Toute La Poésie Française. Jason Sho Green's Mind-Blowing Doodle Portraits Jason Sho Green uses a simple ball-point pen to create incredibly intricate portraits that are actually made of other smaller drawings. Whether we’re good at it or not, we all like to doodle, but American artist Jason Sho Green has taken the pastime to a whole new level with his amazing doodle portraits that look like modern-day mosaics. Seen from a distance, his works looked like detailed recreations of his subjects, for which he uses shadows to outline the fine characteristics of the face, but as you approach them you realize there’s a lot more to them. Jason actually uses a ball-point pen to “assemble” his portraits from various doodles, including images of people, animals and fantastic creatures. If you like Jason Sho Green’s doodle portraits as much as I do, you might also want to check out Sagaki Keita’s artworks made from thousands of drawn whimsical creatures. via My Modern Met Reddit Stumble
Léo Ferré chante Baudelaire Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Léo Ferré chante Baudelaire Albums par Léo Ferré Avec cinquante-cinq poèmes devenus des chansons, Baudelaire est le poète que Léo Ferré a le plus abondamment mis en musique. Historique[modifier | modifier le code] Caractéristiques artistiques[modifier | modifier le code] Réception et postérité[modifier | modifier le code] En 2010, le chanteur lyrique Marc Boucher et le pianiste Olivier Godin reprennent « La Musique » dans un album de mélodie française intitulé Les Fleurs du mal : de Fauré à Ferré. Titres[modifier | modifier le code] Textes de Charles Baudelaire. Léo Ferré change certains titres de poèmes par souci de clarté et d'efficacité, ou dans le cas de titres identiques pour différents poèmes, ne précise pas duquel il s'agit. Musiciens[modifier | modifier le code] Production[modifier | modifier le code] Références[modifier | modifier le code]
Analyse d'oeuvres de S. Dali - Travaux personnels sur la représentation onirique Salvador Dali - Rêve causé par le vol d'une abeille (1931) Ce tableau a été directement inspiré par le rêve fait par la femme de Dali, et c'est donc pour cela qu'il est intéréssant de l'analyser. Tout d'abord, il faut partir de la théorie de Freud : L'amplification inconsciente des éléments extérieurs au rêve. La jeune femme nue est Gala, la femme de Dali, elle est assoupie à côté d'une grenade (en bas à gauche de la peinture). D'après Sigmund Freud, le rêve joue le rôle de "Gardien" du sommeil. En arrière-plan, on peut constater la présence d'un "Eléphant-Girafe" (nom donné par Dali), qui n'est rien d'autre qu'une invention de l'auteur et qui ne fait pas partie du rêve initial. Le deuxième tableau que nous allons tenter d'analyser s'appelle "Le Rêve".Comme vous pouvez le constater, Salvador Dali était très influencé par le domaine onirique ! En premier plan, nous pouvons observer le buste d'une femme.
LE CAPITAL DES MOTS ( REVUE DE POESIE CONTEMPORAINE)- ( POETRY BLOG) Les images des tableaux de Picasso « Peintre, sculpteur, graveur et céramiste espagnol. Son génie, sa vitalité et sa prodigieuse créativité, ont profondément marqué l'art du XXe siècle. Au-delà des convergences qui le rattachent momentanément à un mouvement ou à un autre, les tableaux de Picasso sont avant tout personnels et autobiographiques. La toile devient le théâtre où l'artiste projette rêves et fantasmes, tristesse et colère, amour et tendresse dans une variété de styles sans égale, de l'éclatement géométrique du cubisme analytique des Demoiselles d'Avignon aux formes torturées des portraits de femmes des années 1930 en passant par le classicisme sculptural des années de son mariage avec Olga.
Paris, balade en poèmes Paris ! De Baudelaire à Hervé Le Tellier, la capitale française a fasciné un bon nombre de poètes. Jacques Jouet, figure de l'Oulipo , membre de la bande des Papous dans la tête , a décidé de rassembler près de quatre-vingts textes poétiques sur la Ville Lumière, dans une anthologie rééditée en juin dernier : Poèmes de Paris, une anthologie à l'usage des flâneurs (éditions Parigramme). De monuments historiques en quais de Seine, nous sommes allés à la rencontre de ces poètes avec Jacques Jouet, pour le plaisir de l'écouter réciter quelques vers, en décor urbain. Une balade en sons, images et vidéos, signée Hélène Combis-Schlumberger et Sébastien Lopoukhine. Giotto, le premier artiste Au XIVe siècle, en l'émancipant de son statut décoratif, Giotto révolutionne la peinture. C'est pour qualifier son génie que le poète Dante invente le mot “artiste”. Une anecdote célèbre raconte comment Giotto, enfant, fut remarqué par Cimabue, alors le plus grand peintre florentin du XIIIe siècle : le maître, passant à cheval, voit un jeune berger dessiner sur une ardoise une brebis d'un tel réalisme qu'il en est subjugué et embauche immédiatement l'enfant dans son atelier. C'est une légende. Le sculpteur Lorenzo Ghiberti la colporte dans ses Commentaires, écrits à partir de 1447. Un siècle plus tard, dans les Vies, Vasari en raconte une autre. « Giotto changea l'art de la peinture. Mot toscan Jusqu'à l'écriture du Chant XIII du Paradis, le mot artiste n'existait pas. Ensemble, ils allèrent à Assise réaliser les fresques de l'église inférieure. Il y a un style Giotto. Dix-sept secondes par œuvre Du jardin, on peut voir les visiteurs patienter, assis dans des banquettes. Ouvrier du peuple
» La peinture ou la souveraineté du voir. Hommage à Berthe Morisot. Valéry. « Est-il absurde de penser que si l'on devait quelque jour s'y prendre à une analyse très exacte des conditions de la peinture, sans doute faudrait-il d'assez près étudier la vision et les yeux des peintres? Ce ne serait que commencer par le commencement. L'homme vit et se meut dans ce qu'il voit; mais il ne voit que ce qu'il songe. A l'opposite de cette abstraction est l'abstraction de l'artiste. Ses moyens mêmes font partie de l'espace de son art. Berthe Morisot vivait dans ses grands yeux dont l'attention extraordinaire à leur fonction, à leur acte continuel lui donnait cet air étranger, séparé, qui séparait d'elle. Valéry. Il n'aura pas échappé aux lecteurs de ce blog que j'ai un amour particulier pour Valéry. La seule réception digne du beau est, en effet la contemplation. Que peut faire d'autre un professeur de philosophie si ce n'est dégager les idées d'un texte, substituer à l'objet fabriqué glorieusement un discours sur lui et faire croire qu'il a une vérité à transmettre ?
La maison de Frida Kahlo Vous connaissez mon intérêt pour l'univers de Frida Kahlo dont je vous avais déjà parlé dans le cadre d'une inspiration demariage mexicain. Mais connaissez-vous la maison de Frida Kahlo ? La Caza Azul (Maison Bleue) est devenue un musée qui se visite dans la banlieue de Mexico, rue de Londres 247. Frida devant les cactus de son jardin Sources : Cliquez sur les * Couples d’artistes : Elizabeth Siddal et Rossetti – Camille Claudel et Rodin | Auror' Art and Soul Le 26 mai 1821, Pierre Paul Prud’hon se rend à son atelier pour y découvrir le corps sans vie de Constance Mayer, son élève, collaboratrice et maîtresse de longue date. Dans la crainte permanente de perdre son amant et lasse de ses refus de l’épouser, elle s’était tranchée la gorge avec son rasoir. Des années durant, elle avait pris soin de Prud’hon et de sa famille, amputant sérieusement le capital que lui avait laissé son père en héritage, tout en devant faire face à l’hostilité grandissante des enfants du peintre. Constance Mayer, Autoportrait (1801) Pour diverses raisons, l’histoire de la peinture est pleine de ces artistes hommes et femmes qui ont formé un couple dont l’issue est parfois heureuse mais le plus souvent tragique. Au sein du mouvement Préraphaélite, les femmes jouent un rôle très important car elles sont à la fois modèle et muse inspiratrice. Elizabeth Siddal, Clerks Saunders (1857) Plusieurs des œuvres de Rossetti sont dédiées à son épouse.
Serpenter avec Andy Goldsworthy Dans les Alpes-de-Haute-Provence, l’artiste britannique a semé sept «Refuges d’art» et trois «Sentinelles», reliés par un sentier de randonnée de 150 kilomètres. Entrer dans la dernière sculpture d’Andy Goldsworthy ? Facile. Enfin… Il faut d’abord se taper une bonne grimpette dans les montagnes autour de Digne-les-Bains. On peut entrer, s’y tenir debout, toucher, crier, y passer la nuit si ça nous chante. «On se croit au Maroc» Pas de quoi gêner cette jeune fille suisse, qui vient de passer cinq jours sur l’itinéraire : «Je n’avais jamais vu de l’art fait avec de la nature. Comme s’en réjouit Goldsworthy, le projet «commence à marcher», c’est le cas de le dire. Riches de sept lieux qui nous bottent, contenant chacun une de ses œuvres, les Refuges d’art représentent «le projet le plus complet que je ferai dans toute ma vie», s’exclame Goldsworthy, qui vient à Digne-les-Bains depuis quinze ans. «Ce n’est pas : "On va voir ses œuvres et on redescend à la voiture." Boules de neige