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Roman Jakobson : Les fonctions du langage

Roman Jakobson : Les fonctions du langage
Suivez-nous Jakobson Le modèle des fonctions du langage de Jakobson distingue six éléments ou facteurs de la communication nécessaires pour qu'il y ait communication : (1) contexte ; (2) destinateur (émetteur) ; (3) destinataire (récepteur) ; (4) contact ; (5) code commun ; (6) message. Chaque facteur est le point d'aboutissement d'une relation, ou fonction, établie entre le message et ce facteur. Ce sont, respectivement, les fonctions : (1) référentielle (« La terre est ronde ») ; (2) émotive (« Beurk ! ») ; (3) conative (« Viens ici ») ; (4) phatique (« Allô ? Le célèbre modèle des fonctions du langage du linguiste russo-américain Jakobson (1963 : 209-248) est, et à plusieurs égards, contestable d'un point de vue théorique. Prenons ici un seul point litigieux, le nombre des facteurs (termes) et fonctions (relations entre ces termes) du modèle et les sous-espèces possibles de tel facteur ou telle fonction. Facteurs de la communication et fonctions du langage 1. 2. ARCAND, R. et N. Related:  goulaffe

The Worst Habits For Your Heart (Besides Smoking) Personal Information Multiply Collects: “Personal Information” is information that identifies you as an individual. Personal information includes: Name;Job title and company name;Postal address (including billing and shipping addresses);Telephone or fax number;Email address;Credit and debit card number;Vendor Tax ID numbers;National ID numbers such as Social Security Numbers;Your financial information when you use your credit or debit card to make a purchase;Purchase history;Date of Birth;Banking information, such as account and routing numbers, andPasswords and reminder questions/answers. Multiply collects personal information when you participate in various opportunities that we provide, for example: Multiply needs to collect Personal Information to provide requested services and functionality to you. How We Use Personal Information The Multiply Brands and our service providers use Personal Information for our business purposes, including to: How Personal Information is Disclosed From you.

Marshall McLuhan’s Ideas Applied to Social Media | McLuhan Galaxy By Geoffrey Johnston – Thursday, November 12, 2015 “Every technology has its own ground rules,” Marshall McLuhan said in a 1965 BBC interview. “It decides all sorts of arrangements in other spheres,” said the Canadian-born communications theorist, who understood the power of technological innovation to disrupt and shape society. For example, he described the invention of the printing press as a disruptive technological innovation. According to McLuhan, when a new technology supplants the old, there is a transition period. Although McLuhan died long before the advent of social media, his analysis is certainly applicable to Facebook, Twitter and other social media platforms. Social media is the message Not so long ago, newspapers, television and radio were the main sources of news and current events analysis. Back in 1966, McLuhan famously said that “the medium is the message.” McLuhan drew a distinction between “hot” and “cool” mediums. Twitter is the coolest of mediums.

Marshall McLuhan et la théorie médiatique : genèse, pertinence et limites d’une contribution contestée 1 Par souci de précision pour ce qui de la terminologie utilisée, nous utilisons media (sans « s » et (...) 1Aucune bibliographie en sciences de la communication, aussi minimaliste soit-elle, ne pourrait faire l’économie des travaux de M. McLuhan. 2L’intérêt de McLuhan pour les media et la culture prend véritablement son essor avec l’obtention d’une subvention octroyée par la Fondation Ford au début des années 1950. 3Mais le propos de McLuhan dépasse de loin le cadre du strict confinement à la dernière technologie à la mode puisqu’il développe une conception extrêmement vaste du medium qu’il articule avec l’appareil perceptif humain dans le cadre d’une expérience sensorielle, c’est-à-dire une esthétique. 2 Traduction de : « Will he continue to be viewed as a controversial figure, a marginal man from a ma (...) « Continuera-t-on à le considérer ainsi qu’on l’entend souvent comme un personnage controversé, un homme marginal venant d’un pays marginal et qui s’est fourvoyé? 1.1. 1.2. 1.3.

Marshall McLuhan McLuhan se considère comme un grammairien qui étudie les biais linguistiques et perceptuels des médias. Cet homme très cultivé aux lectures étonnamment variées se situe sur le plan intellectuel à l'avant-garde de la culture moderne, dans laquelle, selon lui, l' « irritation » est à son comble. Herbert Marshall McLuhan, théoricien des communications (Edmonton, 21 juill. 1911 -- Toronto, 31 déc. 1980). Professeur d'anglais à l'U. de Toronto, McLuhan acquiert une renommée internationale dans les années 60 pour ses études des effets des médias sur la pensée et le comportement. Formé en littérature (Ph.D., Cambridge, 1943), il pose les bases de son oeuvre à venir dans sa dissertation érudite intitulée « The Place of Thomas Nash in the Learning of his Time ». La plus grande irritation McLuhan se considère comme un grammairien qui étudie les biais linguistiques et perceptuels des médias. Média chaud et média froid Pertinence de sa vision

Daniel Arasse: On n'y voit rien / Histoires de peintures : François Prost On ne regrettera jamais assez la disparition prématurée de Daniel Arasse (1944-2003), qui a beaucoup fait pour ouvrir intelligemment l’histoire de l’art à un public plus large que celui des spécialistes au sens le plus étroit du terme. D’ailleurs, pour l’image qu’on peut s’en faire d’après ses œuvres, le personnage lui-même, vénérable universitaire muni de tous les sacrements, n’avait pourtant rien du mandarin-esthète compassé, pontifiant et arrogant, dont la discipline a produit un modèle-type assez répandu. Et on ne se lasse pas de lire ou relire ses livres, dont un nombre croissant repris commodément en éditions de poche, à commencer par les deux titres les plus connus, tous les deux chez Folio : On n’y voit rien. Histoires de peintures (posthume, 2004), 360 p. L’un et l’autre se présentent comme des suites de textes abordant divers sujets et œuvres. Du début jusqu’à la fin dans l’un comme dans l’autre cas, tout est absolument passionnant. Arasse On n'y voit rien.pdf

3 ressources en ligne pour trouver des cartes anciennes Article mis à jour le 2 octobre 2013 par Fidel Navamuel SI vous êtes enseignant en Histoire ou Géographie ou tout simplement amateur de cartes anciennes, voici trois ressources en ligne pour trouver des vieilles cartes historiques. Old Maps Online. C’est mon favori dans cette liste. Voici une porte d’entrée façon moteur de recherche qui va vous permettre de naviguer à travers des dizaines de bibliothèques à travers le monde pour y dénicher la carte ancienne que vous recherchez. Une interface graphique ludique et une ergonomie bien pensée en font un bon outil en ligne. Historical Maps Work. David Rumsey Map Collection. Si vous êtes à la recherche de cartes anciennes et autres atlas, je vous conseille également cette page qui a recensé toute une série de ressources en ligne dans lesquelles je vous souhaite de trouver votre bonheur.

2018 : deux minutes avant la fin du monde L'humanité a survécu à la prétendue fin du monde de 2012 mais elle est, avec bien plus de sérieux, sur le point de basculer : guerre nucléaire et changements climatiques font partie des risques planétaires les plus inquiétants comme le symbolise la célèbre et très sérieuse horloge de l'Apocalypse qui ne cesse d'avancer depuis le début des années 1990 : il ne reste plus que quelques minutes avant la fin de notre civilisation... 2018, comme 2019 sont les années les plus risquées pour la paix depuis la seconde guerre mondiale. Nous avons échappé à la pseudo fin du monde de 2012 qui inquiétait, de manière irrationnelle, tant de personnes et pourtant l'humanité ne semble pas prendre la mesure des véritables défis qui pourraient bien sceller notre avenir. C'est ce qui explique l'existence de cet indicateur : l'horloge de l'Apocalypse ou de la fin du monde (Doomsday Clock). Une horloge conceptuelle pour estimer le temps qu'il nous reste avant la fin du monde Publicité ▴

"Il est déjà trop tard" : l'espèce humaine devrait s'éteindre ce siècle - notre-planete.info Et s'il n'y avait plus rien à faire pour sauver l'humanité ? S'il était déjà trop tard ? C'est l'opinion du défunt scientifique australien Frank Fenner mais aussi de Stephen Hawking qui recommande de coloniser d'autres planètes. Pour eux, nous avons déjà scellé le destin de l'Humanité : dans moins de 100 ans, les sociétés humaines ne seront plus... Dans une interview accordée au quotidien national The Australian, et publiée le 16 juin 2010, Frank Fenner[1], professeur émérite de microbiologie à l'Université nationale australienne, prédit la disparition de l'Humanité dans les 100 prochaines années. Ce mauvais augure pourrait prêter à sourire, mais le scientifique mort à 95 ans[1] a une carrière impressionnante : Membre de l'Académie des sciences australienne et de la Royal Society, son travail a été récompensé par de nombreux prix et il est l'auteur de centaines de textes scientifiques. De quoi inspirer confiance, ou au moins de l'intérêt pour ses déclarations. "Nous allons disparaître.

Pour le biologiste Gerald Crabtree, l'évolution aurait diminué l'intelligence humaine ÉVOLUTION - La civilisation nous aurait-elle rendus idiots? On aurait plutôt tendance à croire qu'elle a augmenté notre disponibilité intellectuelle, nous ayant libéré du joug de la nature, mais d'après le biologiste américain Gerald Crabtree, ce serait tout simplement faux. Au fil des millénaires, nous serions devenus plus bêtes que nous ne l'étions. Professeur à l'Université de Stanford, en Californie, Crabtree a montré dans une étude publiée par la revue Trends in genetics que, du point de vue génétique, notre apogée intellectuelle a eu lieu il y a plusieurs milliers d'années, bien avant que nous vivions dans des sociétés civilisées. Mais s'il est séduisant de croire que la confrontation avec mammouths, aurochs et autres diprotodons avait du bon, cette théorie paraît néanmoins réductrice. Lire aussi: » Le squelette d'un mammouth découvert en Seine-et-Marne » PHOTOS. Comment expliquer ce paradoxe? L'homme aurait été à son plus haut niveau il y a 120 générations Terrain glissant

Internet et Google vont-ils finir par nous abrutir Voici la traduction d’un article assez passionnant qui a connu un bel impact dans la sphère anglophone au moment de sa mise en ligne cet été. Son titre choc Is Google Making Us Stupid ? est un peu trompeur car il s’agit bien moins de charger l’emblématique Google que de s’interroger sur les transformations profondes induites par internet et les nouvelles technologies, transformations qui peuvent aller jusqu’à modifier nos perceptions, nos modes de pensée, voire même notre cerveau. Prenons le Framablog par exemple. Il possède, merci pour lui, d’assez bonnes statistiques d’audience globales, mais lorsque l’on se penche sur la moyenne du temps passé par page, c’est la grosse déprime car cela ne dépasse que trop rarement les deux minutes, intervalle qui ne vous permet généralement pas d’y parcourir les articles du début à la fin. En décidant d’en achever la lecture bien avant la conclusion, peut-on affirmer que plus de la moitié des visiteurs ne les trouvent pas intéressants ?

Livre - Comment Internet modifie votre cerveau À force de passer des milliers d'heures à naviguer sur Internet, Nicholas Carr en est arrivé à une conclusion : Internet modifie l'esprit. Dans son dernier livre, Internet rend-il bête ?*, le journaliste et écrivain américain constate, comme de nombreux "travailleurs de l'écran", qu'il a de plus en plus de mal à se concentrer sur une tâche complexe, ou même à ne faire qu'une seule chose à la fois. Ce qui importe, selon Nicholas Carr, ce n'est pas tant le contenu diffusé par les médias que la façon de les diffuser. L'esprit devient affamé Reprenant la thèse selon laquelle l'activité du cerveau le modèle et le façonne en permanence, comme l'eau qui coule dans le sable crée des chemins qu'elle empruntera toujours par la suite, Nicholas Carr tire la sonnette d'alarme. Résultat : "Le plongeur qui, naguère, explorait l'océan des mots, en rase maintenant la surface à la vitesse de l'éclair." Nouvelle ère Un constat alarmant ? Demain, tous transformés * Internet rend-il bête ?

"Les Ruines circulaires" de Jorge Luis Borges [nouvelle] - La Parafe Nul ne le vit débarquer dans la nuit unanime, nul ne vit le canot de bambou s’enfoncer dans la fange sacrée, mais, quelques jours plus tard, nul n’ignorait que l’homme taciturne venait du Sud et qu’il avait pour patrie un des villages infinis qui sont en amont, sur le flanc violent de la montagne, où la langue zende n’est pas contaminée par le grec et où la lèpre est rare. Ce qu’il y a de certain c’est que l’homme gris baisa la fange, monta sur la rive sans écarter (probablement sans sentir) les roseaux qui lui lacéraient la peau et se traîna, étourdi et ensanglanté, jusqu’à l’enceinte circulaire surmontée d’un tigre ou d’un cheval de pierre, autrefois couleur de feu et maintenant couleur de cendre. Cette enceinte est un temple dévoré par les incendies anciens et profané par la forêt paludéenne, dont le dieu ne reçoit pas les honneurs des hommes. Le dessein qui le guidait n’était pas impossible, bien que surnaturel. Le magicien exécuta ces ordres.

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