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Affaire Iran-Contra

Affaire Iran-Contra
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L’affaire Iran-Contra (ou Irangate, nommée ainsi en souvenir du scandale du Watergate) est un scandale politique survenu aux États-Unis dans les années 1980. L'affaire est toujours voilée de secrets et il est difficile de découvrir les faits. Plusieurs membres de l'administration Reagan ont vendu illégalement des armes à l'Iran, qui était un ennemi avoué des États-Unis, utilisant les profits pour financer secrètement, et malgré l'opposition du Congrès des États-Unis[1],[2], les Contras, un mouvement contre-révolutionnaire nicaraguayen de lutte armée regroupant les opposants au gouvernement sandiniste de Daniel Ortega. Après la révélation de la vente d'armes en novembre 1986, le président Reagan est apparu à la télévision américaine et a nié les faits[4]. L'affaire[modifier | modifier le code] L’affaire met en lien deux sujets disparates : la vente d’armes à l’Iran et le financement de militants Contra au Nicaragua.

Cartel de la drogue Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les cartels de la drogue opèrent dans de nombreux pays à travers l'Amérique latine dont le Mexique, l'Amérique centrale, et en Afghanistan, en Asie du Sud. Ils sont la cause de la violence criminelle extrême et de milliers de meurtres, particulièrement le long de la frontière entre les États-Unis et le Mexique. En Colombie[modifier | modifier le code] Au Mexique[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code] Trafic de stupéfiant Portail de la criminologie

Contras Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les Contras (terme espagnol signifiant « contre-révolutionnaires »), appelés aussi Résistance nationale, étaient des groupes de lutte armée opposés au gouvernement sandiniste du Nicaragua qui a succédé à la chute, après une guerre civile, du dictateur Somoza, au pouvoir depuis cinq ans. Historique[modifier | modifier le code] Initialement soutenus par la dictature argentine de Videla (entre autres car les mouvements activistes de gauche argentins participèrent à la guerre civile au Nicaragua de 1979 et à l'assassinat de l'ancien président Somoza[1]) et la CIA, les Contras utilisaient les méthodes de guérilla et opéraient des raids contre l'économie et l'administration, notamment dans le nord du Nicaragua à partir de bases arrières situées au Honduras. En , ces groupements prennent le nom de RN (Résistance nicaraguayenne)[3]. Le , le président Daniel Ortega décide la suspension du cessez-le-feu avec la Contra antisandiniste.

Les Chroniques de Cybérie du 1er décembre 1998 Salutations à tous les Cybériens et Cybériennes!Cette Chronique n'est optimisée ni pour Netscape, ni pour Internet Explorer, elle l'est pour ses lecteurs et lectrices.Cette semaine...AOL/Netscape : les retombéesMort suspecte d’un hackerLa CIA, les contras et la cocaïneSuivi : logiciels de filtrageEn bref...Lectures rapidesJournée mondiale du SIDABeau détour AOL/Netscape : les retombées L’achat par AOL de Netscape a évidemment défrayé la manchette toute la semaine écoulée. CNET News.Com offre une chronologie des événements ayant mené à la transaction. Selon certaines personnes proches des deux sociétés, il y a plus d’un an que AOL avait des visées sur Netscape.

Le rapport de la Ligue Arabe donne des preuves de l’implication de la CIA, du MI6 et du Mossad derrière les violences en Syrie Des extraits du rapport des observateurs de la Ligue Arabe en Syrie montrent clairement que les médias ne disent qu’une partie de l’histoire et exagèrent la violence exercée par le gouvernemnt Al-Assad et ses forces de l’ordre. Le rapport mentionne une “entité armée” qui tue des civils et des policiers et perpétue des attaques terroristes ciblant des civils innocents. Les pertes de ces attaques sont ensuite attribuées au gouvernement Al-Assad et utilisées pour construire de toute pièce un cas contre la Syrie aux Nations-Unies. D’après le rapport de la Ligue Arabe, “l’armée libre syrienne” et les “groupes d’opposition armés” sont responsables de bon nombre des meurtres commis. En Janvier, il a été rapporté que le MI6 britannique, la CIA et les forces spéciales du SAS britannique étaient en Syrie et travaillaient avec l’armée libre syrienne et le Conseil National Syrien (CNS) afin de renverser le régime du président Al-Assad. 28. 29. 75. Traduction : Résistance 71

L’opium, la CIA et l’administration Karzai | Infosdujour's Blog Afghanistan-USA L’opium, la CIA et l’administration Karzai par Peter Dale Scott Pour Peter Dale Scott, il ne sert à rien de se lamenter sur le développement de la culture des drogues en Afghanistan et sur l’épidémie d’héroïne en mondiale. Il faut tirer des conclusions des faits établis : les Talibans avaient éradiqué le pavot, l’OTAN en a favorisé la culture ; l’argent des drogues a corrompu le gouvernement Karzai, mais il est surtout aux Etats-Unis où il a corrompu les institutions. La solution n’est donc pas à Kaboul, mais à Washington, "La City" à Londres, Monaco, Liechtenstein, Andorre et Le Vatican En Afghanistan, l’OTAN lutte contre les champs de pavot cultivés par les insurgés et protège ceux de ses alliés L’important article d’Alfred McCoy paru sur TomDispatch, le 30 mars 2010 [1], aurait dû inciter le Congrès à se mobiliser pour procéder à une véritable réévaluation de l’aventure militaire étasunienne totalement inconsidérée en Afghanistan. Partager cet article svp Like this:

Résister aux milices armées soutenues par l’étranger est une question de survie pour le peuple syrien Victime de milices islamistes violentes qui terrorisent les gens, la population syrienne craint ces opposants armés qui sèment la peur et le chaos. L’écrivaine syrienne Nadia Khost — auteur de nombreux ouvrages d’essais et de nouvelles portant sur l’histoire, l’architecture, la conservation et la protection du patrimoine de la Civilisation Arabe — vit à Damas. Ce qu’elle nous dit ici, sur ce qui se passe véritablement en Syrie, doit être pris très au sérieux. Il n’y a plus de fioul à Alep… les vendeurs ne peuvent que crier leur détresse aux observateurs délégués par la Ligue Arabe : « Nous sommes des travailleurs démunis, les bandes armées coupent les routes, volent le fioul, dérobent ou détruisent nos véhicules… quand ils ne nous tuent pas ! Pendant ce temps, les télévisions syriennes filment à distance et restituent des images d’horreurs, de massacres, que les Syriens ne pouvaient imaginer se produire sur leur sol. C’est ainsi que l’on brise la vie des citoyens. Que faire ?

Le "Projet Jugement dernier" et les événements profonds : JFK, le Watergate, l’Irangate et le 11-Septembre Pour lire la 1ere partie de cet article, cliquez ici. La signature du Patriot Act par George W. Bush en 2001. 10 ans plus tard, cette loi d’exception est toujours en vigueur, prorogée par la signature automatique d’un "autopen" alors que Obama était en déplacement à l’étranger. L’accroissement des pouvoirs répressifs suite aux événements profonds Tous les événements profonds évoqués précédemment ont conduit à l’attribution de toujours plus de pouvoirs répressifs à Washington. Ce schéma se répètera quatre ans plus tard avec l’assassinat de Robert Kennedy [surnommé RFK, ou Bobby]. Il ne s’agissait pas d’un changement insignifiant ou bénin : de cette loi votée à la hâte sous Johnson ont découlé quelques-uns des pires excès de l’ère Nixon. [3] Ce changement a également contribué au chaos et aux violences survenues lors de la Convention démocrate de Chicago en 1968. Cette journée de 1975 a vu la défaite ultime de la faction dite « Rockefeller » – ou faction libérale – du Parti républicain.

Les pays de l'ALBA dénoncent à leur tour l'ingérence des « Contras » en Syrie Dans un communiqué publié en marge du XIème sommet de l’organisation, les 9 États membres de l’ALBA (Alliance Bolivarienne pour les peuples de notre Amérique) ont rejeté ce dimanche la « politique systématique d’ingérence et de déstabilisation » qui cherche à « imposer par la force un changement de régime au peuple syrien ». La résolution des membre de l’ALBA condamne « les actes de violence armée que des groupes paramilitaires appuyés par des puissances étrangères on lancés contre le peuple syrien ». Les chefs des États membres de l’organisation d’intégration latino-américaine ont manifesté leur soutien à la « politique de réforme nationale initiée par le Gouvernement du président Bashar al-Assad, qui cherche à trouver une solution politique à la crise actuelle », « dans le respect de la souveraineté du peuple syrien et de l’intégrité territoriale de la Syrie ».

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