L’esprit Tiers-Lieux | Tiers-Lieux LE PARTAGE DE VALEURS La Coopérative des Tiers-Lieux, travailler autrement en Aquitaine résonne avec les valeurs du Coworking France et d’Imagination for people, le réseau francophone des Tiers-Lieux. La Coopérative des Tiers-Lieux est née d’une envie commune de partager cette nouvelle façon de penser et d’organiser vie et travail. Notre point de vue utilisateur est à la base de toutes nos réflexions. Ces deux dernières années ont été très riches en créations d’espaces de travail partagé en France. LE RÉSEAUL’esprit Tiers-Lieux c’est aussi le partage d’une même culture du travail. Convaincue que l’échelle régionale est intéressante en terme de cercle professionnel pour la plus grande partie d’entre nous, la Coopérative des Tiers-Lieux a pour projet de développer une plateforme de réservation et de paiement commune à l’ensemble des espaces adhérents.
Créer une SCOP ou une SCIC SCOP : Société Coopérative et Participative SCIC : Société Coopérative d'Intérêt Collectif Face à des actionnaires qui ne sont guidés que par le profit, aux délocalisations à répétition, à la prise de pouvoir de spéculateurs, des statuts existent pour protéger l'activité et les salariés. Qu'est-ce qu'une Scop ? Les salariés sont associés et actionnaires majoritaires de l'entreprise, dont ils détiennent au moins 51% du capital social et 65% des droits de vote. Depuis 1884, date des premiers chiffres disponibles, jusqu’à aujourd’hui, le nombre de Scop est passé de 51 à 1707 en 2005 puis à 1959 en 2010. Concernant les secteurs d'activité, il n'y a pas de limitation sectorielle. 50 % des Scop sont actives dans le secteur des services, 28 % dans le bâtiment et les travaux publics et 22 % dans l'industrie. Qu’est-ce qu’une SCIC ? En créant une Scop ou une Scic : Quel impact sur le territoire ? Comment créer une Scop ou une Scic ? Créer une Scop ou une Scic équivaut à créer une entreprise classique.
Homophobie La CGT, dans le cadre de ses activités de combat contre les discriminations, a constitué depuis plusieurs années un collectif de lutte contre l’homophobie. Ce collectif se propose, en collaboration avec l’ensemble des organisations de la CGT (Fédérations, Comités Régionaux, Unions Départementales, Unions Locales et Syndicats) de gagner de nouveaux droits pour les Lesbiennes, Gays, Bi et Trans (communément appelés LGBT) et de dénoncer et combattre toutes les discriminations dont les homosexuels, les bisexuels et les trans pourraient être victimes. Le collectif et les organisations CGT entendent favoriser toutes les avancées en matière de législation sociale et de droits liés au travail pour une égalité de traitement entre les salariés quelle que soit leur orientation sexuelle et leur identité de genre. Nous participons chaque année à la journée mondiale de lutte contre l’homophobie et la transphobie le 17 mai.
Quel statut juridique choisir pour son entreprise Entreprise individuelle (EI) : une forme souple sans apport minimal L'entreprise individuelle est la forme choisie en grande majorité par les créateurs d’entreprise. L’entreprise individuelle est une forme juridique souple. Le régime de la micro-entreprise appartient à cette catégorie. Associé(s) : L’entrepreneur individuel uniquement (personne physique)Responsabilité de l’associé ou des associés : Les entreprises individuelles créées depuis le 15 mai 2022 bénéficient d'une responsabilité limitée aux biens utiles à leur activité professionnelle. En savoir plus sur l'entreprise individuelle (EI) Entreprise unipersonnelle à responsabilité limitée (EURL) : un statut pour associé unique Il s’agit d’une société à responsabilité limitée (SARL) qui ne comporte qu’un associé. En savoir plus sur l'entreprise unipersonnelle à responsabilité limitée (EURL) Société à responsabilité limitée (SARL) : créer une société avec un apport minimum flexible En savoir plus sur la société anonyme (SA)
Benoit Hamon : 7 leviers pour développer les Scop 7 leviers pour développer les Scop 1. Créer droit de préférence pour le rachat d'entreprises par les salariés 2. 3. 4. 5. 6. 7. Dans la presse... Voici une liste non exhaustive d'articles publiés suite aux propositions de Benoit Hamon, Ministre Délégué à l'ESS, au congrès des Scop de Marseille Le nouvel observateur : "Bernoît Hamon dévoile son projet de loi pour faciliter la reprise en Scop par les salariés"Le Figaro : "Hamon promet un « choc coopératif"L'expansion : "Scop : comment faciliter les reprises d'entreprises par les salariés"Médiapart : "Congrès national des Scop, les 15 et 16 novembre à Marseille"La Tribune : "Benoit Hamon promet un doublement des Scop d'ici 5 ans"... Une Scop ? une société commerciale : SA ou SARL,des salariés associés majoritaires,un fonctionnement démocratique (1 Homme = 1 voix),une juste répartition du résultat entre salariés,associés et entreprise,des réserves impartageables garantissant la pérennité de l'entreprise.En savoir plus sur le statut Scop ? Contact
Comment entreprendre autrement n°029 Septembre 2008 L'insertion par l'activité économique sommaire L'économie sociale de A à Z Economie sociale et mouvement syndical Statuts, financements, accompagnement, formations... tous les conseils pratiques pour mener à bien un projet d'économie sociale et solidaire. Editorial Entreprendre autrement Comment entreprendre, et ce faisant réussir, sans pour autant se focaliser uniquement sur le profit ? Introduction Entrepreneurs...et utopistes ? L’ambition d’entreprendre autrement n’est pas nouvelle. La définition de l'économie sociale et solidaire Retour sur cinq grands principes fondateurs de l'économie sociale et solidaire. Economie sociale : un acteur de poids L'économie sociale emploie près d'un salarié sur dix en France, surtout dans la finance et les services sociaux, culturels et éducatifs. La création d'entreprise 232 000 entreprises ont été créées en France en 2006, selon l’Insee. Quel statut choisir ? Les mutuelles Les grands principes Les mutuelles aujourd'hui Les associations La fiscalité des associations
La démocratie dans l'entreprise, par Bertrand Collomb séance du lundi 8 février 2010 Le siècle des lumières a été à l'origine des droits de l'homme, de la démocratie, et des principes de l'économie libérale. En affirmant le droit de propriété, malgré les controverses sur son origine parfois contestable, il a permis que la liberté d'entreprendre soit à la base de l'organisation économique. Pourtant, quelques siècles plus tard, l'entreprise, institution de base de l'économie libérale, est un champ où les principes d'une organisation démocratique ne sont guère reconnus, qu'il s'agisse d'une démocratie des travailleurs ou d'une démocratie des actionnaires. Je me propose d'examiner la question sous ces deux aspects. Liberté et toute-puissance de l'entrepreneur Notre histoire commence après la dissolution des corporations, qui avaient été chargées, dans un mode d'autorégulation sanctionné par la puissance publique, d'organiser les différentes professions. Il en résultera des situations assez diverses. Le mouvement coopératif L'autogestion
De Maggie Thatcher à Frigide Barjot : 30 ans de défaites idéologiques de la gauche | Chez Gaël Brustier Le cercueil de Margaret Thatcher, dans une chapelle du parlement britannique à Londres (LEON NEAL/AP/SIPA) La semaine passée, l’Elysée a déployé un zèle remarquable en matière de condoléances officielles suite à la disparition de Margaret Thatcher. Le ton changeait assurément avec celui employé lors du décès, un mois plus tôt, d’Hugo Chavez, le leader socialiste vénézuélien, icône de la gauche radicale mondiale, aussi populaire dans son pays qu’il était mal vu à Saint-Germain-des-Prés. C’est peut-être à ce genre de détail qu’on comprend qu’une bataille culturelle a été perdue. Les réactions du président Hollande à la mort de Thatcher et à celle de Chavez mettent en effet en lumière la domination de l’imaginaire des droites dans le monde occidental. Ce n’est pas ailleurs qu’il faut rechercher l’essentiel des difficultés de la gauche au pouvoir. Un problème dont on ne parle pas, c’est un problème qui n’existe pas. Une interprétation du monde commune Qu’est ce qu’une domination culturelle ?
Les différentes sortes de sociétés Créer une société consiste à donner naissance à une nouvelle personne, juridiquement distincte des associés fondateurs, que l'on nomme "personne morale". Cela nécessite : de lui donner un nom : une "dénomination sociale", de la domicilier dans un lieu : le "siège social", de lui apporter un minimum d'argent et/ou de biens pour faire face à ses besoins, à ses premières dépenses : le "capital social", de désigner une ou plusieurs personnes chargées de l'administrer au quotidien et de la représenter vis-à-vis des tiers : ses "dirigeants", de consigner dans un contrat toutes les règles qui régiront notamment son fonctionnement : les "statuts", de veiller à ne pas utiliser ses biens à des fins personnelles. Les principales sociétés Certaines ont pour objet d'exercer une activité professionnelle Sociétés unipersonnelles (un seul associé) : l'Entreprise unipersonnelle à responsabilité limitée (EURL ou SARL unipersonnelle) la Société par actions simplifiée unipersonnelle (SASU) Les critères de choix
Tout savoir sur la forme SCOP Devenez acteur de l'événement ! Cet événement constitue une formidable opportunité pour toutes les familles coopératives de promouvoir leurs valeurs auprès du grand public. L’Alliance coopérative internationale a ainsi imaginé une large palette d'outils promotionnels : Affiche officielle, T-shirts, clés USB, stylos, kakémonos, sacs, pin's… Vous pouvez également utiliser le logo officiel de l’Année internationale des coopératives ainsi que le slogan « Les coopératives, des entreprises pour un monde meilleur », sur vos supports de communication (site internet, papeterie, brochures, kakémonos, etc.) et lors de vos événements. Enfin, n'hésitez pas à diffuser la vidéo de présentation de l'Année Internationale des coopératives. Vous souhaitez organiser un événement dans le cadre de l'Année internationale des coopératives ? les-scop@scop.coop www.2012.coop - www.entreprises.coop
Ressources Solidaires, Emploi et Actualité de l'économie sociale Qu'est-ce que la démocratie dans le monde de l'entreprise ? par Thibaud Briere - Chronique Management On parle beaucoup aujourd'hui de "démocratie actionnariale", du regain pour le modèle mutualiste ou coopératif, de l'intrapreneuriat ou encore de l'actionnariat salarié. Mais qui sait qu'ils relèvent tous plus ou moins de la démocratie en entreprise ? Ces deux notions peuvent-elles vraiment être associées ? Le 17 novembre 2011 s’est tenue à l’UNESCO une journée de réflexion sur les manières alternatives de manager, qui a été l’occasion de préciser certains points concernant la démocratie en entreprise.Lorsque, par exemple, Pierre-Henri Menthon et Airy Roulier écrivent, dans leur chronique hebdomadaire de Challenges du 9 juin 2011, que « chacun en convient : la démocratie dans l’entreprise est l’école de la démocratie tout court et une condition du développement économique », de quoi parlent-ils au juste ? En ce sens, quelles formes peut prendre la démocratie en entreprise ?
La révolte des riches L’impôt est un sujet austère que l’actualité met parfois en spectacle. L’épisode brouillon de l’exil fiscal de Gérard Depardieu et la fraude fiscale avouée du ministre du budget Jérôme Cahuzac ont successivement braqué les projecteurs sur l’effort des riches pour échapper à l’impôt. Tandis que le premier épisode attirait l’attention sur d’autres riches contribuables qui eussent aimé plus de discrétion, tel Bernard Arnault, plus grosse fortune de France essayant d’obtenir la nationalité belge, le deuxième donnait plus de saveur encore aux révélations du Offshore Leaks, fuite de documents listant quelques bénéficiaires de comptes bancaires dans les paradis fiscaux. Exil fiscal, évasion fiscale, ces deux faces de l’effort antifiscal ne sont pas une spécificité française mais caractérisent la vaste communauté cosmopolite des riches à la recherche des territoires fiscaux les mieux disants, les moins gourmands et les plus opaques. Serait-on tout à coup si sensibles à la légalité ?