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Disruptions: Life's Too Short for So Much E-Mail Tony Cenicola/The New York TimesRoyal Pingdom, a Web site that monitors Internet usage, said that in 2010, 107 trillion e-mails were sent. Corporate employees sent and received 105 e-mails a day. Just thinking about my e-mail in-box makes me sad. This month alone, I received more than 6,000 e-mails. That doesn’t include spam, notifications or daily deals, either. It’s not that I’m so popular. Last year, Royal Pingdom, which monitors Internet usage, said that in 2010, 107 trillion e-mails were sent. Sure, some of those e-mails are important. All of this has led me to believe that something is terribly wrong with e-mail. I’ve tried everything. Last year, I decided to try to reach In-box Zero, the Zen-like state of a consistently empty in-box. Meanwhile, all of this e-mail could be increasing our stress. A research report issued this year by the University of California, Irvine, found that people who did not look at e-mail regularly at work were less stressed and more productive than others.
Les marchés publics L’obligation pour les bibliothèques de passer des marchés publics pour leurs acquisitions documentaires n’est pas chose nouvelle. Mais le recours de plus en plus fréquent à cette procédure, pour beaucoup liée à l'extension du réseau des médiathèques, donne un relief particulier à cette forme de « conventionnement » entre lecture publique et librairie. Parce qu'elle touche d'un côté au niveau de vie des établissements et de l'autre aux résultats comptables des entreprises, la question des achats est une question sensible révélatrice de l'activité, voire de l'identité, de chaque partenaire. Par ailleurs, l'obligation de passer des marchés publics englobe pour les collectivités territoriales un nombre important de procédures au titre desquelles les acquisitions des médiathèques n'ont qu'une importance très relative, et la passion des professionnels, prompts à plaider l'exception du livre comme « produit pas comme les autres », ne trouve pas toujours un écho très convaincu.
Médiation numérique : une définition J'ai écrit ce blog entre 2005 et 2018, de nombreux billets peuvent vous intéresser. Désormais je m'occupe de Design des politiques publiques. Retrouvez-moi sur mon nouveau blog ! Je me rends compte qu’il est nécessaire de clarifier et de faire évoluer ma définition de médiation numérique des savoirs. La médiation numérique des savoirs est une démarche visant à mettre en œuvre des dispositifs de flux, des dispositifs passerelles et des dispositifs ponctuels pour favoriser l’accès organisé ou fortuit, l’appropriation et la dissémination de contenus à des fins de diffusion des savoirs et des savoir-faire. Pour moi la médiation numérique n’est donc ni de la communication ni du marketing public au sens strict, mais se situe au cœur des métiers de l’information-documentation, quelque part entre l’accompagnement à la recherche documentaire, la gestion/diffusion de contenus et l’animation de communautés.
10 conseils pour monter un projet « Tablettes » dans votre établissement La rentrée se profile à l’horizon. Il est temps de se mettre en quête du lieu où l’on a rangé son cartable et ses bonnes résolutions pour l’année 2013-2014. Voici, pour vous aider, dix arguments pour monter un dossier de subventions pour des tablettes. Et oui, surprenant aux premiers abords, mais faites le calcul des coûts sur 4 ans pour le lancement de postes informatiques. Ce qui coûte cher ne sont pas les machines, mais l’environnement nécessaire pour accueillir ces ordinateurs (prises électriques, réseau, mobilier, salle et le coût humain de la maintenance…). Les prix des tablettes, même si encore actuellement élevé pour des tablettes de qualité, sont en perpétuelle évolution, et sont plus compétitifs face aux ordinateurs fixes. La force principale des tablettes est leur très faible coût d’entretien. Reste le point primordial de la sécurité des terminaux. La prise en main d’une tablette ne demande pas « trop de temps ». >> Lire : Exemple
D’images et d’eau fraîche - Ode à Pinterest L’une des raisons pour lesquelles les mises à jour de Périphéries sont devenues si rares, c’est que j’ai été avalée par les réseaux sociaux. Maintenant, quand j’ai envie de recommander un livre, au lieu de me fatiguer à synthétiser le propos de l’auteur, à le décortiquer et à le commenter, à le mettre en relation avec des lectures passées, je balance deux lignes sur Facebook ou sur Twitter : « Lisez ça, c’est super. » Une grande avancée pour la finesse de la pensée et la richesse du vocabulaire. Dans son étude des usagers du téléphone portable, le sociologue Francis Jauréguiberry (1) analyse ce que change dans les relations humaines le fait d’avoir à disposition des moyens de communication instantanée, et de pouvoir atteindre n’importe qui, n’importe quand, par un appel ou un SMS — mais sa réflexion vaut aussi pour un statut Facebook ou un tweet. Denys Finch Hatton en safari Lettre d’Eugène Delacroix à son marchand de tableaux, 28 octobre 1827 Bref. Dans le « New Yorker » Bovarysme 2.0
Trois « méta-études » sur les comportements informationnels des usagers Les enquêtes et études sur les comportements informationnels des usagers, notamment universitaires, n’ont jamais été si nombreuses et si riches. Et il devient très difficile, sinon impossible, d’en faire un suivi exhaustif. Aussi faut-il saluer particulièrement les « méta-études », fondées sur des états de l’art de la littérature et des synthèses de travaux. En voici trois, découvertes ces dernières semaines, toutes trois évidemment anglo-saxonnes (l’analyse d’un grand nombre de travaux de recherche sur les usagers et les pratiques informationnelles confirme l’écrasante supériorité des Anglais et des Américains dans ce domaine ; mais ceci est un autre sujet !), de grande ampleur et produites par l’incontournable JISC. Cette importante étude, fondée pour partie sur une revue de la littérature et une synthèse des travaux menés depuis trente ans sur les comportements informationnels des jeunes, visait deux grands objectifs : La deuxième synthèse à signaler est sortie très récemment.
Mitsuba - physically based renderer Alsacréations : Actualités et tutoriels HTML, HTML5, CSS, CSS3, standards du web I’m still here: back online after a year without the internet I was wrong. One year ago I left the internet. I thought it was making me unproductive. I thought it lacked meaning. It's a been a year now since I "surfed the web" or "checked my email" or "liked" anything with a figurative rather than literal thumbs up. And now I'm supposed to tell you how it solved all my problems. But instead it's 8PM and I just woke up. I didn't want to meet this Paul at the tail end of my yearlong journey. In early 2012 I was 26 years old and burnt out. I thought the internet might be an unnatural state for us humans, or at least for me. My plan was to quit my job, move home with my parents, read books, write books, and wallow in my spare time. My goal would be to discover what the internet had done to me over the years But for some reason, The Verge wanted to pay me to leave the internet. My goal, as a technology writer, would be to discover what the internet had done to me over the years. This was going to be amazing. I dreamed a dream Back to reality Family time