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Campagne contre le Cyberharcèlement

Campagne contre le Cyberharcèlement
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Cyber-harcèlement : le bouleversant témoignage d'une victime Cet article date de plus de huit ans. Publié le 03/04/2016 21:08 Mis à jour le 04/04/2016 15:47 Temps de lecture : 1min - vidéo : 6min Snapchat, Facebook, Instagram... France 2 a recueilli le témoignage d'une jeune fille de 13 ans, Mathilde (nom d'emprunt) victime de cyber-harcèlement. A 13 ans, l'adolescente espérait être populaire en communiquant avec ses copines sur les réseaux sociaux. L'Education nationale estime qu'un élève sur cinq est victime d'insultes ou d'humiliations par SMS ou sur internet. Partager : l’article sur les réseaux sociaux les mots-clés associés à cet article

Lauréats du concours Non au harcèlement Vous souhaitez participer au prix "Non au harcèlement" 2023-2024 ? Cette année marque la onzième édition du prix "Non au harcèlement". Destiné aux élèves du CP au baccalauréat, le concours consiste en la production d'un support de communication (affiche ou vidéo), sous la conduite des équipes pédagogiques et éducatives, en articulation avec le plan de prévention du harcèlement de leur école ou de leur établissement. Le prix récompense les projets collectifs qui dénoncent le harcèlement en milieu scolaire et proposent des solutions pour lutter contre ce phénomène, dans le respect des valeurs de la République. En savoir plus sur les modalités du prix "Non au harcèlement" 2023-2024 Lauréats 2023 La cérémonie officielle de remise des prix nationaux s'est déroulée mercredi 24 mai 2023. Meilleure affiche lutte contre le harcèlement, niveau école élémentaire École primaire Marguerite Yourcenar, Le Doulieu, académie de Lille - "En conjuguant nos efforts, nous gagnerons" Télécharger l'affiche - lycée

Dispositif d’assistance aux victimes d’actes de cybermalveillance "Si le jeu blesse, il faut que ça cesse" : un clip pour sensibiliser les élèves au harcèlement à l'École Si le jeu blesse, il faut que ça cesse : un clip pédagogique inspiré du prix coup de coeur des professionnels de la communication Non au harcèlement 2023 Réalisé par les élèves du collège Françoise-Seligmann à Paris, la vidéo lauréate du prix coup de coeur des professionnels de la communication Non au harcèlement 2023 repose sur le synopsis suivant : Il est 20 h 30. Laëtitia Bertheuil est scénariste et réalisatrice de ce clip. Cet élément n'est pas imprimable. Un livret pédagogique pour accompagner le dialogue avec les élèves Le 9 novembre 2023, journée nationale Non au harcèlement, deux heures sont banalisées afin que chaque écolier, chaque collégien, chaque lycéen puisse être sensibilisé au phénomène du harcèlement et à ses conséquences. Une affiche pour faire connaître le numéro d'écoute 3018 Élèves, parents, professionnels, un numéro vert, le 3018 et une application mobile pour tout renseignement ou signalement. Accès à la plateforme Phare Accéder aux ressources sur le site Eduscol

Comment lutter contre le cyber harcèlement ? Comme souvent, l’argent est le nerf de la guerre. Dans la bataille contre le cyber harcèlement, c’est en tout cas un outil imparable, dès lors qu’un annonceur préfère se retirer d’un site plutôt que d’associer son image à un mauvais bruit médiatique. Ainsi les marques Barilla et Spotify ont-elles décidé de suspendre leurs publicités sur Jeuxvideo.com. En cause : le sulfureux forum 18-25 de ce site. Un forum soupçonné d’avoir été le point de départ d’une campagne de harcèlement, d’abord contre les initiateurs d’un projet (le numéro anti-relou) visant à lutter contre le sexisme, ensuite contre une journaliste, Nadia Daam, ayant dénoncé cette campagne. De véritables raids numériques, accompagnés de messages de haine. Le cyber harcèlement n’est pas un phénomène nouveau. Mais l’actualité lui donne une nouvelle visibilité. "La lutte contre le cyber harcèlement est-elle vouée à l’échec ?"

Harcèlement | Internet responsable Page mise à jour le 11 octobre 2016 Le harcèlement en milieu scolaire n’est plus aujourd’hui cantonné aux cours de récréation. Le cyberharcèlement est en forte hausse et peut prendre différentes formes. En France, 40 % des jeunes déclarent avoir été victimes de cyberviolence au moins une fois pendant l’année scolaire (SMS, médias sociaux...) et 6 % des élèves disent être agressés de façon répétée sur internet[1]. Présentation Le harcèlement est le fait de perpétrer des actes ou tenir des propos, de façon répétée, « ayant pour objet ou pour effet une dégradation des conditions de vie de la victime se traduisant par “une altération de la santé physique ou mentale” de la personne harcelée ». L’article 222-33-2-2 du Code pénal incrimine et sanctionne ces faits « d'un an d'emprisonnement et de 15 000 euros d'amende lorsque ces faits ont causé une incapacité totale de travail inférieure ou égale à huit jours ou n'ont entraîné aucune incapacité de travail ». Astuce Illustration En savoir plus...

Etudiant·e·s en journalisme, nous demandons des mesures contre le harcèlement dans la profession Tribune. Etudiant·e·s en journalisme, nous sommes indigné·e·s par les agissements du groupe connu sous le nom de «la Ligue du LOL». Bientôt, nous travaillerons pour des rédactions telles que Libération, Vice, les Inrocks, Slate et bien d’autres. Nous avions déjà conscience de la récurrence du harcèlement dans de nombreux milieux professionnels, dont le nôtre. Mais nous sommes inquièt·e·s de voir que les journalistes mis·es en cause sont pour la plupart arrivé·e·s à des postes à responsabilités. La reproduction au sein même des rédactions de mécanismes de domination et d’humiliation régulièrement dénoncés par notre profession nous est insupportable. Nous ne pouvons accepter de faire nos premiers pas de journalistes dans ces conditions. Nous appelons également les rédactions et les écoles de journalisme à renforcer les dispositifs de lutte contre les discriminations de toutes sortes. Ensemble, nous nous engageons à agir pour encourager le changement.

« La Ligue du LOL n’a rien d’une exception » Tribune. Ils appelaient ça la « Ligue du LOL », nous appelons ça du cyberharcèlement. Soudain, plus personne ne rit. Réunis dans un groupe Facebook privé, une trentaine d’utilisateurs populaires de Twitter – dont des journalistes et des communicants parisiens – sont soupçonnés d’avoir participé à des campagnes de cyberharcèlement à partir de 2009 et durant des années. A coup de tweets sexistes, racistes, homophobes et antisémites, de canulars téléphoniques, de photomontages pornographiques, ils s’en sont pris à quelques hommes, mais surtout à des femmes, militantes et journalistes. Lire aussi Ligue du LOL : cinq questions pour comprendre l’affaire et ses enjeux Une profession rongée par un sexisme systémique Ces intimidations et humiliations répétées n’ont pas été sans conséquences. Aujourd’hui, les cibles de la Ligue du LOL ne se taisent plus, et nous saluons leur courage. Car la Ligue du LOL n’a rien d’une exception. Prise de conscience Collectif

Quand des ados modifient leur photo pour les réseaux sociaux, le résultat est saisissant Temps de lecture: 2 min — Repéré sur Business Insider Instagram et Snapchat, les deux temples du selfie moderne, proposent chacun des filtres toujours plus amusants et innovants. Mais derrière les sourires de façade se cachent peut-être bien des problèmes. Dans son nouveau projet intitulé «Selfie Harm», le photographe britannique Rankin a photographié quinze jeunes de 13 à 19 ans. Après cette première étape, il leur a demandé de retoucher leur photo pendant cinq minutes pour qu'elle soit, selon eux, prête à être postée sur les réseaux sociaux. Les photos ont été ensuite exposées sous forme avant/après pour exposer les nombreux changements apportés par les retouches. Santé mentale en danger L'artiste déplore la société actuelle connectée en permanence et le syndrome de dysmorphisme, dans lequel un individu a une perception de son corps faussée par rapport à la réalité. Même si les jeunes adolescentes ont dit préférer leur photo non modifiée, aucune s'est abstenue de la retoucher.

Une séquence littéraire pour prévenir les dangers de la Toile La journée du 8 novembre 2018 organisée pour prévenir et lutter contre toutes les formes de harcèlement a notamment eu le mérite de raviver la force des témoignages et de souligner combien les enfants et pré-adolescents demeuraient des proies idéales pour les cyber-harceleurs. Si l’on doit dégager une première ligne de force des divers témoignages de cyber-harcelés ou plus globalement de jeunes gens agressés moralement sur Internet, c’est sans doute à la fois la naïveté des premières incursions sur la Toile et l’incapacité à s’en défaire immédiatement. En situation de fragilité psychologique voire simplement dans un questionnement sous quelque forme que ce soit, rares sont les enfants ou pré-adolescents possédant la maturité et le recul suffisants pour naviguer sans crainte en terrain piégé. La littérature comme source de questionnements L’approche proposée pourra être mise en œuvre avec une classe de sixième. La Toile : une métaphore à expliciter Moralités de la fable…

Ne pas être importuné·e, ça doit commencer à l’école La « ligue du LOL » : une expression sordide, censée être drôle et désormais synonyme de l’onde de choc qui a bouleversé les grands médias français en février 2019. Le milieu du journalisme, de la communication et de la publicité découvre un réseau d’individus qui pratique ou a pratiqué le harcèlement sexiste, misogyne et même raciste dans leur environnement professionnel. Le scandale, plus de deux ans après les affaires révélées par #MeToo et le mouvement #BalanceTonPorc, met la lumière sur d’autres cas de violences et de harcèlement en écoles de journalisme. Sexisme ordinaire Ces révélations viennent appuyer un autre phénomène : celui d’un sexisme ordinaire, admis, voire encouragé, comme en témoigne la « Tribune des 100 ». Elles y revendiquaient la liberté d’importuner, soulignaient que les frotteurs dans le métro n’étaient que l’expression d’une misère sexuelle. Les filles soumises aux stéréotypes de genre Les garçons ne sont pas épargnés Les parents, premiers coupables ?

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