Gaulois (peuples) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Gaulois. Carte de la Gaule et de ses principales régions selon Jules César avant sa conquête complète (58 avant J.-C.) : Gaule Celtique (Celtica), Gaule Belgique (Belgica), Gaule Aquitaine (Aquitania), Gaule Narbonnaise (Narbonensis) et Gaule Cisalpine (Cisalpina). Les Gaulois constituent l'ensemble des peuples protohistoriques habitant la Gaule (telle qu'elle fut définie par Jules César). Excepté les Aquitains, ils se rattachaient plus largement à la civilisation celtique, jusqu'à ce que les processus d'acculturation liés au commerce et à la conquête romaine, n'en fassent des gallo-romains. Les Gaulois étaient divisés en de nombreux peuples qui se comprenaient entre eux, qui pensaient descendre tous de la même souche et qui en connaissaient la généalogie. Les Gaulois se nommaient eux-mêmes « Celtes » ou « Celtae »[n 1] en leurs langues. — Commentaires sur la Guerre des Gaules I-1, Jules César
Archéologie départementale Conseil Général des Pyrenées Orientales 24, quai Sadi Carnot 66009 - Perpignan Cedex In Secula Teutatès Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Mythologie[modifier | modifier le code] Ce dieu est aussi connu par des inscriptions sous la forme « Totatus » retrouvées au sanctuaire de Beauclair, à Voingt (Puy-de-Dôme), en territoire arverne. Teutatès est une forme archaïque ou une variante de Toutatis, il provient de teutā qui a évolué en toutā et tōtā. Connu notamment à l'époque contemporaine par le biais de la bande-dessinée Astérix, où il est régulièrement évoqué par l'exclamation « Par Toutatis ! ». Le celtologue Joseph Vendryes a émis l'hypothèse qu'il pourrait s’agir d’un adjectif, utilisé pour éviter de prononcer le nom du dieu, conformément au respect d'un tabou. Bibliographie[modifier | modifier le code] Paul-Marie Duval, Les Dieux de la Gaule, Paris, éditions Payot, février 1993, 169 p. Note[modifier | modifier le code] ↑ Paul-Marie Duval, « Teutates, Esus, Taranis », Travaux sur la Gaule, Rome, 1989, p. 280 Lire en ligne sur Persée [archive]↑ Venceslas Kruta, Les Celtes.
GUATEMALAN MAYA ARCHEOLOGY El Petén, the northernmost department of Guatemala was once the center of the ancient Maya people. Reminders and remains of this civilization are found within an area covering more than 125,000 square miles and five countries. Today, we still call this "El Mundo Maya" - the World of the Maya - who lived not only in Guatemala, but in Belize, Mexico, Honduras and El Salvador. The development of the Maya culture covers three periods: (1) Pre-classic from 2000 BC to 300 AD, (2) Classic from 300 to 900 AD, and (3) Post-classic from 900 to 1500 AD. The sciences of mathematics, astronomy, agriculture and architecture were astutely developed by the Maya who also made great strides in the complex areas of socio-politics and economics. Many of the Indian dialects, presently spoken by the different ethnic groups in Guatemala, have a common linguistic root: the Maya. Step Back In Time....visit Hotel Camino Real Tikal The park covers 222 square miles amidst the thick, tropical jungle of El Petén.
Joconde, collections des musées de France BOUDIN Eugène, Venise, La douane et Notre-Dame-de-la-Salute, huile sur bois, 1895, Reims, musée des beaux-arts © Christian Devleeschauwer1/28 Costume de China Poblana, Mexique, coton, laine, sequin, perle de verre, 4e quart 19e siècle, 1er quart 20e siècle, Barcelonnette, musée de la Vallée, © BERNARD Jean2/28 MAISON J ROTHSCHILD & Fils et RHEIMS & AUSCHER, Modèle de landau à huit ressorts, crayon graphite sur papier bristol, 4e quart 19e siècle - 20e siècle, Compiègne, musée national de la voiture et du tourisme © Arkhênum ; Compiègne, musée national de la voiture et du tourisme - utilisation soumise à autorisation3/28 Portrait de Tiberius Gemellus ? DE DIETRICH, Saint Georges terrassant le dragon, bas-relief, fonte moulée, entre 1950 et 1960, Reichshoffen, musée historique et industriel, musée du fer © Pommois Etienne28/28
Le cheval et le cavalier gaulois - Les Mediomatrici A deux semaines de notre manifestation avec les Cavaliers du rêve, à Triembach-au-val (67), nous allons voir à quoi ressemblaient le cheval et le cavalier gaulois grâce à ces deux magnifiques monnaies. Commençons avec le cheval représenté sur cette monnaie gauloise en or découverte en 2005, sur le chantier INRAP de la rue aux ours, à Rouen (Seine-Maritime) : ©INRAP - Iconothèque de l'Institut National de Recherches Archéologiques Préventives Continuons maintenant avec cette superbe représentation du cavalier gaulois sur ce statère en electrum (or et argent) découvert dans une exploitation agricole de l'âge du fer (Laniscat, Côte d'Armor). Cette monnaie est issue du trésor dit de Laniscat et composé de 58 statères + 487 quarts de statères. ©INRAP - Iconothèque de l'Institut National de Recherches Archéologiques Préventives Pour continuer dans la série, mon bouclier avec ce cheval formé autour de l'umbo du bouclier et inspiré d'une monnaie celtique insulaire. Partager l'article ! inShare
5 curiosités archéologiques qui défient nos connaissances Le mécanisme d’Anticythère En avril 1900, un pécheur d’éponges découvrit une épave antique qui gisait au large de l’ile d’Anticythere, en Grèce, par 60 mètres de fond. Parmi les statues et objets divers que les autorités grecques rapportèrent du navire, on trouva plusieurs fragments de bronze corrodés, quasiment fossilisés, qui ne semblaient présenter aucune valeur. Ce n’est qu’en 1902 que l’on réalisa que ces pièces constituaient un mécanisme, très complexe, qui allait devenir l’un des objets les plus importants et les plus énigmatiques jamais découverts dans l’histoire de l’archéologie. La pile de Bagdad démontée La pile de Bagdad En 1936, lors de fouilles archéologiques menées au sud de Bagdad, on découvre un étrange vase en terre cuite parmi des centaines d’objets antiques. Le pillier de Delhi - Crédits photo Amit Kar Le pilier de Dehli Dans la banlieue de Dehli, en Inde, se trouve un pilier de fer qui est longtemps resté une énigme archéologique. Détail de la carte de Piri Reis
Histoire et évolution de l'armée romaine Bonjour à tous, Je vois plein de choses intéressantes dans vos derniers post, aussi vais-je essayer d'y répondre sans rien oublier ni m'emmêler les pinceaux, pour un illustrateur ce serait dommage... Je rejoins bien sûr votre avis général sur le fait qu'il est important que les illustrateurs fournissent leurs sources. Mais cela présente quelques difficultés. "Pour ce qui est des sources de mes illustrations, j'ai bien conscience de ce problème et de la notion de crédibilité que cela engage, mais nous retrouvons ici la même problématique que pour le texte des articles, à savoir le manque de place ! Tout çà pour dire que si vous souhaitez connaître les sources de mes illustrations, faites-le moi savoir et je vous répondrai, comme je l'ai fait pour Genava avec les premières manipules romaines.Au passage, merci Genava de faire confiance à mon travail Pour Europa Barbarorum, l'équipe du mod fait un travail incroyable.