chaque conducteur enregistré et lui achète des certificats d’économies d’énergie, avec l'aval discret de l'État[3]. Concept[modifier | modifier le code] Créée en 2004 par Vincent Caron (étudiant à l'ISTIA d'Angers) sous le nom de covoiturage.fr, il s'agit d'une plateforme de covoiturage mettant en relation des conducteurs et des passagers souhaitant partager un trajet en voiture et les frais associés. La mise en relation entre usagers, gratuite pendant de nombreuses années, est devenue payante en 2011. Historique[modifier | modifier le code] En 2006, Frédéric Mazzella[4] fonde avec Nicolas Brusson[5] et Francis Nappez[6], la société anonyme Comuto[7] qui deviendra la société mère de tous les services du réseau covoiturage[8],[9]. En avril 2013, BlaBlaCar se lance en Allemagne[16].
Transports en commun : Mobilités Les RER C et D ont été les premiers à voir leur régularité se dégrader avec la croissance du trafic, le manque d’investissements sur l’infrastructure et le vieillissement du matériel. Désormais, des problèmes de régularité redondants se posent également sur le RER B. Plan d'urgence C'est pourquoi le Département, après s'être dans un premier temps fait l'écho des usagers, a été à l’initiative d'un Plan d'urgence. Les schémas directeurs des RER C et D prévoient pour chacun d’entre eux des investissements à hauteur de 500 millions d’euros d’ici à 2020. Ces investissements sont destinés à améliorer la régularité de ces deux lignes, par exemple, sur le D, en supprimant les conflits de circulation en gare de Corbeil-Essonnes. Sur le C, la restructuration de la gare de Brétigny-sur-Orge vise à pouvoir à terme accueillir trois trains en terminus au quart d’heure au lieu de deux aujourd’hui. Améliorer la desserte Le Département défend également un développement du réseau.
Travailler dans le développement durable Réchauffement de la planète, pollution de l’eau, de l’air, des sols, réduction des ressources naturelles, augmentation du volume des déchets… Ces sujets environnementaux touchent chaque acteur (consommateurs, entreprises privées et publiques, associations, …) et de nombreux secteurs d’activité sont concernés. Qu’est-ce que le développement durable ? Quelles sont les possibilités de formation ? Zoom sur trois secteurs qui recrutent. Le développement durable, un concept large Concept au cœur de l’actualité, le développement durable a été défini dans le rapport Brundtland, émis en 1987 par la Commission mondiale sur l’environnement et le développement. Ainsi, trois éléments, qui constituent « les trois piliers du développement durable », doivent interagir de manière équilibrée : tout développement économique doit tenir compte de la dimension sociale et éthique, ainsi que de la préservation de l’environnement sur le long terme. Du vert dans votre carrière Place à l’éco-construction
COMUTO à PARIS (491904546) Extrait Kbis L'extrait Kbis représente la véritable « carte d'identité » à jour d'une entreprise immatriculée au Registre du Commerce et des Sociétés (RCS). Ce document, qui peut être défini comme l'état civil à jour des entreprises immatriculées au RCS, regroupe l'ensemble des renseignements que l'entreprise doit déclarer, et fait état, le cas échéant, des mentions portées par le greffier chargé de la tenue de ce registre. L'extrait Kbis est un acte authentique faisant foi des informations portées par la société au Registre du Commerce et des Sociétés. Pourquoi Kbis ? À quoi sert le Kbis ? Dans la plupart des cas, l'extrait Kbis demandé doit dater de moins de 3 mois. ATTENTION : Seul le document officiel commandé auprès du greffe, délivré et signé par le greffier du Tribunal de commerce, fait foi pour toutes les démarches administratives. L'extrait Kbis (ou Kbis) est le seul document officiel présentant l'ensemble des informations que l'entreprise doit déclarer.
Le Transport des élèves et étudiants handicapés - Se déplacer - Vous êtes jeune - Nos services Informations pratiques L'indemnité kilométrique Dans ce cas, les parents ou les élèves majeurs bénéficient d'une indemnité mensuelle sur la base d'un aller retour par jour de scolarité. Le double abonnement réseau urbain Dans ce cas, l'élève et l'adulte accompagnateur bénéficient d'une carte annuelle pour effectuer les trajets scolaires. L'organisation du transport spécialisé Dans ce cas, les élèves ont accès aux transports spécialisés assurés par les transporteurs commandés par le Département. Délais de mise en place du service : Ils sont de 15 jours après réception de la notification et des éléments nécessaires à l'organisation des transports (adresse, établissement, coordonnées téléphoniques, emploi du temps). Fiche d'exécution : Une fiche d'exécution de service retraçant l'ensemble des trajets est notamment complétée par les parents, le transporteur et par le chef d'établissement. Consultez le règlement des transports des élèves et étudiants handicapés
100 actions et bonnes pratiques RSE à mettre en place en entreprise Découvrez le top 100 des actions, conseils et bonnes pratiques à mettre en place dans le cadre de votre RSE. Vous voulez mettre en place une stratégie RSE dans votre entreprise mais ne savez pas par où commencer ? Vous n’avez aucune idée des normes et des règles qu’il faut respecter ? De ce que l’on doit et ne doit pas faire ? Voici 100 initiatives, actions ou bonnes pratiques à mettre en place dans le cadre de votre stratégie RSE. Exemples d’actions pour démarrer une stratégie RSE Il y a des centaines de façons d’aborder une démarche RSE et de la lancer. Les bases de votre stratégie RSE 1 – Nommer un responsable (et une équipe RSE) ou assigner des responsabilités RSE à des collaborateurs Que son poste soit responsable RSE ou qu’il s’agisse d’un ou de plusieurs collaborateurs à qui sont confiés des responsabilités RSE, il est important d’avoir une ou des figures identifiables dans l’entreprise pour chapeauter la RSE. 2 – Faire une analyse stratégique des besoins RSE de votre entreprise
Karzoo Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Logo du portail de covoiturage Karzoo Karzoo est un portail de covoiturage européen gratuit, lancé en 2007[1],[2]. Historique[modifier | modifier le code] 2007 : Création de Karzoo, par l'agence de communication h2a située au Luxembourg[11]. Le 5 juin 2009 : Le «Business Environment Award» est décerné à Karzoo, car il a permis de réduire l'impact environnemental des véhicules en Belgique. Le 26 novembre 2009 : Karzoo remporte le 1er prix de l'environnement dans la catégorie "Services" lors du "salon Contact" organisé par la Fedil - Business Federation Luxembourg[13],[14]. 2010 : Lancement du portail Karzoo Animalier[15],[16]. Description[modifier | modifier le code] Il propose de publier et de rechercher des trajets réguliers (domicile-travail etc.) et uniques (festival, vacances etc.). Cette plateforme communautaire peut être utilisée par des particuliers et des professionnels. Références[modifier | modifier le code]