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Seconde Guerre mondiale : guerre d'anéantissement - Histoire-Géographie - 3e - Les Bons Profs

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Carte interactive des camps de la mort Dachau, the first camp. Auschwitz, where more than 1 million Jews, Roma (Gypsies), Poles, Soviet prisoners of war and others were killed. But as horrific as they were, they were only three camp complexes in a system of more than 850 ghettos, concentration camps, forced-labor camps and extermination camps that the Nazis established during the 12 years Adolf Hitler was in power. By the end of World War II in 1945, the death camp system stretched from France and the Netherlands in the west to Estonia, Lithuania and Poland in the east. There were 20 main concentration camps, many of which had many subcamps, according to Geoffrey Megargee, the editor of the U.S. Holocaust Memorial Museum's Encyclopedia of Camps and Ghettos. Many of them combined the most dehumanizing and degrading characteristics of prison and slave labor camps. There were also four main extermination camps -- Belzec, Chelmno, Sobibor and Treblinka -- devoted solely to killing everyone who passed through their gates.

QUIZZ Etude de cas : le ghetto de Varsovie (1940-1943) 1/2 Dates clés Automne 1939Début des persécutions antijuives dans le Gouvernement généralMai 1940Le quartier juif de Varsovie déclaré « zone d’épidémie »16 novembre 1940Le ghetto de Varsovie est en partie cerné d’un mur d’enceinte. 22 novembre 1940Création de l'Oyneg ShabbesJuillet 1942Création de l'Organisation Juive de Combat La création du ghetto Dès l’automne 1939, commencent les persécutions antijuives dans le gouvernement général. À partir du 1er décembre 1939, tous les Juifs âgés de plus de douze ans doivent arborer un brassard blanc où figure une étoile de David bleue. D’autres mesures, prises au cours de l’automne et de l’hiver 1939-1940, visent à isoler et à brimer : couvre-feu, interdiction de changer de domicile, de voyager en chemin de fer, confiscation des postes de radio, interruption fréquente de la distribution du courrier, interdiction de fréquenter les jardins publics, etc. Clos le 16 novembre 1940, le ghetto de Varsovie est en partie cerné d’un mur d’enceinte. Chiffres clés

La mémoire filmée de la Shoah | CNRS le journal Le documentaire «Shoah, les oubliés de l’Histoire» qui sera diffusé sur ARTE présente un point de vue poignant mais parfois insoutenable sur ce que l’on a appelé «la Shoah par balles». Valérie Pozner, spécialiste de l’histoire du cinéma russe et soviétique, nous en explique le caractère inédit. De nombreux documentaires et expositions ont déjà été consacrés à la destruction des juifs d’Europe entre 1940 et 1945. Fac-simile de Clichés des civils et soldats de l'Armée rouge tués, servant de support, sous le slogan "venge-toi !" Pourquoi les Soviétiques possèdaient-ils autant d’images ? Comment ces films s’insèrent-ils dans une tradition du cinéma de guerre soviétique ? Les Soviétiques ont pu filmer la Shoah beaucoup plus et beaucoup plus tôt que tous les alliés Ces opérateurs sont soumis à une double hiérarchie : celle du studio, civile, et celle de la direction politique de l’Armée rouge, car ils sont rattachés à un front et une armée précise. Quels films parviennent à l’Ouest à l’époque ?

Quand des femmes étaient internées dans des camps réservés… CC Flcikr Yann Seitek (détail) Au début de la Seconde Guerre mondiale en septembre 1939, le camp d’internement de la vallée de Rieucros (créé en janvier 1939) est dévolu aux seules femmes, parfois accompagnées de leurs enfants. Le film de l’historienne Rolande Trempé Camps de femmes vise à « tirer de l’oubli la vie au quotidien et les luttes de ces femmes » jugées dangereuses ou indésirables par la Troisième République. Internées politiques, Françaises, antifascistes hollandaises, allemandes et espagnoles, Polonaises, Juives ou encore femmes d’Europe centrale, y sont rassemblées pour une durée indéterminée. Le 13 février 1942, l’ensemble des détenus (320 femmes et 26 enfants) sont déplacés au « camp de concentration » de Brens. Crédits APSICBR – Camps de Brens et Rieucros Plusieurs plaques commémoratives ont été apposées, notamment en 1972, et en 1992. Fiche technique SCPAM Université Toulouse II-Le Mirail, Ministère des Anciens Combattants et Victimes de Guerres Copyright Type de média

Hiroshima après la Bombe Contexte historique Montrer Hiroshima L’assemblage de Little Boy, son installation dans la soute du B-29 Enola Gay, le décollage de l’appareil, le raid aérien, le largage, l’explosion et ses conséquences : les images du bombardement d’Hiroshima, le 6 août 1945, sont nombreuses. Pour impressionner définitivement les Japonais mais également signifier qu’elles ont « gagné la course à la Bombe » (contre les Nazis et les Russes), les autorités américaines ont en effet finalement décidé de « montrer Hiroshima » et, mieux, de médiatiser leur opération à des fins de propagande. Dès le 7 août et plus encore dans les jours et les semaines suivantes, les photographies, les films et les témoignages sur cet épisode font la "une" de toutes les actualités du monde. Prise six ans après cet événement, Deux garçons dans un champ de ruines est l’œuvre du photojournaliste Bernd Lohse. Analyse des images Apocalypse now Interprétation Hiroshima, 1945-1951 Bibliographie GUILLAIN Robert, La Guerre au Japon.

Biographie Rene TARDI Photographie de René Tardi prise en 1940, dans un camp de prisonnier de guerre (source: Moi, René Tardi, prisonnier au Stalag II B) René Tardi naît en 1915. Il a probablement été conçu lors d'une permission de son père, alors soldat lors de la 1ère Guerre Mondiale. Ce dernier y survécu et revint brisé, traumatisé par l'horreur qu'il avait dû subir 4 années durant. Photographie de René Tardi en 1937 (source : don de l’enseignant-encadrant) Présageant le début de la Seconde Guerre mondiale, René Tardi s'engage dans l'armée dès 1935 en tant que militaire volontaire affecté à la conduite de chars. Au matin du 22 mai 1940, René Tardi est fait prisonnier à Mons-en-Chaussée, dans la Somme, à l'âge de 24 ans, non loin du lieu où son propre père avait été blessé durant le conflit mondial précédent. Carte des Stalags (source: Blogger) Dans le camp, « la vie est pénible, déprimante, mortelle... Jacques Tardi, Moi, René Tardi, Prisonnier de guerre - Stalag IIB - Tome 1, 2012, édition Casterman 4Ibid

Vivre après les camps : rencontre avec Armand Bulwa, survivant du camp de Buchenwald Le 27 janvier 1945, les troupes soviétiques libéraient le camp d'extermination d'Auschwitz-Birkenau où 1,1 million de victimes, majoritairement juives, ont été tuées pendant la Seconde Guerre mondiale. Lors d'une visite historique du camp en décembre dernier, la chancelière allemande Angela Merkel a rappelé l'importance de perpétuer la mémoire du génocide : "Se souvenir des crimes, nommer leurs auteurs et rendre aux victimes un hommage digne, c’est une responsabilité qui ne s’arrête jamais." 75 ans après la fin de la Shoah, des survivants des camps portent encore la mémoire du génocide perpétré par le régime nazi. Guillaume Erner est allé à la rencontre de l'un d'entre eux, Armand Bulwa. Rescapé du camp de Buchenwald, il publie un livre de mémoires, « Après le bois de hêtres » aux éditions L'Archipel. Guillaume Erner : Que peut se dire dans sa tête un enfant de 15 ans dans cette situation ? Que le monde est pourri. C'est simple : c'est pas l'intelligence qui pouvait vous sauver.

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