Stribe tisse des réseaux sociaux à façon Un outil simplissime permettant à toute entreprise de créer de son propre réseau social sur son site web : voilà ce que propose la jeune pousse française Stribe. Une bonne idée toute simple, qui lui a d'ailleurs permis d'être lauréate de la StartIUp Competition, un concours d'entreprises innovantes, qui comptait une quinzaine de start-up finalistes, lors de la conférence Web ?09. Une grand-messe organisée par Loic Le Meur (notre interview vidéo), qui rassemblait acteurs de l'Internet et investisseurs à Paris en décembre dernier. Joli début pour la jeune entreprise, créée en mars 2008 par trois anciens de Sciences Po, Potytechnique et l'Institut Telecom, qui ont levé 400 000 ? Concrètement, Stribe propose une application qui permet à une marque de créer et d'implanter un mini réseau social sur son site Internet. Résultat: avec Stribe, le site devient un lieu d'échange : les internautes peuvent échanger entre eux, et laisser des communautaires sur le site.
Cratyle Une page d’accueil comme bureau virtuel ! | Actualités WEB 2.0 e Posté le janvier 22, 2010 par Brice Quelle est la page d’accueil qui s’affiche lorsque vous lancez votre navigateur ? Gardez l’information pour vous, elle est souvent très personnelle ! La page de recherche de google dans bien des cas, une page plus informative dans d’autres. Dans le style de Netvibes ou iGoogle, voici Symbaloo. Personnellement, ça m’a conquis : Plusieurs zones (qui correspondent à des thématiques) réparties sur une grille donnent accès à tous types de services : News, webmails, recherches, favoris, RSS, … A la façon d’Apple dans l’iphone, derrière un icône peut se cacher une application en ligne ou un raccourci vers un site favoris. Une fois configuré votre « bureau », un autre onglet vous propose les actualités en images !
Dans "01 Business & Technologies" / Paroles d'entrepreneurs / À la une / OSEO - OSEO Vos besoins, nos solutions bpifrance accompagne et finance le développement des entreprises: amorçage, conquête de marchés en France ou à l'international, trésorerie, innovation, croissance... Actualités 18 avr. L’EPIC BPI-Groupe obtient la note AA + par Fitch Ratings L’agence de notation Fitch ratings souligne l’importance stratégique, la solidité et les bonnes p... Lire la suite 22 avr. Recherche et innovation en audiovisuel et multimédia : bilan 2011-2013 Le Centre national du cinéma et de l’image animée et Bpifrance publient le bilan 2011-2013 de l... Lire la suite + d'actus Contactez bpifrance de votre région Adressez-nous votre projet en ligne bpifrance accompagne les entreprises de l'amorçage jusqu'à la cotation en bourse, du crédit aux fonds propres. Adressez-nous votre demande, votre projet en ligne ici Le bilan 2013 de bpifrance en images Toutes les vidéos sur tv Bpifrance Les derniers tweets bpifrance Tous les tweets
Programme Management Maturity Model (PMMM) (Reiss, Rayner) What is the Programme Management Maturity Model (PMMM)? Description The Programme Management Maturity Model (PMMM) provides a mechanism through which an organization or a group within an organization can do the following: It can make an assessment of itself. The benchmark takes place on the following 10 key program management processes: Management organization. Each stage of maturity for each of ten key program management processes is summarized by a question. Using a computer spreadsheet and a graphics tool, the ratings can be converted into a visual profile of the program. Origin of PMMM. The PMMM is based upon the processes defined in the CCTA publication: "Managing Successful Programmes". Calculation of the Programme Management Maturity Model. A spreadsheet model analyses the results. Usage of PMMM. An organization can benchmark a single program or its overall program management maturity in comparison with a large database of other organizations. Steps in the PMMM. Assumptions of PMMM.
ITW : François Rocaboy, co-fondateur de Pearltrees Vendredi dernier, des membres de l’équipe Pearltrees sont venus nous faire une petite présentation de leur outil. L’occasion pour nous de poser plein de questions à François Rocaboy, l’un des co-fondateur de la start-up, et de mesurer ce qui se cache derrière l’ambition affirmée de l’équipe : donner du sens au web 2. Qui êtes-vous François Rocaboy ? Je m’appelle François Rocaboy,j’ai 32 ans, je suis en charge de la communication, du marketing et de la marque et de la communauté Pearltrees CMO (chief Marketing Officer) et l’un des co-fondateurs de Pearltrees. Pearltrees, qu’est-ce que c’est au juste ? Pearltrees est un réseau d’intérêt collaboratif. Bravo, on parle de plus en plus de Pearltrees, jusqu’à Robert Scoble ou RWW US. Oui. Mais soyons clair, Pearltrees est encore en alpha et de nombreuses fonctionnalités doivent encore venir. La question est celle de la facilité d’adoption. Aujourd’hui, on parle volontiers du web de flux, à travers les flux RSS, twitter ou facebook.
Hier dans la soirée, Keolis Rennes, délégataire du service de transport public de Rennes Métropole, publiait en ligne ses données de transport à l’adresse: L’ouverture des données d’information de son réseau STAR et du service Le vélo STAR constitue une première en France. L’objectif de cette ouverture est de susciter l’émergence de nouvelles applications imaginées par des citoyens pour le bien de la communauté. On savait Rennes Métropole particulièrement actif dans les expérimentations participatives et citoyennes autour des nouvelles technologies mais les bretons sont allés encore plus loin dans cette démarche et deviennent précurseurs sur la libération des données publiques en confiant à Keolis Rennes l’ouverture des données transport. L’exploit Or l’ouverture des données ne va pas de soi pour les organisations. Ce sont des questions de conception (politique) et de valeur (économique) des données elles-mêmes. Quelles données ? Les données disponibles
Laurence Saquer, Danone Communities : « Révéler une façon de voir les contenus avec Pearltrees » Lancé en 2009, l'outil de curation de contenus web Pearltrees (voir ici une présentation détaillée) fait figure d'exception dans la famille des « réseaux éditoriaux participatifs » incarnés par Scoop.it, Curated.ly ou encore Storify.com. Ce service web gratuit, qui permet de cartographier et présenter ses pages web favorites à la communauté Pearltrees, mise sur une présentation proche des arbres à idées (un arbre = un répertoire, une perle = une page web) pour séduire les utilisateurs friands d'outils web visuels. Ses applications sont multiples pour les usagers professionnels : e-veille, networking B2B ou B2C, e-réputation, e-branding, etc.. Voici le retour d'expérience et l'éclairage pratique de Laurence Saquer -sociologue, et online communications manager chez danone.communities- qui est une utilisatrice assidue de Pearltrees. CCM - Dans quel cadre utilisez-vous Pearltrees, et pour quelles applications ? LS - L'aspect visuel est fondamental. LS - Créez les perles de vos passions !
Orange devient partenaire de Netvibes pour offrir le plus import Grâce à ce partenariat, des millions d’utilisateurs de mobiles en Europe, au Moyen-Orient et en Afrique, auront accès pour la première fois à la plate-forme de widgets de Netvibes sur mobile ;Les fournisseurs de contenus auront quant à eux accès aux quelque 130 millions de clients mobile Orange. Orange et Netvibes annoncent aujourd’hui un partenariat permettant aux utilisateurs de mobiles d’accéder au catalogue de widgets Netvibes, et cela depuis une large gamme de mobiles. L’immense catalogue de Netvibes, proposant près de 200 000 widgets interactifs, sera accessible via Orange widgets, un service disponible sur 80 % des téléphones vendus par Orange. Il sera également disponible sur Djinngo mobile, un service d’Orange proposé partout dans le monde. Les widgets mobiles seront aussi mis à disposition dans l’Application shop d’Orange. Orange widgets a été lancé en juillet 2009 et a été conçu pour simplifier les usages multimédia mobile grâce à un accès direct et rapide.
100 000 éditeurs et 10 M de pages vues par mois pour Pearltrees Le site français de sélection et de partage des perles du web annonce, 15 mois après son lancement et trois mois après la sortie de ses nouvelles fonctionnalités collaboratives, le franchissement de deux caps symboliques: 100 000 éditeurs et 10 M de pages vues / mois. Chaque utilisateur génère plus de 100 pages vues par mois ce qui donne un aperçu de la réelle implication que génèrent la découverte et le partage de perles. En décembre dernier, à l’occasion de la conférence LeWeb10, Pearltrees avait lancé “Team”: la possibilité de créer en temps réel avec un nombre illimité d’utilisateurs un même bouquet de perles. Une nouvelle dimension collaborative qui n’est pas étrangère au développement de nouvelles communautés sur la plateforme. Entretien exclusif avec Patrice Lamothe, créateur et CEO de Pearltrees.
Marketing Télétravail – Quoi ? Combien ? Où ? Notre partenaire Zevillage nous a alertés récemment sur une contestation des chiffres du télétravail, un sujet que nous suivons régulièrement du fait de notre intérêt pour le sujet depuis de nombreuses années. “Depuis 2012, le code du travail définit précisément le télétravail: un travail qui « aurait également pu être exécuté dans les locaux de l’employeur », mais effectué « hors de ces locaux de façon régulière et volontaire » et encadré par un avenant au contrat de travail. Le télétravail c’est la santé Le concept d’ “ergostressie » a été créé par Yves Lasfargue, créateur et animateur de l’Obergo. souvent décrit comme sociologue dans les journaux, ce titre ne figure pas pour autant dans son CV en ligne et cette activité sociologique ne semble pas être pratiquée dans le cadre d’un organisme reconnu (CNRS, EHESS…). L’important est que ce message ne soit pas brouillé par des explications nuancées ou alambiquées. Il n’y a pas UN télétravail
Quand des patrons du Net veulent faire taire Capital - Olivier Bouchara Lequel découvrira le Google de demain ? Capital a fait évaluer le business model de 40 start-up financées par les cadors du web. Le verdict n’a pas plu à tout le monde. Beaucoup de réactions passionnées ont entouré notre enquête, publiée dans le numéro d'octobre et signée par Olivier Bouchara, sur les patrons vedettes du Web, titrée « Lequel découvrira le Google de demain ». Le sujet est bien dans l’air : fortune faite, Xavier Niel (fondateur de Free), Marc Simoncini (Meetic), Pierre Kosciusko-Morizet (PriceMinister), Marc Ménasé (ex DG de Nextedia) et Pierre Chappaz (fondateur de Kelkoo) ont en effet décidé de financer des dizaines de projets d’e-commerce, de sites communautaires ou d’applications pour téléphones mobiles. Avec l’espoir, bien légitime, de trouver la perle rare et de décrocher le jackpot. Mais ces entrepreneurs hors pair ont-ils autant de flair quand il s’agit de miser sur des jeunes pousses qu’ils n’ont pas créées ? La rédaction