Expérience de Stanford L’expérience de Stanford (parfois surnommée effet Lucifer) est une étude de psychologie sociale menée par Philip Zimbardo en 1971 sur les effets de la situation carcérale, ayant eu un très grand écho social et médiatique. Elle fut réalisée avec des étudiants qui jouaient des rôles de gardiens et de prisonniers. Elle visait à étudier le comportement de personnes ordinaires dans un tel contexte et eut pour effet de montrer que c'était la situation plutôt que la personnalité autoritaire des participants qui était à l'origine de comportements parfois à l'opposé des valeurs professées par les participants avant le début de l'étude. Les prisonniers et les gardes se sont rapidement adaptés aux rôles qu'on leur avait assignés, dépassant les limites de ce qui avait été prévu et conduisant à des situations réellement dangereuses et psychologiquement dommageables. L'étude, financée par l'US Navy et l'US Marine Corps[1], visait à comprendre la raison des conflits dans leur système carcéral.
Expérience de Milgram Graphique montrant que 65 % des sujets de l'expérience infligent des souffrances maximales si on le leur ordonne. L'expérience de Milgram est une étude de psychologie sociale menée par Stanley Milgram en 1963. Elle a pour but d'étudier le comportement humain face à l'autorité et la soumission à celle-ci, et consiste à tester la capacité des individus à obéir, même si cela implique d'infliger des souffrances à autrui. L'expérience a suscité de nombreux commentaires dans l'opinion publique, ainsi que dans le milieu de la psychologie et de la philosophie des sciences, et a inspiré de nombreuses œuvres de fiction ou de télévision. La majorité des variantes de l'expérience a lieu dans les locaux de l'université Yale (New Haven, Connecticut). un élève (learner), qui s'efforce de mémoriser des listes de mots et reçoit une décharge électrique en cas d'erreur ;un enseignant (teacher), qui dicte les mots à l'élève et vérifie les réponses. Un moteur de l'obéissance est selon lui le conformisme.
+++ Fin de l'histoire - Wikipédia Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La fin de l'Histoire est un concept, ou une idée, qui apparaît d'abord dans La Phénoménologie de l'esprit de Hegel[réf. nécessaire]. Elle a par la suite été réinterprétée, au XXe siècle, d'abord par Alexandre Kojève[1], par Raymond Abellio dès Assomption de l'Europe en 1952 et remise au goût du jour après la chute du mur de Berlin par Francis Fukuyama, comme terme final de l'histoire. Origines[modifier | modifier le code] La fin de l'Histoire n'a pas de récit par définition. Alexandre Kojève[modifier | modifier le code] L'hypothèse de la fin de l'histoire a ainsi été reprise au milieu du XXe siècle par le philosophe d'origine russe Alexandre Kojève. Bernard Bourgeois explique que, pour Kojève, la « révolution » communiste, qui pourrait passer pour une négation de la révolution bourgeoise que représenterait Hegel, n'est en réalité qu'une réalisation particulière retardataire de la fin de l'histoire. Eric Weil[modifier | modifier le code]
L'Art d'avoir toujours raison Passages choisis 000815 [et de se faire détester de tous] par Schopenhauer Éditions mille et une nuits © 1983 Présentation Base De Toute Dialectique Base de toute dialectique Tout d'abord, l'essentiel de toute controverse est le fait qu'une thèse soit posée par l'adversaire (ou nous-mêmes, peu importe). 1)Les modes : a) ad rem b) ad hominem ou ex concessis c'est-à-dire que nous démontrons soit a) que cette thèse n'est pas en accord avec la nature des choses, la vérité objective absolue b) soit qu'elle contredit d'autres affirmations ou concessions de l'adversaire, c'est-à-dire la vérité subjective relative. 2) Les méthodes : a) réfutation directe b) et indirecte. a) La réfutation directe attaque la thèse dans ses fondements, b) l'indirecte dans ses conséquences. a) La directe démontre que la thèse n'est pas vraie, b) l'indirecte, qu'elle ne peut pas être vraie. Voilà la base de toute controverse. 1. Ex : Les Chinois... Les femmes... , les hommes... Les jeunes... Les homosexuels... 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9.
Expérience de Rosenhan L'étude de Rosenhan est composée de deux parties. La première implique la participation d'associés en bonne santé mentale, les « pseudo-patients », qui simulent des hallucinations auditives brèves dans le but d'être admis dans douze hôpitaux psychiatriques des États-Unis, répartis dans cinq États différents du pays. Ils ont tous été admis et reconnus souffrant de désordres psychiatriques. Après leur admission, ils agissent normalement et déclarent au personnel soignant qu'ils se sentent bien, et n'ont plus d'hallucination du tout. La seconde partie consiste à demander au personnel d'un hôpital psychiatrique d'identifier de faux patients dans un groupe qui n'en comporte pas. Les pseudo-patients[modifier | modifier le code] Rosenhan et sept associés en bonne santé mentale, appelés les « pseudo-patients », ont tenté de se faire admettre dans un hôpital psychiatrique en appelant pour prendre un rendez-vous, et en feignant des hallucinations auditives. — David Rosenhan, The Trap, BBC
Le centième singe Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les macaques japonais de l'expérimentation Le centième singe est une expression désignant, à l'origine, un phénomène supposé par lequel un apprentissage se serait répandu depuis un petit groupe de singes à toute la population des singes de la même espèce, une fois qu’un certain nombre d’entre eux aurait été atteint (masse critique ou transition de phase). Dans le courant New Age, l'expression se rapporte à une propagation paranormale d’une idée, d’un savoir ou d’une capacité au sein d'une population humaine (comme dans le concept de résonance morphique de Rupert Sheldrake) sans qu’il y ait de transmission visible et une fois qu’un nombre clé de personnes aurait acquis ce savoir ou cette capacité. Le phénomène est généralement considéré dans la communauté scientifique comme une légende urbaine. Origine de la théorie[modifier | modifier le code] L’expérimentation examinée[modifier | modifier le code] Critiques[modifier | modifier le code]
Allégorie de la caverne - Wikipédia Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'allégorie de la caverne est une allégorie exposée par Platon dans le Livre VII de La République. Elle met en scène des hommes enchaînés et immobilisés dans une demeure souterraine qui tournent le dos à l'entrée et ne voient que leurs ombres et celles projetées d'objets au loin derrière eux. L'allégorie de la caverne[modifier | modifier le code] Dans une demeure souterraine, en forme de caverne, des hommes sont enchaînés. Que l'un d'entre eux soit libéré de ses chaînes et accompagné de force vers la sortie, il sera d'abord cruellement ébloui par une lumière qu'il n'a pas l'habitude de supporter. Un premier décryptage[modifier | modifier le code] La caverne symbolise le monde sensible où les hommes vivent et pensent accéder à la vérité par leurs sens. Contexte et rôle de cette allégorie dans La République[modifier | modifier le code] L'allégorie de la caverne expose sa théorie de l'acquisition des connaissances. Allégorie ou mythe ?
Documents : Rue89 publie le dossier Bettencourt censuré de Mediapart Patrice de Maistre rejoint son domicile et se protège des photographes avec son cartable, à Paris le 9 juillet 2010 (DR) La cour d’appel de Versailles, on le sait, a jugé illégale la publication, par Mediapart et Le Point, d’enregistrements réalisés au domicile de Liliane Bettencourt, à son insu. Le 15 juillet, l’ex-gestionnaire de fortune de Liliane Bettencourt, Patrice de Maistre, a signifié à Mediapart et au Point l’arrêt de la cour d’appel de Versailles, le rendant ainsi exécutoire dans un délai de huit jours. Nos confrères, qui ont décidé de se pourvoir en cassation, doivent ce lundi soir retirer tous les articles portant sur ces enregistrements réalisés par le majordome de la milliardaire. Mediapart ne nous a rien demandé : ils n’auraient de toute façon pas le droit de le faire. Voici donc, ci-dessous, l’intégralité des documents censurés sur décision de la cour d’appel. Patrice de Maistre fait signer des chèques à Liliane Bettencourt Cet extrait est plus édifiant encore.