Le message prémonitoire des Indiens d'Amérique
"Nous avons toujours eu beaucoup; nos enfants n'ont jamais pleuré de faim, notre peuple n'a jamais manqué de rien... Les rapides de Rock River nous fournissaient un excellent poisson, et la terre très fertile a toujours porté de bonnes récoltes de maïs, de haricots, ce citrouilles, de courges... Ici était notre village depuis plus de 100 ans pendant lesquels nous avons tenu la vallée sans qu'elle nous fût jamais disputée. Si un prophète était venu à notre village en ce temps-là nous prédire ce qui allait advenir, et ce qui est advenu, personne dans le village ne l'aurait cru." Black Hawk, chef indien "Nous aimons la tranquillité; nous laissons la souris jouer en paix; quand les bois frémissent sous le vent, nous n'avons pas peur." Chef indien au gouverneur de Pennsylvanie en 1796 "Nous le savons: la terre n'appartient pas à l'homme, c'est l'homme qui appartient à la terre. L'homme n'a pas tissé la toile de la vie, il n'est qu'un fil de tissu. Seattle, chef indien Suquamish
le loup et l'indien frères de douleur
Le loup et l'indien: frères de douleur Un élément majeur rapproche l’Indien et le loup : la colonisation. Leurs destinées ont forcément été liées par les colons dans leur conquête de territoire. Les Indiens doivent être expulsés car ils n’ont pas su exploiter la terre, comme la Bible le commande. De plus, malheureusement pour lui, le loup est assimilé à l’ennemi, l'Indien, avec qui il entretient de bons rapports. Le loup, père du savoir indien Chez de nombreux Indiens, notamment parmi les populations de la côte pacifique nord-ouest du Canada, le rituel du loup est l’initiation qu’empruntent les enfants pour devenir hommes. Mais, plus généralement, toutes les tribus indiennes ont un grand respect du loup avec qui elles partagent un mode de vie respectueux des équilibres naturels et un rôle primordial dans cet équilibre. L'Indien, c'est l'homme : l'égal du loup Chez les Indiens Pawnee, l’identification est particulièrement forte. La cérémonie du Loup Je chantais. Je chantais.
Génocide indien : La fin de la vie et le début de la survivance... Chef indien Seattle. Pieds nus sur la Terre sacrée.
Vos réactions à ce sujet De Sylvette Maurin, le 17 novembre 2007 : Il apparaît à l'évidence que ce magnifique texte n'a pu être ni prononcé, ni écrit par quiconque à cette époque-là... Et bien entendu aussi, n'idéalisons donc pas nos amis indiens disparus qui étaient loin d'être parfaits et commettaient quand même quelques forfaits que nous ne saurions cautionner en aucune façon, et tout particulièrement à l'égard des femmes, isn'it ? Qui que soit qui est donné naissance à l'écriture de ce texte, il est magnifique et peut nous permettre d'éveiller bien des consciences à travers lui, et tout particulièrement celles des enfants, tant les images qu'il met en scène sont fortes et font appel à un imaginaire visuel dont tout un chacun est doté. J'ai trouvé une bien jolie remarque sur le travail de Michel dans le courrier des surfeurs et je m'y associe: "A celui qui, dans l'ombre, met tant de choses en lumière." Michel, on t'aime. De Monique Daubresse Balayer, le 17 novembre 2007 : Bonjour,