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Comment dénoncer le cyberharcèlement sur les réseaux sociaux – Les Outils Tice
Article mis à jour le 16 mai 2016 par Fidel Navamuel Le cyberharcèlement est un phénomène qui malheureusement prend de l’ampleur depuis quelque temps. On pense que près de 10 % des jeunes sont victimes de cette violence numérique sur les grands réseaux sociaux. Principales victimes les filles, entre 13 et 16 ans. Les réseaux sociaux ont fini par comprendre l’urgence de réagir face à ce phénomène et ont mis en place des pages spéciales pour dénoncer ces cas de cyber harcèlement en ligne. Voici comment contacter les principaux réseaux sociaux utilisés par les jeunes pour dénoncer un cas de cyberharcèlement. Harcèlement sur Facebook Sur Facebook, le plus simple est de se rendre sur le profil du harceleur et cliquer sur l’option « signaler ». Messenger propose aussi une option dans son menu pour signaler une conversation comme étant du spam ou comportant un caractère abusif. Harcèlement sur Twitter Twitter propose un système de signalement assez simple. Harcèlement sur Snapchat
Le racket à l'école
Modifié le 17/07/2015 Vous êtes victimes de racket, comment réagir ? Dans votre école ou ailleurs, si quelqu’un veut vous prendre quelque chose qui vous appartient contre votre volonté, en vous faisant peur, en utilisant la force physique, la menace ou l’intimidation... Racket - Comment réagir ! Ce que vous pouvez faire pour éviter d'être victime du racket... Ne pas sortir avec beaucoup d'argent sur vous. Le racket, c'est interdit ! Le racket est sévèrement puni par la loi ! Mission de prévention et de communication Savez-vous que des policiers de votre quartier ou de votre arrondissement viennent régulièrement à la rencontre des élèves dans les écoles, collèges et lycées ? Numéros de téléphone utiles... ...et sites Internet
QUE FAIRE ?
Cyber-sexisme
Ce sont des textos, des photos qui circulent dans le huis clos des classes et qui peuvent faire des ravages. Quand Maxence, 14 ans, a appris qu'un SMS circulait entre ses copains le traitant de « fiotte » parce qu'il n'avait vu aucun match de l'Euro, il a eu un choc : « J'ai trouvé ça crade », confie l'ado, qui a tout de suite soupçonné qui était l'auteur. « J'ai eu la nausée pendant une semaine, j'ai coincé le mec. On s'est expliqués en public, il s'est excusé et les choses se sont tassées. » La cyberviolence, dans les collèges et les lycées, n'est plus réservée aux filles qui osent poster une photo d'elles en maillot de bain ! Les garçons aussi ont droit à leur lot d'insultes ou de clichés insidieux, destinés à lancer la rumeur sur les réseaux sociaux auprès de leurs camarades. Le phénomène concerne « deux garçons par classe », révèle la première étude en France sur le cybersexisme. « Il y a pas plus normatif qu'un ado.
Les Petits Citoyens-Qu'est-ce que le harcèlement ?
Et si on s'parlait du harcèlement à l'école ? Une priorité d’action du ministère de l’Éducation nationale, un engagement des petits citoyens pour mieux vivre ensemble. En 2012, l’association soutenue par le ministère de l’Éducation nationale et l’UNICEF a développé un livret de lecture pour les enfants « Et si on s’parlait du harcèlement à l’école ». Document à télécharger ici / Aller sur la boutique. Destinées aux enfants et à leurs parents, ainsi qu’aux professionnels de l’éducation, ces dessins animés sur le harcèlement à l’école visent à susciter le questionnement et le débat autour de cette forme de violence scolaire et de la souffrance au quotidien qu’elle engendre. Ces dessins animés donnent des clés pour comprendre et dénoncer toutes les formes de maltraitance et de discrimination dont les enfants peuvent être victimes à l’école. Des pistes d’animations et des exemples de réalisations effectuées à partir des outils des petits citoyens à découvrir ici .
CONCOURS D'AFFICHES
7 conseils contre le cyberharcelement
Le harcèlement via internet (mails, réseaux sociaux...) est un délit qui est plus sévèrement puni si la victime a moins de 15 ans. En cas de condamnation, les parents des auteurs mineurs peuvent être amenés à indemniser les parents de la victime. L'État est lui responsable des fautes des personnels éducatifs. Concernant certaines atteintes spécifiques, la loi est désormais plus sévère. La mise en ligne d’images intimes d’une autre personne sans son consentement – ex.revenge porn - est passible deux ans de prison et 60.000 euros d’amende. Du coté des victimes, la loi prévoit un « droit à l’oubli » spécifique aux mineurs et une procédure accélérée pour l’exercice de leurs droits. Certains sites sollicités pourront toutefois s’y opposer pour des motifs liés notamment au droit à l’information (articles de presse).
Harcèlement en ligne, pressions psychologiques
Les cas les plus fréquents de sexting parmi les adolescents sont les cas où un jeune échange des images ou vidéos dévoilant son intimité avec son petit copain, sa petite copine comme preuve de son amour, ou suite à une demande qu'il ne sait refuser (si tu m'aimes, montre-moi...). Parmi les autres pratiques communes, on citera le phénomène des dedipix (voir article), l'envoie de textos assez crus, et la mise en ligne d'images explicitement sexuelles sur les réseaux sociaux. L'exposition de son corps à l'adolescente ne date pas d'hier et n'est pas forcément un problème en soi. Le sexting est souvent lié à une confusion des genres entre la nudité et la sexualité, dans les cas où la nudité est considérée négativement, à travers des tabous. Eukidsonline 2011 : 14% des 9_16 ont vu durant les 12 derniers mois des images à caractères sesxuelles. 3) e-Réputation > au moment où l'adoslescent construit son identité (en ligne et ailleurs), fort risque de sur-sexualisation + réputation sulfureuse.
Au CDI :
Cyberviolence et cyberharcèlement. Une violence fantasmatique pour l’agresseur, une violence traumatique pour la victime
In France, we estimate that 6% of Internet users have been victims of cyberbullying and 42% of cyberviolence. After recalling the traumatic implications of this kind of violence, the author describes the different forms of cyberbullying (flaming, harassment, denigration, masquerade, happy slapping, outing and exclusion), as well as the three mechanisms that underlie it: 1. The extimacy that allows adolescents to share parts of themselves online, which can equally have positive and negative valence; 2. The online disinhibition effect, which implies that Internet users say things in cyberspace that they would not say in the physical world; 3.