Une rescapée de la rafle du Vél d'Hiv se souvient Il y a 75 ans, les 16 et 17 juillet 1942, plus de 13 000 juifs étaient arrêtés à Paris, dont 4 000 enfants. Une partie d'entre eux a été rassemblée dans le Vélodrome d'Hiver. Sarah Lichtsztejn-Montard a réussi à s'en échapper. Pendant longtemps, Sarah Lichtsztejn-Montard a fait le même cauchemar. "La nuit, je voyais les petits fantômes verts du Vél d’Hiv', raconte-elle d’une voix forte qui ne tremble pas. Ces corps sans visage continuent de la hanter, mais Sarah Lichtsztejn-Montard témoigne encore et encore. Deux policiers français Sarah n’a alors que 14 ans. Le 15 juillet 1942, le dernier jour de classe avant les grandes vacances, une des camarades juives de Sarah l'alerte : "Elle m’a expliqué que ses parents connaissaient un commissaire de police qui leur a dit qu’il se préparait une rafle monstre de femmes, d’enfants et de vieillards. Sitôt rentrée chez elle, Sarah informe sa mère. "Mais elle s’est assoupie. Un reportage réalisé par France 24 pour le 72e anniversaire de la rafle
Charles de gaulle - paroles publiques - Appel du 22 juin 1940 Charles de Gaulle Le gouvernement français, après avoir demandé l'armistice, connaît, maintenant, les conditions dictées par l'ennemi. Il résulte de ces conditions que les forces françaises de terre, de mer et de l'air seraient entièrement démobilisées, que nos armes seraient livrées, que le territoire français serait totalement occupé et que le gouvernement français tomberait sous la dépendance de l'Allemagne et de l'Italie. On peut donc dire que cet armistice serait non seulement une capitulation mais encore un asservissement. Or, beaucoup de Français n'acceptent pas la capitulation ni la servitude pour des raisons qui s'appellent l'honneur, le bon sens, l'intérêt supérieur de la patrie.
Convoi 77, un projet européen pour transmettre autrement l'histoire de la Shoah Publié le : 27/01/2021 - 07:19 À l'occasion de la journée internationale en la mémoire des victimes de la Shoah, France 24 met en lumière le projet Convoi 77. Depuis plus de six ans, des élèves français et étrangers rédigent les biographies des déportés de ce convoi, le dernier à être parti de Drancy, le 31 juillet 1944. Une autre façon d’enseigner l’histoire de ce génocide. Fanny Azenstarck avait 23 ans. Plus de 75 ans plus tard, leurs visages s’affichent désormais sur le site du Convoi 77. Pour preuve, il cite les derniers sondages réalisés auprès des jeunes. Pour ne pas laisser le champ libre aux négationnistes et donner un nouveau souffle à cet enseignement alors que les derniers témoins disparaissent, une idée très simple émerge : proposer à des collégiens et à des lycéens de retracer le parcours d’une personne du convoi originaire de leur ville ou y ayant vécu. L’association fournit aux enseignants des archives pour démarrer leurs recherches, ainsi que des conseils pédagogiques.
La Shoah à travers la Bande Dessinée Expo BD L'Appel du 22 juin 1940 L'Appel du 22 juin 1940 Il n'y a pas eu d'enregistrement (audio ou vidéo) de l'Appel du 18 juin 1940 contrairement à celui du 22 juin 1940 avec lequel on le confond souvent : TEXTE DE L'APPEL du 22 JUIN 1940 Le gouvernement français, après avoir demandé l'armistice, connaît, maintenant, les conditions dictées par l'ennemi. Il résulte de ces conditions que les forces françaises de terre, de mer et de l'air seraient entièrement démobilisées, que nos armes seraient livrées, que le territoire français serait totalement occupé et que le gouvernement français tomberait sous la dépendance de l'Allemagne et de l'Italie. On peut donc dire que cet armistice serait non seulement une capitulation mais encore un asservissement. Or, beaucoup de Français n'acceptent pas la capitulation ni la servitude pour des raisons qui s'appellent l'honneur, le bon sens, l'intérêt supérieur de la patrie. Je dis l'honneur, car la France s'est engagée à ne déposer les armes que d'accord avec ses alliés.
VIDEO. Il y a 70 ans, le massacre d'Oradour-sur-Glane Cet article date de plus de sept ans. Publié le 10/06/2014 10:06 Mis à jour le 10/06/2014 10:21 Durée de la vidéo : 1 min. Article rédigé par Le Premier ministre se rend, mardi, dans ce village de Haute-Vienne pour participer à l'hommage aux 642 victimes de cette tragédie. Il y a soixante-dix ans jour pour jour, 642 civils, hommes, femmes et enfants, étaient massacrés à Oradour-sur-Glane (Haute-Vienne) par la division SS Das Reich. Selon le programme communiqué par Matignon, Manuel Valls, accompagné par le secrétaire d'Etat aux Anciens combattants et à la Mémoire, Kader Arif, arrivera à 15 heures dans le village martyr. Longtemps embryonnaires, les investigations relancées outre-Rhin ont débouché en début d'année sur l'inculpation d'un Allemand de 88 ans pour sa responsabilité dans ce qui restera comme la pire tuerie perpétrée sur le sol français par les troupes nazies. Partager :
Lucie et Raymond Aubrac :les inséparables de la Résistance Résister et transmettre Ce dossier thématique à destination des élèves du collège et du lycée (histoire et EMC) retrace le destin de Lucie et Raymond Aubrac, résistants et amoureux, rompus à la vie clandestine, auteurs de plusieurs évasions des geôles nazies. À partir des années 1970, ils parcourront des centaines d'écoles en France pour transmettre la mémoire de la Résistance et répéter leur engagement inébranlable en faveur de la liberté : Le mot résister doit toujours se conjuguer au présent, répétait Lucie Aubrac. Nous étions arrivés avec grand retard, Max, Schwarzfeld et moi, et la bonne du docteur nous avait laissés au rez-de-chaussée de la villa, dans le petit salon où attendaient les malades. Piégés par la Gestapo C’est Raymond Aubrac qui raconte la scène[1] Pascal Convert, Raymond Aubrac, résister, reconstruire, transmettre, éd. Frise chronologique du CNR : de la clandestinité à la Libération (cliquer pour déplier) Faux papiers, vraie évasion Raymond, pseudonyme Aubrac
Retour sur la bataille de Stalingrad Cet article date de plus de neuf ans. Publié le 10/05/2015 16:11 Mis à jour le 10/05/2015 17:59 Durée de la vidéo : 3 min Une équipe de France 2 revient sur l'effroyable bataille de Stalingrad pendant la Seconde Guerre mondiale. Les 70 ans de la capitulation de l'Allemagne nazie ont été célébrés samedi 9 mai en Russie. Aujourd'hui, une immense statue surplombe la colline des principaux combats et les dizaines de milliers de personnes qui y sont enterrées. 16 fois les Allemands ont attaqué, 16 fois les Russes les ont repoussés. Partager : l’article sur les réseaux sociaux les mots-clés associés à cet article Le 27 janvier 1945, le camp d'Auschwitz était libéré Cet article date de plus de huit ans. Publié le 26/01/2015 18:33 Mis à jour le 26/01/2015 18:48 Durée de la vidéo : 2 min La libération du camp de concentration d'Auschwitz par les troupes soviétiques a marqué le début de la libération des camps où les Allemands ont exterminé 6 millions de Juifs. France 3 revient sur cette histoire tragique à l'occasion des commémorations des 70 ans de l'évènement. Il y a 70 ans, le 27 janvier 1945, le camp de concentration d'Auschwitz était libéré par l'armée soviétique. Au fur et à mesure de leur progression, les Alliés libèrent une vingtaine de camps. Partager : l'article sur les réseaux sociaux La Quotidienne Monde Retrouvez tous les jours à 19h les événements marquants de l’actualité internationale France Télévisions collecte votre adresse e-mail pour vous adresser la newsletter "La Quotidienne Monde".