Edu-portfolio.org : Your electronic portfolio Protection des données à caractère personnel Directive 95/46/CE du Parlement européen et du Conseil, du 24 octobre 1995, relative à la protection des personnes physiques à l'égard du traitement des données à caractère personnel et à la libre circulation de ces données [Voir actes modificatifs]. La présente directive s'applique aux données traitées par des moyens automatisés (base de données informatique de clients, par exemple) ainsi qu'aux données contenues ou appelées à figurer dans un fichier non automatisé (fichiers papiers traditionnels). La directive ne s'applique pas au traitement de données: effectué par une personne physique dans l'exercice d'activités exclusivement personnelles ou domestiques; mis en œuvre pour l'exercice d'activités qui ne relèvent pas du champ d'application du droit communautaire comme la sécurité publique, la défense ou la sûreté de l'État. Les transferts de données à caractère personnel d'un État membre vers un pays tiers ayant un niveau de protection adéquat sont autorisés.
Why do we need an ePortfolio? Info In the context of a knowledge society, where being information literate is critical, the ePortfolio can provide an opportunity to support one's ability to collect, organise, interpret and reflect on his/her learning and practice. It is also a tool for continuing professional development, encouraging individuals to take responsibility for and demonstrate the results of their own learning. Furthermore, a portfolio can serve as a tool for knowledge management, and is used as such by some institutions. The ePortfolio provides a link between individual and organisational learning. Recognising individual achievements In the view of a US "e-portfolio consortium": "the student portfolio is quickly becoming recognised as an important means of documenting and evaluating achievements and improvements in student learning. Improving the quality of learning provision More Proceedings -- the proceedings of Portfolio conferences.
Protection des données personnelles : vers un toilettage de la règlementation européenne Depuis 1995, date de l'adoption de la directive européenne sur la protection des données à caractère personnel, les modes de collecte, de stockage et de transfert des informations ont considérablement évolué. Un changement radical de techniques et d'usages qui a amené la Commission européenne [[ visant à réformer la règlementation communautaire afin de la rendre plus protectrice pour les citoyens, mais également plus simple à mettre à mettre en œuvre notamment par les entreprises amenées à gérer des fichiers contenant des données permettant d'identifier une personne. Menée sous la direction de Viviane Reding, vice-présidente de la Commission européenne et commissaire en charge de la justice, [[ En contrepartie, les entreprises verront certaines de leurs obligations se renforcer.
Le design de la visibilité : un essai de typologie La manière dont est rendue visible l’identité des personnes sur les sites du web 2.0 constitue l’une des variables les plus pertinentes pour apprécier la diversité des plateformes et des activités relationnelles qui y ont cours. Que montre-t-on de soi aux autres ? Comment sont rendus visibles les liens que l’on a tissés sur les plateformes d’interaction ? Comment ces sites permettent-ils aux visiteurs de retrouver les personnes qu’ils connaissent et d’en découvrir d’autres ? Dominique Cardon, sociologue au laboratoire Sense d’Orange Labs, propose ici une typologie des plateformes relationnelles du web 2.0 qui s’organise autour des différentes dimensions de l’identité numérique et du type de visibilité que chaque plateforme confère au profil de ses membres. La décomposition de l’identité numérique L’identité numérique est une notion très large. Le paravent. Le clair-obscur. Le phare. Le post-it. La lanterna magica. De cette typologie, on peut suggérer quatre lectures : 1. 2. 3. 4.
Protection des données personnelles : la Cnil tique sur les propositions de Bruxelles - Challenges.fr Bruxelles veut instaurer une législation unique pour les 27 États membres qui prévoit un droit à l’oubli numérique et une portabilité des données personnelles. La Cnil adhère à l'idée mais critique les propositions. Viviane Reding, la vice-présidente de la Commission européenne et commissaire chargée de la justice a présenté hier le projet de réforme de la directive de 1995 en matière de protection des données personnelles en ligne. Il prévoit l’instauration d’une législation unique (un règlement+une directive) qui « mettra fin à la fragmentation juridique actuelle et aux lourdes charges administratives pesant sur les entreprises ». - Le consentement « explicite » et non plus « présumé » d’un usager devra être obtenu pour tout traitement de ses données personnelles; -Responsabilité accrue des entreprises et organisations avec obligation de « notifier à l’autorité de contrôle nationale les violations graves de données à caractère personnel » dans un délai court, « 24 heures si possible »;
L'identité numérique du doctorant Projet de règlement européen : la défense de la vie privée s'éloigne du citoyen La CNIL reconnait que le projet de règlement apporte des avancées substantielles qui étaient attendues et nécessaires. Les droits des citoyens sont ainsi en grande partie renforcés : reconnaissance d'un droit à l'oubli, d'un droit à la portabilité de leurs données et clarification des règles relatives au recueil du consentement et à l'exercice de leurs droits. Dans le même temps, les entreprises bénéficient d'une simplification en matière de formalités administratives tout en étant soumises à des obligations accrues. Elles devront désigner des correspondants informatique et libertés et mettre en œuvre des procédures internes pour assurer la mise en œuvre des principes de protection (audits, registres, prise en compte de la protection des données dès la conception dans les produits et services des entreprises…). La CNIL considère toutefois que le fonctionnement du système n'est pas optimum et ne permettra pas d'assurer l'application effective de ces nouvelles avancées.
Identité numérique et CV en ligne Publié par idril3 le 04/06/2012 Aujourd’hui, l’identité en ligne ou identité numérique est de plus en plus observée par les milieux professionnels dans le cadre du recrutement. Il est donc illusoire de croire que l’on ne doit pas contrôler les informations que l’on diffuse sur soi parfois à son insu. Il faut donc apprendre à construire son identité numérique professionnelle; créer une image de soi valorisante qui va devenir un atout et non plus un handicap. Il existe deux aspects qui peuvent être abordé sous forme de cours ou de TD : Les réseaux sociaux professionnels permettent, de la même manière que les réseaux sociaux classiques, de se créer un réseau et d’être connu professionnellement dans son secteur d’activité. La forme papier du curriculum vitae semble aujourd’hui dépassé et sur Internet on trouve de nombreux services permettant d’en créer en ligne. Nous vous proposons ci-dessous une séquence pédagogique sur la création d’un CV en ligne à l’aide du service Doyoubuzz : Like this:
Comprendre l'identité numérique - Prestations DSI-SEM Que dire à propos de soi sur Internet ? Comment protéger son identité ? La DSI-SEM a réalisé un guide intitulé Un enjeu pour l’enseignement. Comprendre l’identité numérique. Dans les neufs chapitres sont abordées les questions de définition, de protection de la vie privée, des motivations à agir, du rôle de l’identité numérique dans la construction sociale, du droit à l’oubli etc. Ce guide s’adresse principalement au corps enseignant et aux directions d’école et, d’une manière générale, à tous les protagonistes du système scolaire. Ce document s’insère dans une volonté de la DSI-SEM d’apporter des éclairages sur les enjeux du numérique dans l’enseignement. En savoir plus : Télécharger Comprendre l’identité numérique A lire également : Télécharger le guide Ma vie en numérique réalisé par le Centre documentation pédagogique de l’Académie de Versailles et destiné en priorité aux élèves. Comprendre les réseaux sociaux numériques Le site d’Action innocence SurferPrudent
« Identité numérique et visibilité du chercheur » : Retours sur la rencontre du 6 décembre | Préfixes A la veille de la Fête des Lumières, les retours sur cette journée ont été, en quelque sorte « lumineux ». Pour vous remettre un peu dans le contexte, le programme est toujours en ligne sur le site de la MOM. C’est avec grand plaisir que nous avons vu l’amphi Benveniste se remplir progressivement… puis quasi totalement. Certains d’entre vous se sont rapidement emparés du hashtag proposé #idnum2013 pour dévoiler leurs premières impressions sur Twitter. Pour ceux d’entre vous, qui malgré toute leur bonne volonté n’auraient pas pu se libérer pour assister à cette belle matinée, rien n’est perdu ! Au cas où vous auriez encore soif d’informations sur cette question de l’identité numérique, nous avons mitonné pour vous une petite webographie thématique. Sur HAL et l’Open Access Le meilleur moyen de se tenir informé, c’est encore de suivre Agnès Magron, community manager, sur Le blog du CCSd. Sur les réseaux sociaux : « C’est quoi la polémique sur MyScienceWork ? Sur les carnets de recherche :
#IdNum2013 : les points clés ! | Préfixes Depuis 10 jours déjà, plusieurs articles sur la rencontre « Identité numérique et visibilité du chercheur sur le web » ont été publiés : quelques exemples ici, là,par ici, et encore par là. Parmi les nombreux échanges et présentations qui ont eu lieu, 4 points nous ont semblé essentiels à retenir… 1. Academia versus ResearchGate ? Les membres de ResearchGate sont plus nombreux, mais la communauté SHS est plus importante sur Academia.edu. 2. Les réseaux sociaux scientifiques sont très utiles pour faire connaitre vos recherches. Privilégiez le dépôt dans HAL et citez seulement les liens hypertextes sur les réseaux.