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Dépression au travail: la faute de l'environnement, et non de la charge de travail

Dépression au travail: la faute de l'environnement, et non de la charge de travail
DÉPRESSION - Ce ne sont pas les dossiers qui s'entassent sur le bureau qui causent la dépression liée au travail. Une étude danoise publiée récemment dans trois revue, Occupational and Environmental Medicine, Psychoneuroendocrinology et The Scandinavian Journal of Work, Environment & Health, montre que c'est l'injustice vécue sur le lieu de travail et avec laquelle un patron traite ses employés qui entraînent des dépressions. "Nous avons tendance à associer dépression et stress avec pression et charge de travail; cependant, notre étude montre que cette charge de travail n'a en fait pas d'effet sur la dépression au travail", explique l'un des chercheurs de l'étude, le psychologue Matias Brødsgaard Grynderup, doctorant au département de médecine clinique à l'université Aarhus (Danemark). Lire aussi:» Bien-être : 5 conseils pour se sentir mieux sur son lieu de travail » La dépression pourrait être liée à une "allergie" au stress Sentiment d'injustice 12 conseils pour lutter contre le burn-out

Souffrance éthique au travail: signalez l’infraction à votre code personnel Rarement exprimée comme telle, la souffrance éthique est un des six facteurs de risques psychosociaux identifiés dans le rapport remis le 11 avril à Xavier Bertrand, Ministre du Travail, de l’Emploi et de la Santé. Pour éviter de la subir, signalez-la comme une infraction à votre code éthique personnel. La souffrance éthique confronte la personne à ce que l’on appelle, en langage psy, la double contrainte : quel que soit votre choix, quelle que soit la solution, ils ne seront jamais satisfaisants. Dès la première infraction, parlez-en à votre hiérarchie – car il s’agit bien de cela, d’une infraction à votre code éthique, d’une transgression inacceptable de vos valeurs morales (qui ne signifie pas que vous ayez raison ou tort). « Accepter une fois, une seule, un fonctionnement contraire à son éthique, c’est mettre le doigt dans un engrenage où le risque de perdre sa lucidité est grand », pointe Robert Zuili. Vous doutez des intentions de votre hiérarchie ?

Speed Nous ne cessons de gagner du temps. Et pourtant, au bout du compte, nous en avons de moins en moins. Cherchez l’erreur ! Bardés de nos appareils électroniques, nous filons d’un rendez-vous à l’autre. Stayzen’s Weblog RHZINE, arrive. « L’info dont vous avez besoin pour Decider Un mode d’accès collaboratif à l’info, au savoir est en route: RHzine. RHzine est votre E-magazine collaboratif pour partager, découvrir grâce aux recommandations, et opinions de la communauté des gestionnaires du capital Humain. Rhzine émerge à l’aube de l’organisation 2.0, à l’ère de la participation, de la collabor-action, de l’implic-action, du client interne, du capital humain. Rhzine vise à publier les études récentes dans le domaine du management Rh, à analyser et à décrypter les nouvelles tendances, à ouvrir le débat sur l’avenir de la fonction Rh à travers la prospective. Rhzine est disponible en telechargement ICI Dans une seconde Phase du projet Rhzine, un Réseau social regroupant les différents lecteurs/contributeurs ainsi que les acteurs du monde Rh et de l’économie de la connaissance sera mis en ligne. Like this: J'aime chargement…

Miroir Social Les salariés se mettent au vert 27 janv. 09 Thèmes: Rémunération globale, Emplois & compétences Même si les stratégies RSE sont, globalement, loin d'être au point, de plus en plus d'employeurs s’efforcent d’ancrer l'éco-citoyenneté dans l’entreprise. Une façon de mettre les comportements des salariés au diapason d’un discours environnemental. Certains ont déjà franchi le pas de l’incitation financière. [...] La crise a bon dos, l'environnement aussi Par Hélène Truffaut () Thèmes: Vie économique, Emplois & compétences Le coût de la mise en conformité aux normes environnementales justifie des restructurations.

L'absentéisme CV@nonyme - La solution professionnelle pour l'anonymisation des CV L'obsolescence programmée des employés «Le travail, c’est la santé», chantait hilare le regretté Henri Salvador. Aujourd’hui, il déchanterait sans doute! Comme la sociologue Sophie Le Garrec qui peine à voir en rose l’avenir des salariés… Bien que les conditions de travail se soient améliorées, les maux liés aux activités professionnelles n’ont jamais été aussi nombreux. Ce paradoxe existe notamment depuis l’apparition des nouveaux instruments de gestion, de ce que l’on nomme le nouveau management. Comment en est-on arrivé là? Il y a eu un basculement après les Trente Glorieuses. C’est le culte de la performance, c’est le chacun pour soi, c’est l’individualisme et l’injonction à être autonome. Avec le néolibéralisme, qui met le profit au centre, on est donc entré dans l’ère du «toujours plus» et du «jamais assez». Exactement. En fait, on demande à l’employé d’être adaptable, polyvalent, multitâche, connecté, infatigable, imperméable au stress et hyper-productif… Bref, d’être un vrai superman! Il faut nuancer. Tout à fait.

Des salariés seuls face aux injonctions paradoxales » Novethic : Dans votre livre, vous vous montrez critique sur l'utilisation généralisée du terme « risques psychosociaux ». Pourquoi ? V. de Gaulejac : Au cours de la précédente décennie, les notions de stress, de violence et de souffrance étaient prédominantes. Aujourd'hui, c'est celle de « risques psychosociaux » qui s'est imposée. Mais de quoi s'agit-il ? Que recouvre cette notion ? Quels sont les symptômes du mal-être dans les organisations aujourd'hui ? De plus en plus de salariés témoignent d'un mal-être profond lié aux transformations des organisations du travail et des pratiques de management. Quelles en sont les conséquences psychologiques ? Chacun vit une sorte d'infantilisation et d'instrumentalisation où on lui demande d'être à la fois autonome et de se conformer au système. L'obligation de sécurité de résultat se renforce pour les employeurs. Dans ce contexte de mal-être au travail, quelle est la responsabilité des managers ?

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