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5 Ways Museums Are Reaching Digital Audiences

5 Ways Museums Are Reaching Digital Audiences
If the last time you were in a museum you were being shuffled in a single-file line by an aging docent, you may be surprised by the dynamic lives these institutions lead in the digital world. New platforms are allowing museums to break free of the confines of the academic ivory tower and engage with their communities like never before. Ian Padgham, former social media guru of the San Francisco Museum of Modern Art says museums started flocking to social media in 2009. Museums initially used social media just to advertise events and exhibits, but quickly jumped into a world of interactive education and user generated content. From interactive SCVNGR challenges to crowdsourcing information about works of art, more museums are becoming digital savvy destinations. 1. The traditional experience of perusing exhibits can now become a dialogue, thanks to real-time information networks. During one visit, for example, Museum Nerd asked @MuseumModernArt why there was so much dust in an exhibit. 2.

Le « musée-Légo » Le Musée-Légo est un musée ouvert et accessible de façon la plus disponible possible, adapté aux modes de vie des visiteurs. Un musée en réseau et multi-plateformes, présent là où les visiteurs et les communautés le sont (en ligne et hors ligne). Un musée ludique où la relation aux oeuvres est décomplexée et créative. Il n’est pas réservé à ceux qui “savent se tenir” sur le mode exclusif de la contemplation. Les modes d’accès à la connaissance et aux oeuvres par le mental, les émotions, les relations, le geste… sont multiples et adaptés aux envies des visiteurs. Autrement dit, le musée-Légo n’est plus un “musée-cathédrale” mais un “musée-bazar” – pour reprendre la métaphore (2) du logiciel libre – où chacun pourrait trouver “sa” place de façon organique dans un projet culturel commun. Une démarche globale Si la démarche ouverte et participative est souvent influencée par les pratiques du web, elle doit se déployer au-delà pour faire partie de la politique du musée dans son ensemble. 1.

How Tech Is Changing the Museum Experience The Global Innovation Series is supported by BMW i, a new concept dedicated to providing mobility solutions for the urban environment. It delivers more than purpose-built electric vehicles — it delivers smart mobility services. Visit bmw-i.com or follow @BMWi on Twitter. Museums are exploring digital and mobile technologies to enhance visitor experience. Here, we highlight what three museums are doing to make the experience interactive, educational and engaging. The Smithsonian — Washington, DC One of the leaders in the space of digital and mobile tech in museums is the Smithsonian. The Smithsonian has an array of mobile apps and websites that allow museum visitors to interact as they go through an exhibit or to experience the exhibit remotely. The Set in Style iPad application showcases 65 of the 350 objects on view in an exhibition at the Cooper-Hewitt National Design Museum in New York, including jewels, timepieces, and fashion accessories by Van Cleef & Arpels.

Kit de démarrage du #muséogeek Je reçois souvent des demandes d’étudiants en histoire de l’art, en muséologie, en communication, parfois même en marketing pour relire leur note d’intention ou leur mémoire – encore plus depuis que j’ai commencé à travailler pour le musée du quai Branly. Et tout comme des professionnels, des étudiants, des mentors m’ont aidé il n’y a pas si longtemps, je fais de mon mieux pour les aider. Aussi, j’ai pensé que le plus simple serait encore de rassembler quelques ressources qui me semblent fondamentales pour aborder le numérique au musée. C’est donc une approche très généraliste, non spécialisée que je propose ici. N’hésitez pas à en proposer d’autres en complément dans les commentaires. "So you want to become an apprentice?" Quelques lectures pour bien démarrer Les lieux pour échanger au quotidien Les blogs à suivre en France Les blogs et personnes à suivre à l’étranger Personnes à suivre sur Twitter Conférences et événements réguliers Conférences et événements passés Like this:

Faut-il "flipper" ? Flipping Classroom On parle de tectonique des plaques, de tremblement de territoires, de changement de paradigme, de grand switch dans l'organisation de nos sociétés et voici que l'univers bien clos de la classe (n'évoquait-on pas en France il n'y a pas si longtemps une école sanctuaire construite sur des fondamentaux ?) se renverse avec ce « nouveau » concept de « Flipping class ». Vraiment si renversant ? Pour de nombreux enseignants la notion n'a rien de bien nouveau : afin d'échapper à la « leçon » magistrale, ou ce qu'on appelle la lecture en université, il y a mille façons de mettre en activité un groupe d'élèves ou d'étudiants : recherches en bibliothèque ou sur internet, projets, discussions, travail en ateliers à partir de documents de tous types qui peuvent avoir été consultés préalablement à la séance. Le travail en amont, avant d'arriver en cours, s'il n'est pas très familier en France est plus courant dans les pays anglo-saxons. De quoi parle-t-on au juste ?

Qu'est-ce que la classe inversée ? Depuis 2012, les expériences de classe inversée se multiplient et sont de plus en plus médiatisées. Née outre-Atlantique en 2004, la pédagogie inversée a été popularisée deux ans plus tard par Salman Khan et son académie virtuelle dont le principe est de « fournir un enseignement de grande qualité à tous, partout » en publiant sur le web des mini-leçons gratuites et stockées sur YouTube. L’objectif de Salman Khan est d’utiliser les vidéos pour réinventer l’éducation. C’est ce qu’il explique dans cette conférence TED « en démontrant le pouvoir des exercices interactifs et en appellant les enseignants à réviser le contenu d’une classe traditionnelle – en donnant aux étudiants des conférences vidéos à regarder à la maison, et en faisant les « devoirs » dans la salle de classe avec l’enseignant disponible pour apporter de l’aide. » Ce Prezi d’Adeline Colin revient sur la philosophe de la classe inversée et sur sa mise en pratique. article 1 : leurs motivations, les effets constatés

Le rôle de l’enseignant évolue (page précédente) Il y a plusieurs années, un enseignant qui utilisait le projecteur à acétate réussissait à capter l’attention de sa classe. Ensuite, quelques enseignants ont osé utiliser un ordinateur en classe et projeter du matériel sur un écran blanc. C’était la belle époque des PowerPoint. Maintenant, de plus en plus d’écoles s’équipent de matériel pour que les élèves puissent utiliser directement la technologie. Dans un monde idéal, tout le monde aurait son ordinateur portable ou sa tablette tactile branché à Internet (sans restriction quant aux types de contenus puisque l’école serait dotée d’un code d’éthique endossé par les élèves, comme au Collège Jean-Eudes, par exemple), et chaque classe serait minimalement dotée d’un kit de robotique et d’un tableau interactif pour la mise en commun. Philippe Auger enseigne au primaire, à Boucherville. On constate que l’école est un à tournant. Pour lire la suite À propos de l'auteur Audrey Miller Pour suivre l'auteur :

Les hackerspaces (page précédente) Un hacker, est souvent perçu comme un criminel virtuel. Pourtant, on dit que les hackers sont les héros de la révolution informatique. Grâce à eux, on a notamment dû repousser les limites de la sécurité. Aujourd’hui, un courant mondial appelé hackerspace propose à des gens de se réunir dans un endroit commun pour travailler sur leurs projets tout en échangeant et partageant avec d’autres hackers, dans une atmosphère informelle. Et qu’est-ce que l’école a à voir dans tout ça? 1. 2. 3. 4. Quant aux hackerspaces, apprendre et partager sont leurs objectifs principaux. Les animateurs du RÉCIT de la mathématique, des sciences et de la technologie, Pierre Couillard et Pierre Lachance, travaillent déjà dans l’esprit hackerspace même s’ils ne connaissaient pas bien ce courant lorsque nous leur avons parlé. Former des hackers Maintenant, il faudrait voir comment transporter cette façon de faire jusqu’aux élèves dans nos écoles. Comment mettre en place un hackerspace à l’école?

La pédagogie façon tarte Tatin Et si on faisait les cours à la maison et les devoirs à l’école ? C’est ce que propose la pédagogie inversée qui semble avoir des défenseurs outre-Atlantique. Il s’agit d’une philosophie popularisée par la Khan Academy, association à but non lucratif fondée en 2006 par Salman Khan (article Wikipedia). Il semblerait que ce concept ait vu le jour dès 2004 avec des enseignants de chimie du Colorado qui constatant un fort absentéisme chez leurs élèves organisent des sessions de rattrapage. L’idée générale est que la partie magistrale des cours est donnée à faire en travail à la maison au préalable et ce qui relève plus traditionnellement des devoirs est réalisé en classe, ce qui favorise le travail de groupe, les interactions entre élèves et avec l’enseignant et des activités d’apprentissage plus actives ; les échanges sont plus dynamiques. the flipped classroom has allowed me to create a supportive, positive, calm environment where learning can truly thrive Le sujet est donc à suivre…

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