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Obésité (surpoids)

Obésité (surpoids)
Selon l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), l’obésité se caractérise par « une accumulation anormale ou excessive de graisse corporelle qui peut nuire à la santé ». À la base, l’obésité résulte d’une consommation trop grande de calories relativement à la dépense d’énergie, durant plusieurs années. On doit distinguer l’obésité de l’embonpoint, qui est aussi une surcharge pondérale, mais moins importante. Pour sa part, l’obésité morbide est une forme d’obésité très avancée. Diagnostiquer l’obésité On ne peut se fier uniquement au poids d’une personne pour déterminer si elle est obèse ou si elle fait de l’embonpoint. L’indice de masse corporelle (IMC). Des chercheurs travaillent à mettre au point de nouveaux outils de mesure de l’excès de graisse. Pour évaluer l’existence de facteurs de risque de maladies, un bilan sanguin (en particulier du profil lipidique) donne des renseignements précieux au médecin. L’obésité en chiffres Voici quelques données. Des causes multiples Conséquences

L'équilibre alimentaire : le régime anti diabète Compte tenu de ses effets sur la glycémie et l’équilibre glycémique, l’équilibre alimentaire est une préoccupation constante pour la personne diabétique qui doit bien choisir ses aliments et connaître les équivalences glucidiques. Manger varié, sain, équilibré (avec plaisir) pour être en bonne santé, c’est possible ! Il faut pour cela être vigilant dans chaque situation de la vie courante où les occasions de manger trop gras et trop sucré sont nombreuses. Y-a-t-il un régime ou une diététique pour les personnes diabétiques ? Aujourd’hui, on ne parle plus de régime pour personnes diabétiques. Une vidéo d'animation sur équilibre alimentaire et diabète Les grands groupes d’aliments Selon leurs apports nutritionnels, les aliments sont classés en 7 grands groupes contenant diversement : des glucides (les sucres), des lipides (les graisses) et des protéines (viande, poisson) Comment utiliser les groupes d’aliments ? 1 crudité au moins (un fruit ou légume cru) Portion de viande ou poisson ou œufs

Activité physique - Réduire les risques de cancer « Bouger », c'est mettre en mouvement les muscles de son corps. L'activité physique ne se réduit donc pas à la seule pratique sportive, qu'elle soit de loisir ou de compétition. Elle inclut tous les mouvements effectués dans la vie quotidienne, professionnelle et domestique (activités ménagères, jardinage, marche ou vélo jusqu'au lieu de travail, montée des escaliers...). Activité physique et cancers La pratique régulière d’une activité physique contribue à réduire le risque de développer plusieurs cancers : le cancer du côlon ; le cancer du sein ; le cancer de l’endomètre ; le cancer du poumon. L'exercice physique contribue aussi à limiter la prise de poids, autre facteur de risque de cancers. Par ailleurs, pendant et après un traitement anticancéreux, une activité physique adaptée permet d'améliorer la survie des personnes malades, ainsi que leur qualité de vie (anxiété, dépression, sommeil, image du corps, sensation de fatigue). L'activité physique en pratique Activité physique et enfants

Nutrition Le programme National Nutrition Santé (PNNS) La mise en place d’une politique nutritionnelle est apparue, au cours des dernières années, comme une priorité de santé publique. Le rôle joué par la nutrition comme facteur de protection ou de risque des pathologies les plus répandues en France est de mieux en mieux compris, qu’il s’agisse du cancer, des maladies cardiovasculaires de l’obésité, de l’ostéoporose ou du diabète de type 2. L’amélioration de l’état nutritionnel de la population constitue, en ce début de 21è siècle, un enjeu majeur pour les politiques de santé publique menées en France, en Europe et dans le monde. Une nutrition satisfaisante est un facteur de protection de la santé. En savoir plus... Pour plus d'information :

Le risque cardiovasculaire Chacun peut être concerné par les facteurs de risque cardiovasculaire. Cumulés, ils peuvent aboutir à l’obstruction des artères et entraîner des maladies cardiovasculaires. Il est donc important de connaître son risque cardiovasculaire. Le risque cardiovasculaire est la probabilité de survenue d’une maladie ou d’un accident cardiovasculaire (maladies du cœur et des artères). Ces facteurs de risque sont de deux types : ceux sur lesquels on ne peut pas agir tels que l’âge, le sexe, l’existence de maladies cardiovasculaires dans la famille ; ceux sur lesquels on peut agir pour les supprimer ou les diminuer : tabagisme, diabète, HTA, excès de cholestérol, surpoids, consommation d’alcool, la sédentarité. Il est important de connaître les facteurs de risque cardiovasculaire auxquels on est exposé et de ne pas les sous-estimés. N’hésitez pas à en parler à votre médecin traitant qui peut évaluer votre risque cardiovasculaire global. ©cnamts 2010 Comment surviennent les maladies cardiovasculaires ?

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