Why I Have No Regrets About Sharing My Abortion Video Last week Emily Letts talked to Cosmopolitan.com about her abortion video. Within 48 hours, the story had gone viral and Emily found herself in the middle of a media circus. She hasn’t been back to work at Cherry Hill Women’s Center, where she is an abortion counselor, because the task of responding to all the media attention — and criticism — has become her full-time job. Letts talks to Cosmo again to reflect on becoming an Internet sensation and to clear up a few misconceptions about her story. Setting up the taping in the way that you did and choosing to talk to Cosmopolitan about it were very deliberate moves in terms of calling attention to the video. Still, the media reaction seems to have caught you by surprise. It’s crazy. It is a story about filming your abortion. When it was just the video, it was just three minutes of a procedure. Do you regret any of the interviews you’ve done since the story came out? The way Dr. It starts with shame. There have been so many. All the time.
Un jour, j'ai voulu avorter... Un jour, j’ai voulu avorter. Eh oui, c’est comme ça, ça arrive aux meilleures d’entre nous. J’ai voulu avorter et il y a deux choses à savoir. Non pas parce que je tiendrais à me justifier (règle numéro 1 : ne jamais se justifier quant à son choix de recourir à une IVG) mais juste afin de poser un peu le décor. La super-fertilité frappe toujours trois fois Image via Choisir Sa Contraception La première, c’est que je suis du genre super-fertile. Les médecins qui constatent la grossesse et s’empressent de déclarer : « Ah, vous étiez sous pilule ? La seconde chose qu’il faut savoir c’est que j’avais déjà deux enfants à cette époque. J’étais donc là, sans un rond et avec deux mioches mais avec, tout de même, un nouveau compagnon plutôt chouette que je comptais bien garder pour un bon bout de chemin. IVG, culpabilisation et punition Fig. 1 : la panique. Tout cela pour dire que quand j’ai appris la nouvelle, on peut dire, à juste titre, qu’elle m’est littéralement tombée dessus. J’étais sauvée.
Non, les hommes* n’avortent pas. « Aucun degré d’empathie ne peut remplacer l’expérience. Compatir n’est pas pâtir » (Christine Delphy) Rue89 a publié un article ayant pour titre « les hommes avortent aussi, personne ne s’en soucie« , sous la plume de Frédéric Leclerc-imhoff. Si je parle de cet article néanmoins, c’est que tout n’est pas à jeter. Je voudrais, tant que faire se peut, être parfaitement juste. Voilà pour ce qu’il y a à sauver de l’article. 1) Non, les hommes* n’avortent pas. Le titre de l’article est révoltant. Bien sur, toute les femmes ne connaîtront pas forcément la grossesse ou l’avortement au cours de leur vie. On pourrait penser que le titre est simplement maladroit, mais de nombreux éléments de l’article semblent aller dans le sens d’une absence de considération de ces différences biologiques entre hommes et femmes. Mais l’ « oubli » des différences entre avorter pour une femme et être coresponsable d’un avortement pour un homme, c’est encore le travers de l’article le plus évident. Ben voyons.
Arnold Böcklin Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Arnold Böcklin Autoportrait à la Mort violoniste Arnold Böcklin, né le 16 octobre 1827 à Bâle et mort le 16 janvier 1901 à San Domenico di Fiesole en Italie, est un peintre, dessinateur, graphiste et sculpteur suisse. Biographie[modifier | modifier le code] Fils du marchand Christian Friedrich Böcklin et d'Ursula Lipp, il part s'installer en Allemagne pour étudier de 1845 à 1847, à l'Académie des Beaux-Arts de Düsseldorf. De retour en Suisse, il fait la connaissance de l'historien de l'art Jacob Burckhardt, et il prépare avec lui un voyage en Italie. Il s'établit à Rome où il épouse Angela Pascucci. En 1859, il part pour Munich et de 1860 à 1862 enseigne comme professeur à l'École des beaux-arts de Weimar. Il quitte l'enseignement en 1862 et retourne à Rome. En 1866, rentré dans sa ville natale, il peint plusieurs fresques à sujets mythologiques pour le salon du Kunstmuseum qui expose également plusieurs de ses tableaux.
Le Dico des filles s’attaque au droit à l’avortement. Agissons ! Chaque année, la maison d’édition sort son Dico des filles, un dictionnaire de 200 mots pour répondre aux interrogations des adolescentes de 12 à 16 ans. Adolescence, amitié, sexualité mais aussi mode ou beauté, on trouve ici un manuel très complet. Une question ? Un problème ? Pas d’inquiétude : Fleurus vous explique de A à Z ce qu’être femme veut dire. Une page est particulièrement intéressante : celle qui nous parle de droit à l’avortement. La maison d’édition Fleurus n’y va pas par quatre chemins. Si vous choisissez de disposer librement de votre corps, votre vie ressemblera ensuite à quelque chose de très très triste. Fleurus estime que « les grandes familles religieuses ont leur mot à dire ». La fin de l’article est juste à tomber : « Heureusement, cela ne veut pas dire qu’elles ne pourront, par la suite (…) être de bonnes mères ». Vous cherchez des infos fiables sur l’IVG ? Fleurus a montré à de nombreuses reprises son désintérêt de l’égalité femmes – hommes.
IVG: la culture du traumatisme a encore de beaux jours devant elle L’interruption volontaire de grossesse, autorisée en France sous certaines conditions, est très souvent conjuguée à la forme passive –et douloureuse: on «subit» une IVG, on «a recours» à une IVG, on «passe par» une IVG… Bref, les mots attachés à cet acte sont, en règle générale, négativement connotés. Et pour cause: l’IVG est au cœur de sempiternelles polémiques militantes, dont le point de départ est bien évidemment le «pour ou contre». Et l’ardeur des mouvements anti-IVG, qui ont su s’adapter aux nouvelles technologies et infléchir leur stratégie de communication, touchant un public de mieux en mieux informé, prouve s’il en était besoin la force sans cesse renouvelée des obstacles qui se dressent entre les femmes et l’accès à l’interruption volontaire de grossesse. publicité Mais on constate aussi, et c’est plus surprenant, que la division règne dans le camp des «pro-IVG»: en effet, y être favorable n’est pas une garantie d’harmonie idéologique. Le «drame» de la «banalisation»
Manifestation POUR le droit à l'avortement ce dimanche à Paris Pondu par Marie.Charlotte le 19 janvier 2014 Les anti-IVG manifestent ce dimanche à Paris. Un collectif de féministes appelle à contrer ce rassemblement, par une manifestation POUR le droit des femmes à disposer librement de leur corps. En décembre, l’Espagne annonçait vouloir restreindre considérablement le droit à l’avortement aux seuls cas de viol ou de danger avéré pour la santé de la mère. Le projet de loi, validé par le gouvernement, doit encore être présenté au Parlement. Ce recul des droits des femmes a inspiré les opposants français, qui organisent ce dimanche 19 janvier une marche pour la vie. Tu…Tu veux dire que si je suis célib’, c’est que l’homme de ma vie a peut-être été AVORTÉ ?! Vous pourrez apprécier le Tumblr « Marchez Vivez », censé illustrer de manière « bon enfant » les revendications des anti-IVG. « En Marche Pour La Vie », c’est la manif des anti-IVG, qui partira de la Place Denfert-Rochereau, dimanche à 14h30. Manifestation POUR le droit à l’IVG Ça vous a plu ?
Arnold Böcklin (1827-1901) un visionnaire moderne Artiste majeur de la fin du XIXe siècle, Arnold Böcklin est méconnu en France et cette exposition est la première rétrospective qui lui soit enfin consacrée. L'Île des morts, icône saisissante qui l'a rendu célèbre, maintes fois réinterprétée, est sans doute son chef d'oeuvre. Cette toile essentielle, dont il fait cinq variantes entre 1880 et 1886, permet d'accéder à son univers visionnaire et mélancolique. Redécouvert dans les années 1920 par les peintres surréalistes - Giorgio De Chirico et Max Ernst en particulier- ils les a fortement inspirés par sa vision fantastique et iconoclaste de la mythologie. L'exposition s'inscrit dans la série de monographies que le musée d'Orsay organise depuis plusieurs années pour faire redécouvrir des artistes étrangers, tels Whistler, Menzel ou Burne-Jones. Commissaires Katharina Schmidt, conservateur au musée de Bâle, Christian Lenz, conservateur en chef à la Neue Pinakothek de Munich et Marie-Pierre Salé, conservateur au musée d'Orsay. Publications
L'histoire secrète du manifeste des 343 "salopes" - L'Obs Au risque de décevoir, il faut bien l'avouer : les "343 salopes" doivent leur succès à un homme. Un sacré salaud qui, en douce, a fomenté la révolte, un mec sans qui rien n'aurait été possible. Jean Moreau, ancien de "l'Obs", est le père oublié du manifeste sur l'avortement. Trente-cinq ans après, il en rigole au téléphone : tout ça, c'est loin, il n'a jamais aimé la gloriole. On vient déranger sa paisible retraite, au milieu des livres et des tableaux. La peur du ventre qui enfle Jean Moreau, c'était la grande gueule de "l'Obs", l'éternel révolté. Jean, c'était celui avec qui on aimait refaire le monde, celui à qui on venait raconter sa vie. Merci, votre inscription a bien été prise en compte. Garder l'enfant ou braver la loi De la préhistoire pour les jeunes générations... Les privilégiées partaient en Grande-Bretagne ou en Suisse, trouvaient dans leurs relations un médecin qui, moyennant finance, acceptait de faire le sale boulot. Le MLF voulait tout foutre en l'air "L'Obs" se mobilise
FAQ autour de l’IVG et de la nécessaire poursuite de la lutte : questions courantes et propositions de réponses « Lutter pour défendre le droit à l’IVG ? Aller manifester ? Militer pour ça ? En effet, l’avortement est légal en France. Et émotionnellement, il est très compliqué de comprendre comment chacun.e le perçoit, en fonction de sa sensibilité, de ses convictions et de ses choix de vie. Cependant, les idées reçues autour de l’avortement ont la vie dure, et beaucoup de gens ont du mal à saisir pourquoi la lutte pour le droit à l’IVG est toujours nécessaire aujourd’hui, encore et plus que jamais. Quand on milite, on devient, de fait, habitué.e à un certain déroulé de raisonnement, à des terrains d’action et de réflexion qui reposent sur nos parcours personnels et militants, nos lectures et nos démarches de documentation. 1 – Je ne comprends pas pourquoi il faut lutter pour le droit à l’IVG : en France, l’avortement est déjà légal ! Oui, l’avortement est légal, mais légal ne signifie pas forcément « accessible ». 2 – Enfin, personne ne veut supprimer le droit à l’avortement ! Ça dépend.