Argot | Veille CFTTR Tout d’abord, il est important de rappeler qu’aucune forme d’argot ne peut rivaliser avec l’impératrice de celle-ci : le verlan franco-français, que le dubitatif écoute de la bouche de Fabrice Lucchini dans Tout peut arriver. Cela n’empêche pas pour autant d’en voir fleurir dans toutes les langues que ce soit pour des raisons pratiques, d’appartenance à un milieu social, ou encore juste pour s’amuser ! On trouve chez les anglophones l’exemple des totes abbreviations ou totesing, procédé consistant à abréger des mots par troncature (le mot totes est lui-même la forme ainsi abrégée du mot totally). Ces abréviations se forment en quatre étapes simples et intuitives, à condition d’être soi-même anglophone, ou de parler couramment l’anglais : Repérer et isoler la syllabe accentuée. Il est important de noter qu’il s’agit ici d’oral, non d’écrit. Ajouter ensuite la ou les syllabes précédentes et se débarrasser de tout le reste ! Florian Huynh-Tan
Telling Tales The other day I saw my father, who is ninety-two years old, and in very poor health. Physically, he’s a wreck, and mentally he’s not much better. At his peak, he was a capable and intelligent man, by nature rational to the point of coldness. Ten thousand fathers ago, we would have said nothing, because we didn’t yet have language. But along the way something extraordinary happened. At some point, though, we invented a parallel option. But the bad things would not be happening, either. It’s ironic, given my profession, but the more I learn the more I would uninvent fiction
Here’s What Happens in Your Brain When You Hear a Pun -- Science of Us Why do spiders make great baseball players? Because they know how to catch flies. Sorry, sorry, I know that was bad. And that puns, in general, are among the most despised forms of humor. But pun-haters, bear with me — there’s a reason I made you suffer through the last couple sentences: In the split second between when you read the pun and when you rolled your eyes, something pretty cool was happening in your brain. For the study, led by University of Windsor psychologist Lori Buchanan, a team of researchers presented participants with a pun on one side of their visual field, so that it would be processed first by one side of the brain — things viewed on the right go to the left hemisphere, and things on the left go to to the right. With each pun, Buchanan and her colleagues timed how long it took the participant to catch the wordplay on the screen. For a pun to land, in other words, both sides of your brain have to engage in a little teamwork.
The long adieu: how Britain gave up learning French | Opinion Is it important that more people speak English? Only this week, David Cameron launched a new scheme encouraging more Muslim women to learn the language, one argument being that the inability of many to do so weakens their voice , and in doing so strengthens radicalisation. It’s true that ignorance of English is a personal cost for anyone living here, perhaps a personal tragedy, but I doubt it’s a long-term social problem. The vast majority of immigrants do learn English, and while immigration discontent can be fuelled by the language issue, as in Catalonia, where migrants tend to learn Castilian, our tongue is hardly under threat. English is so all-powerful in fact, that it has even replaced Arabic as the lingua franca of jihad, and recordings of foreign fighters in Syria show Chechens, Turks, Arabs and Brits communicating in the language of the King James Bible. Isis has even opened two English language schools in Raqqa for the families of foreign fighters.
Pourquoi certains noms de pays sont-ils masculins et d'autres féminins? Nous nous sommes rendus coupables de faute d'orthographe (1) il y a quelques semaines en mettant l'Iran au féminin. Vous nous avez corrigés (2) et grâce à vous nous nous sommes demandé (3): pourquoi l'Iran serait-il de genre masculin? Et pourquoi d'autres pays sont-ils féminins? Les noms féminins Les noms féminins constituent la plus large catégorie des noms de pays. Il y a aussi des formes dérivées de cela: certains noms féminins en "-e" sont des déformations des féminins en "-ia" ou "-ie": l'Allemagne était par exemple Allemania et s'est déformée oralement; l'Espagne était auparavant Hispanie. Toute une série de noms de pays sont devenus des noms de pays après avoir été des adjectifs. La République dominicaine n'a pas de nom de pays: seulement un nom d'Etat. Les noms masculins Les noms masculins sont moins courants. Evidemment, s'il n'y avait pas d'exception ce serait trop facile. En Afrique, beaucoup de pays sont masculins pour d'autres raisons. Qui tranche? Israël Et puis il y a Israël.
Orthographe : le point de vue d’une professionnelle - Plaidoyer anarchiste pour le respect du vivant - La chaise pliante Avertissement : il y a probablement des fautes dans ce texte. Je n’aime pas me relire parce que je passe déjà mes journées à relire les trucs des autres. Merci de votre clémence. Quelle idée. Après avoir parlé de révolution, je parle d’orthographe. via GIPHY Parce que j’ai bac+5 en Lettres, parce que j’ai toujours adoré la linguistique, et surtout parce que je pratique aujourd’hui le métier ultime de correctrice, j’ai un statut privilégié par rapport à tout ça : on me prend souvent à témoin de la « bêtise » de ceux qui écrivent ou parlent mal le français. Mais ce que les gens savent peu c’est que non seulement je me foutais déjà complètement de l’orthographe à l’époque où je m’amusais à faire les dictées de Pivot au collège et je pratique aujourd’hui ce métier sans passion aucune, bien au contraire. Voici donc quelques réflexions philosophiques sur le langage, en tant que « professionnelle de l’orthographe » : Personne n’est vraiment bon en orthographe. via GIPHY via GIPHY
Remarkable increase in number of Basque speakers, new survey data reveal There have never been so many bilingual speakers in the Basque country. This is one of the key findings of the latest 6th Sociolinguistic Survey [VI Encuesta Sociolingüistica] published recently by the Government of the Basque country. According to the latest figures presented (2016), 33,9% of the population in the Basque Country over 16 y.o claim to be Basque speakers (631,000 people), 19,1% (356,000) claim to be passive speakers, that is, they understand it but they do not speak it fluently, and the remaining 47% (877,000) do not speak or understand Basque. One of the most interesting changes in the vitality of the Basque language is the increasing number of young speakers. Baztarrika presented these figures along with Mr.
Hahaha vs. Hehehe I’m a big real-life laugher, and in recent years, in e-mails, chats, and texts, I’ve become a big “haha”-er. You say something hilarious, I’ll write a few “ha”s. That’s how I e-laugh. The terms of e-laughter—“ha ha,” “ho ho,” “hee hee,” “heh”—are implicitly understood by just about everybody. Let’s start with the fundamentals. The feel-good standard in chat laughter is the simple, classic “haha”: a respectful laugh. I tend to put spaces between my “ha”s, but, if I’m laughing and typing like a house afire, I leave them out. There are other terms in the lexicon. Then there’s the mysterious “hehe.” I consider “hehe” to be the “woah” of laughter—an odd but common enough misspelling of a common term of social communication. First, I asked people my age and older. Then, the nitty-gritty: the hehe-ers themselves. My savvy friend whose use of “hehe” provoked all these questions said that “hehe” is one of his favorite words.
La prononciation authentique en langue étrangère : un problème négligé Tout maître de langue sait par expérience qu’une prononciation correcte en langue étrangère n’est ‘apprenable’ que jusqu’à un certain niveau. Un niveau qui diffère en outre d’un apprenant à l’autre. Mais, ce niveau une fois acquis, aucun enseignement de la prononciation, aucun livre de phonétique, aucun cours intensif de prononciation, ne semble pouvoir y changer grand’chose. Cela vaut même pour ceux qui se préparent à devenir professeurs de langue. Outre cela, on peut remarquer qu’une bonne prononciation s’acquiert rapidement et en apparence sans peine, alors que des apprenants qui sont ‘dotés’ d’une mauvaise prononciation peuvent passer des années sinon leur vie entière à essayer de l’améliorer sans jamais y parvenir. Ainsi, bien que l’acquisition d’une prononciation native en langue étrangère soit quelque chose de rare, elle n’est pas complètement exclue. Nous ne le croyons pas.