Mycènes Mythe[modifier | modifier le code] Mycènes est le royaume du héros homérique Agamemnon, chef des Achéens lors de la guerre de Troie[6]. Homère la décrit comme chère à Héra[7] et « riche en or »[8]. Histoire[modifier | modifier le code] Vue d'ensemble de la cité Mycènes donne son nom à la civilisation mycénienne[10], qui se développe à partir de 1550 av. L'habitat de l'époque n'ayant pas été préservé, l'origine d'une telle affluence de richesses ne peut faire l'objet que de conjectures. Le matériel et l'iconographie des tombes montrent que Mycènes est alors dominée par une aristocratie guerrière, dont les représentants affichent une taille et une force physique supérieures à la moyenne, sans doute grâce à une meilleure alimentation[13]. La cité est gouvernée par un monarque appelé « wa-na-ka » dans la langue mycénienne des tablettes en linéaire B, correspondant au mot (ϝ)άναξ / (w)ánax (« roi ») de la langue homérique. La disparition de cette civilisation n'est pas expliquée précisément.
Angkor Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Ces ruines sont situées dans les forêts au nord du Tonlé Sap, en bordure de la ville de Siem Reap. Classées depuis 1992 au patrimoine mondial par l'UNESCO, elles attirent plus d'un million de visiteurs par an, constituant ainsi la principale attraction du tourisme au Cambodge. Historique[modifier | modifier le code] Angkor préhistorique[modifier | modifier le code] Si l'histoire retient le IXe siècle pour la fondation d'Angkor, les ruines de ce site cambodgien ne seraient que la partie monumentale connue d'une présence remontant à l'âge du bronze et révélée la nécropole de Koh Ta Méas, datée d'au moins 1800 avant notre ère. Pas moins de vingt-sept sépultures ont été dégagées, avec leurs nombreuses offrandes. Ces fouilles ont été l'objet d'une exposition au Musée national de Phnom Penh jusqu'en février 2010. Hariharālaya (Rolûos)[modifier | modifier le code] L'empire khmer est fondé au début du IXe siècle par Jayavarman II.
sans titre Vendredi 19 mai 5 19 /05 /Mai 17:12 La ville de Pétra fut édifiée par les Nabatéens à la fin du VIIème avant JC. Ce peuple nomade trouva dans cette région de l’actuelle Jordanie les conditions nécessaires à leur installation et leur sécurité. Située au croisement des principales voies caravanières, Pétra devient un lieu de commerce où les caravaniers pouvaient trouver un asile sûr moyennant une taxe . L'histoire de la région de Pétra est fortement imprégnée des récits blibliques. Le Siq, étroite et sinueuse gorge creusé par un torrent, le Wadi Mousa, est le seul accès à la cité de Pétra. Aqueduc longeant la paroi du Siq. Al-Khazneh farum est le premier monument que l'on aperçoit en sortant du Siq. L'intérieur du Khazneh est beaucoup moins impressionnant que sa façade et bien éloignée du délire hollywoodien! Le Khazneh est aussi impressionnant du haut de la falaise. L'érosion éolienne a sculptée au fil du temps la roche de Pétra. Théâtre romain entièrement taillé dans la roche.
sans titre Pétra, le site le plus magique du Proche-Orient (élu parmi les nouvelles merveilles du monde par des millions d’internautes) est une double merveille, naturelle et architecturale. Naturelle d’abord, avec ses défilés, comme le Siq, et ses falaises de grés aux dessins colorés. Pétra tire son nom du grec « pierre » ou « roche », mais son premier nom était « Reqmu » qui signifie multicolore. Ces deux noms correspondent bien à la particularité de Petra où les grés des roches déchiquetées, façonnés par le vent et le sable, donnent au site son extraordinaire palette de couleurs qui s’étend du jaune au violet en passant par l’orange, le rouge, le vert et le bleu. Architecturale ensuite, avec ses vestiges romains, mais surtout avec ses imposants tombeaux, creusés puis sculptés dans la roche des montagnes par les nabatéens. Ce lieu magique a inspiré la littérature, dont Hergé dans une des aventures de Tintin (Coke en Stock), et le cinéma (Spielberg et La dernière Croisade).
Pétra Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour l’article homophone, voir Petra. Pétra (de πέτρα petra, « rocher » en grec ancien ; البتراء Al-Butrāʾ en arabe), de son nom sémitique[1] Reqem ou Raqmu (« la Bariolée »)[2],[3], est une cité nabatéenne pré-islamique de l'actuelle Jordanie située dans le Wadi Rum. Les nombreux bâtiments, dont les façades monumentales sont directement taillées dans la roche, en font un ensemble monumental et unique qui, depuis le 6 décembre 1985, est inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO. La zone autour du site est également, depuis 1993, un parc national archéologique. Géographie[modifier | modifier le code] Carte de la région Pétra est située à mi-chemin entre le golfe d'Aqaba et la mer Morte à une altitude de 800 à 1 396 mètres au-dessus du niveau de la mer, dans un fond de vallée de la région montagneuse d'Édom, à l'est de la vallée de l'Arabah. Plan détaillé de la ville[modifier | modifier le code] Géologie[modifier | modifier le code]
Site de Palmyre Valeur universelle exceptionnelle Brève synthèse Oasis du désert de Syrie au nord-est de Damas, Palmyre abrite les ruines monumentales d'une grande ville qui fut l'un des plus importants foyers culturels du monde antique. Mentionnée pour la première fois dans les archives de Mari au IIe millénaire av. La découverte des ruines de la cité par des voyageurs aux XVIIe et XVIIIe siècles a influencé par la suite les styles d'architecture. Critère (i) : La splendeur des ruines de Palmyre qui se dressent dans le désert syrien au nord-est de Damas témoigne de la réalisation esthétique unique d'une oasis caravanière prospère, tour à tour indépendante et soumise à Rome du Ier au IIIe siècle. Critère (ii) : La reconnaissance de la splendeur des ruines de Palmyre par des voyageurs aux XVIIe et XVIIIe siècles a eu une influence décisive sur le renouveau ultérieur des styles d'architecture classiques et de l'urbanisme en Occident. Intégrité(2009) Authenticité (2009)
Babylone Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Babylone occupe une place à part en raison du mythe qu'elle est progressivement devenue après son déclin et son abandon qui a lieu dans les premiers siècles de notre ère. Ce mythe est porté par plusieurs récits bibliques et également par ceux des auteurs gréco-romains qui l'ont décrite et ont ainsi assuré une longue postérité à cette ville, mais souvent sous un jour négatif. Son site, dont l'emplacement n'a jamais été oublié, n'a fait l'objet de fouilles importantes qu'au début du XXe siècle sous la direction de l'archéologue allemand Robert Koldewey, qui a exhumé ses monuments principaux. Depuis, l'importante documentation archéologique et épigraphique mise au jour dans la ville, complétée par des informations provenant d'autres sites antiques ayant eu un rapport avec Babylone, a permis de donner une représentation plus précise de l'ancienne ville, au-delà des mythes. La redécouverte de Babylone[modifier | modifier le code] Avant 539 av.
Pompei -Guide de visite- L'émotion ressentie en franchissant la Porta Marina, entrée de la ville de Pompéi fait naître l'envie de partager toutes les merveilleuses découvertes qui se dévoilent à chaque endroit de la ville. Marcher dans les rues, contempler le Forum, les Temples et Théâtres, entrer dans les Maisons et les Villas, imaginer l'animation de la ville... un pèlerinage aux sources de notre civilisation. Contemplari et contemplata aliis iradere
Chichén Itzá Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La présence d'une cité maya à cet endroit est due à la présence de deux puits naturels (cénotes) qui constituaient un trésor inestimable dans cette région dépourvue d'eau. Le site doit d'ailleurs son nom à cette source d'eau souterraine : Chi signifie « bouche » et Chén, « puits »[2]. Itzá (« sorcier de l'eau » en maya yucatèque) est le nom du groupe qui, selon les sources ethnohistoriques, constituait la classe dirigeante de la cité. À plus d'un égard Chichen Itzá demeure une énigme : sa chronologie, à cheval sur le Classique terminal et le Postclassique ancien, demeure floue ; l'identité des Itzá est incertaine et, surtout, la nature exacte des liens indéniables entre la cité maya et le Mexique central fait toujours l'objet de débats. Histoire[modifier | modifier le code] Époque préhispanique[modifier | modifier le code] Les premières traces d'occupation et de construction, à Chichén Itzá, ont été datées des VIIIe ou IXe siècle[3].
Machu Picchu Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Machu Picchu (du quechua machu : vieille, et pikchu : montagne, sommet)[note 1] est une ancienne cité inca du XVe siècle au Pérou, perchée sur un promontoire rocheux qui unit les monts Machu Picchu et Huayna Picchu sur le versant oriental des Andes centrales. Son nom aurait été Pikchu ou Picho[1]. Selon des documents du XVIe siècle, trouvés par l'archéologue italien Lucas Pittavino, Machu Picchu aurait été une des résidences de l’empereur Pachacútec. Cependant, quelques-unes des plus grandes constructions et le caractère cérémonial de la principale voie d’accès au llaqta démontreraient que le lieu fut utilisé comme un sanctuaire religieux[2]. Les deux usages ne s’excluent pas forcément. Abandonnée lors de l’effondrement de l'empire inca, Machu Picchu, la ville sacrée oubliée durant des siècles, est considérée comme une œuvre maîtresse de l’architecture inca. Localisation[modifier | modifier le code] Accès[modifier | modifier le code]