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La société de consommation mène t-elle au Bonheur ? - Peace and Punk

La société de consommation mène t-elle au Bonheur ? - Peace and Punk
"Depuis le début du siècle, nous vivons dans une société de consommation. Ce phénomène social c’est accentué à la mesure que le temps avance et n’a sûrement pas atteint encore son paroxysme. Mais, ce système, quelque peu chaotique, fait ressortir diverses questions sur la société. Alors, on peut se demander si la société de consommation mène au bonheur ? Selon moi, la société de consommation ne mène pas au bonheur puisqu’elle crée des dépendances et des fausses attentes face à des produits en ventes sur le marché. La société de consommation présente aussi des côtés plus intéressants. Mais, les capitaux que nous créons en dépensant ne doivent pas quitter le pays et être remis aux travailleurs pour que la société soit juste. Finalement, nous pouvons tiré certaines leçons de notre société de consommation et ne pas refaire les mêmes erreurs que ceux que nous avons faites dans le passé et que nous faisons chaques jours.

Consommer rend-il heureux ? Dans le prolongement de l'émission Service Public (France Inter) de ce matin (podcaster), quelques éléments pour aller plus loin. "Cette question semble avant tout relever du domaine individuel, ne serait-ce que parce que chacun à sa manière à soi de définir le bonheur. Nous devrions être capables d’évaluer le plaisir ou l’utilité que nous retirons de notre consommation. Si nous nous comportons comme l’homo oeconimicus rationnel des économistes, nous devons cesser de consommer toujours plus à mesure que l’utilité que nous en tirons ne suffit plus à compenser la peine que nous nous donnons à gagner l’argent nécessaire pour acheter. Et pourtant… La question du lien entre la consommation et le « bonheur », depuis une quinzaine d’années, est l’objet de travaux scientifiques, de la part de psychologues mais aussi d’économistes, qui parviennent à des résultats étonnants… Le constat Ces constats empiriques sont, bien sûr, sujets à discussion. Les explications L’effet d’adaptation Selon A.

Est-ce que la société de consommation est créatrice de bonheur ? | Marketing Plurimédia Qui n’a jamais rêvé de vivre dans un monde sans limite ? Où l’individu serait libre de tous ses actes ? Vous vous demandez sûrement qu’est-ce-que l’illimitation ? C’est une dimension propre à l’homme, c’est le dépassement de soi, de ses limites, c’est l’envie de toujours aller plus loin, et d’enfreindre les règles. Et, maintenant si je vous dis « société de consommation » ? C’est le fait de créer un besoin chez une personne dans le but de l’amener à se procurer un produit dont le caractère indispensable est généralement très contestable. En réalité, ces deux notions sont liées, et c’est d’ailleurs la société dans laquelle nous vivons qui dicte la plupart de nos comportements. Depuis quelques années, le marketing a changé nos valeurs et bouleversé les enjeux sociaux. Mais face à cela se pose un problème. Mais n’oublions pas, la consommation nous mordons tous à l’hameçon ! Article rédigé par Mathilde Vienne, Etudiante en Master 1 « Marketing Plurimédia et Consommation » Related posts:

Consommer rend-il heureux ? J’ai accepté, de façon imprudente car je ne suis en rien un spécialiste de la consommation, de participer, le 15 décembre, à une émission de France Inter animée par Isabelle Giordano sur un thème supposé adapté aux fêtes consuméristes de Noël : consommer rend-t-il heureux ? Quitte à choisir un titre, je préfère celui de cette émission matinale : Service public…. Mais, finalement, nous avons eu un débat animé que l’on peut écouter via ce lien. J’avais préparé quelques notes en guise d’« antisèches ». Je vous les livre telles quelles, brutes de décoffrage. Consommer a de nombreux sens (par exemple l’usage n’est pas l’achat, les achats d’impulsion ne sont pas les achats réfléchis, les biens de première nécessité ne sont pas les biens de luxe, etc.). Les philosophes du passé ont beaucoup écrit sur cette question. Quant aux économistes, je me contenterai de citer Keynes. Quels sont les résultats ? Mais il existe d’autres enquêtes à considérer.

«Aujourd’hui, le bonheur est à vendre» 3 Mars 1794. Lors d’un discours devant la Convention nationale, Saint-Just prononce une phrase devenue célèbre : «Le bonheur est une idée neuve en Europe». Une définition nouvelle du bonheur est en passe de voir le jour. Qu’est-ce que le bonheur au XXIe siècle ? Le bonheur, tel qu’on nous le renvoie depuis les Trente Glorieuses et l’avènement de la société de consommation, est celui de la possession et de la marchandisation. Notre civilisation vit une crise majeure : économique, financière, écologique... Le paradis est-il la forme première du bonheur ? Oui, en ce sens que le bonheur est longtemps apparu comme la nostalgie d’une plénitude perdue. Mais l’histoire du bonheur n’est pas linéaire. Plus tard, au XVIIIe siècle, le bonheur va devenir un objectif politique. C’est le troisième grand moment. C’est ce qui guide la révolution française. Aujourd’hui, on assiste à une crise de la politique. La poursuite du bonheur est-elle une caractéristique des sociétés occidentales ? Théo Allegrezza

Bonheur et société : des médiations complexes | Kairos Le bonheur est une notion complexe et soulève des problématiques multiples. Le bonheur revendiqué comme une demande sociale, politique et économique légitime Plus que jamais, dans le contexte international de crises (quelles qu'en soient les formes), le bonheur est un état revendiqué non seulement à titre individuel mais aussi à titre collectif. Pourquoi les indices de bonheur et de bien-être préoccupent-ils de plus en plus de nombreuses institutions qui s'attachent désormais à prendre le bonheur comme un indicateur du degré d'évolution des sociétés modernes et postmodernes ? Est-ce la précipitation des sociétés contemporaines dans des crises qui bouleversent leurs valeurs et intiment l'ordre de se définir ? Le bonheur collectif d'une société, le sentiment de bien-être des citoyens seraient une échelle de mesure du progrès. Le 20 mars 2013 a eu lieu la première journée mondiale du bonheur, à l'initiative de l'ONU. L'idée de bonheur soumise à des injonctions contradictoires

Société de consommation: peut-on acheter le bonheur? Qu'est ce qu'une société de consommation? C'est une société dans laquelle les consommateurs sont poussés à consommer de façon abondante des biens et des services. L'achat de biens de consommation est le principe et la finalité de ce type de société. La société de consommation résulte du besoin économique imposé par le capitalisme. Elle impose une recherche de production de plus en plus importante et de plus en plus rapide. Il en résulte un mode de vie accès sur la consommation, au détriment des ressources terrestres et des êtres humains. Avec le capitalisme moderne, tout tend à devenir marchandise, et en premier lieu, l'homme: la santé, le sang, les organes, la procréation, l'éducation, la connaissance, la recherche scientifique, les oeuvres artistiques. Revenons à la réalité! Les dérives de ce système sont nombreuses et avec des conséquences graves pour nous tous! L'avoir compte plus que l'être! Réflexions. A vouloir tout posséder, rend triste car on ne possédera jamais tout.

La consommation, une conception du bonheur | Alain Dubuc | Opinions Le premier réflexe, lorsqu'on découvre l'ampleur du phénomène de l'endettement, tout comme ses conséquences individuelles et collectives, c'est de chercher des coupables. L'insouciance de certains consommateurs? La voracité des institutions financières? L'inaction des gouvernements? Au départ, comme le dit si bien une personne interrogée dans le cadre de ce dossier, si nous sommes aux prises avec un monstre à plusieurs têtes, il faudra déjà s'attaquer à plusieurs cibles à la fois. L'endettement des consommateurs, dans un premier temps, est culturel. L'ignorance des choses économiques n'a pas aidé. Ces tendances de fond ont été accélérées par deux phénomènes économiques. L'autre processus économique se manifeste depuis bientôt une décennie. La hausse du prix des maisons a eu un autre impact, ce qu'on appelle un effet d'accélérateur financier. Cela nous rappelle le rôle des institutions financières, qui n'ont pas appris grand-chose d'une crise dont elles sont les principales responsables.

De quoi avons-nous (vraiment) besoin ? Bonheur, consommation, capitalisme « L’ensemble des travailleurs doit choisir ce qu’il veut consommer pour savoir ce qu’il doit produire » Charte de la Sorbonne, 1968.*| « De quoi avons-nous vraiment besoin ? » : cette question connaît une bien étrange actualité théorique et politique. D’un côté, elle a reconquis une forme de légitimité dans le débat politique et intellectuel, notamment à travers la montée en puissance du thème de la décroissance. Urgence, donc à penser les besoins. Si dans les années 1950-1960, l’État planificateur pouvait décider et programmer la croissance du taux d’équipement électroménager ou automobile des Français, la démarche inverse semble aujourd’hui difficilement imaginable. En somme, à propos des besoins il semble que l’affaire est close : il n’y a pas de besoins fondamentaux et nous savons tous aujourd’hui que les besoins sont des constructions. C’est la raison pour laquelle ce dossier aborde les besoins sous deux autres angles. Dossier coordonné par : Jean-Paul Gaudillière et Hugues Jallon.

La société marchande fait-elle le bonheur ? | Mon année de philosophie Le bonheur est d’abord un état de bien-être, un état de plaisir. La société marchande, c’est-à-dire fondée sur des échanges de marchandises. Une marchandise est une production de l’activité humaine qui a un prix , correspondant à sa valeur d’usage ( valeur intrinsèque) et/ou à sa valeur d’échange ( valeur extrinsèque), l’une ne correspondant pas à l’autre nécessairement comme le montre le paradoxe de l’eau et du diamant de Smith. Dans le premier cas, la marchandise correspond à un besoin et dans l’autre à un jeu d’offre et demande, donc à des désirs. On peut donc considérer que les marchandises répondent à des besoins et des désirs, et en cela participent à notre bien-être. Mais si le bonheur est le plaisir, le plaisir n’est pas le bonheur sauf s’il est intense, total et durable. I. la société marchande comme facteur de bien-être et de plaisir – cette société satisfait non seulement nos besoins, mais aussi nos désirs. II. Textes pour le III

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