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FUKUSHIMA...à voir !

FUKUSHIMA...à voir !
Liens et vidéos Page initiée le 27 juillet 2011 16 Décembre 2013 : Mythe la sureté de l'excellence française en matière de nucléaire. Lien 22 novembre 2013 : Le WIKIPEDIA francophone. Qu'est -ce qu'un député européen ? 16 novembre 2013 : Diffusion (gratuite) à partir de ce soir 23 heures, d'une interview JP PETIT par Bob, d'une heure, sur le thème "Les OVNIS et le pouvoir" La chaîne Planète est venue enregistrer chez moi une interview, sur le thème "Les OVNIS et le pouvoir". et pouvoir.pdf Si le fichier est corrompu, essayez le site miroir : et pouvoir.pdf 26 Octobre 2013 : Interview JP PETIT sur la Voix de la Russie (édition francophine:80.000 vues/jour) : Hollande en Syrie

Le corium de Fukushima (1) : description et données Corium : c’est le mot tabou de Tepco. Pourquoi l’entreprise responsable de la plus grande catastrophe nucléaire au monde n’en parle jamais ? Tout simplement parce que c’est la matière la plus dangereuse jamais créée par l’homme, une sorte de magma incontrôlable et ingérable, aux conséquences incommensurables. Étant donné que beaucoup d’informations contradictoires circulent sur cette matière rare et mal connue, cet article va essayer de faire le point des connaissances actuelles. Pour réaliser cet article, j’ai tiré beaucoup d’informations du forum technique de Radioprotection Cirkus. Version téléchargeable de l'article entier au format pdf (taille 400 Ko) Traduction de l'article en espagnol par Edgar Ocampo, sur le site Crisisenergetica Traduction de l'article en anglais en cours. Traduction de l'article dans d'autres langues : je cherche des volontaires ! Sommaire Le corium de Fukushima partie 1 : description et données1. 1. 2. 3. 4. 5. 6.

11 septembre 2011 - 6 mois de Fukushima Censure des autorités, de nouvelles mesures alarmantes Six mois après le début de la catastrophe, le silence des autorités reste étouffant, et les exemples de rétention d’information se multiplient. Des populations en danger exposées à leur insu, au risque de radiation et de contamination Ainsi, les Japonais ont brutalement appris que des indices d’une fusion des cœurs - comme la présence de tellurium- avaient été détectés par les experts dès la journée suivant le tsunami. Des travailleurs sacrifiés Tout aussi ahurissante est l’absence d’information sur et à destination des travailleurs sécurisant la centrale de Fukushima Daiichi. Une machine gouvernementale de censure Censure sur la presse [4] , diffusion de faux sites d’information… Le gouvernement japonais a recours à tout un assortiment de moyens pour étouffer la contestation. La société civile s’organise Césium 137 : carte de la contamination au sol Un peu partout, des citoyens se sont formés à la mesure des radiations. Le 29 avril, M.

Pic de radioactivité inexpliqué à Fukushima Deux hommes, en mars 2011, travaillant dans la centrale de Fukushima peu après l'accident du 11 mars. © NISA Pic de radioactivité inexpliqué à Fukushima - 2 Photos Lundi 1er août, Tepco, l’opérateur de la centrale de Fukushima, a annoncé avoir enregistré un niveau record de radioactivité au fond d’un puits de ventilation, entre les réacteurs 1 et 2. Les radiations atteignent 10 sieverts par heure, le niveau le plus élevé depuis l’accident nucléaire du 11 mars dernier, qui a suivi le séisme et le tsunami. Le précédent pic, relevé le 3 juin dans le réacteur 1, n’avait atteint que 3 à 4 sieverts par heure. Une telle radioactivité est très dangereuse pour les ouvriers qui travaillent sur ce chantier. Le projet de bâtiment pour couvrir le réacteur 1 de la centrale nucléaire de Fukushima-Daiichi. © Tepco Le niveau autour de la centrale serait descendu à deux millionièmes du pic enregistré le 15 mars. A voir aussi sur Internet Sur le même sujet

Nucléaire - Témoignage de M. Hirado NORIO technicien chaudronnier rédigé en 1996 (mort du cancer en 1997) Les pronucléaires ont-ils des enfants ? La population de Fukushima, abandonnée par les autorités politiques, vit des heures terribles. Il n’est pas besoin de commenter cette vidéo, les images et les paroles en disent assez pour savoir ce que ces Japonais endurent aujourd’hui, en 2011, suite à un accident nucléaire. Il faudrait être un doux rêveur pour imaginer que cela puisse se passer autrement en France dans la même situation de contamination radioactive généralisée d’un territoire. Comme cet homme que l’on voit à la fin du reportage, je me demande si les pronucléaires ont des enfants… Cette vidéo suscite l’émoi sur le net, comme en témoignent par exemple les articles de Bigorneau ou Cécile Monnier, dont vous trouverez les liens ci-dessous. Vivant à Tokyo, je dénonce ce gouvernement irresponsable par Bigorneau 26 juillet 2011, Rue89 A Fukushima, le gouvernement japonais assassine sa population… Une vidéo mise en ligne par la population de Fukushima jette un pavé dans la marre. Fukushima: quelle est la situation de la centrale?

L'actualité de Greenpeace France Bernard Laponche : “Il y a une forte probabilité d'un accident nucléaire majeur en Europe” - Le monde bouge Physicien nucléaire, polytechnicien, Bernard Laponche est formel : la France est dans l'erreur. Avec le nucléaire, elle s'obstine à privilégier une énergie non seulement dangereuse mais obsolète. Alors que d'autres solutions existent, grâce auxquelles les Allemands ont déjà commencé leur transition énergétique. Il est des leurs. On présente toujours l'énergie nucléaire comme une technologie très sophistiquée. Pourquoi cette image s'est-elle imposée ? Parlons donc du combustible...Ce sont des crayons d'uranium, de l'uranium légèrement enrichi en isotope 235, pour les réacteurs français. Cette réaction en chaîne, on peut tout de même l'arrêter à chaque instant, non ? “Puisque le point de départ, c'est la création de produits radioactifs en grande quantité, la catastrophe est intrinsèque à la technique. Mais on multiplie les systèmes de protection...Vous avez beau les multiplier, il y a toujours des situations dans lesquelles ces protections ne tiennent pas. Pourquoi ?

Accueil - IRSN - Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire Forte réplique près de la centrale d'Onagawa (7.1 Mw) suite au séisme du 11 mars 2011 Jeudi 7 avril 2011 à 23h32 heure locale (14h32 TU), un séisme de magnitude 7,1 s’est produit à quelques kilomètres de la côte Est de l’île d’Honshu au Japon, à environ 20 km de la centrale nucléaire d’Onagawa, et à 70 km à l’est de la ville de Sendaï. L’IRSN publie une note d’information sur les caractéristiques de ce séisme. L’Alliance Européenne en Radioécologie : une initiative pour une meilleure intégration des recherches menées en radioécologie en Europe Lors de la Conférence Internationale de Radioécologie et de Radioactivité Environnementale qui ouvre le 20 juin 2011 à Hamilton (Canada), huit organismes de recherche européens présentent une initiative pour intégrer les travaux de recherche en radioécologie conduits en Europe. Position de l’IRSN sur les critiques de la CRIIRAD relatives à la surveillance environnementale en France après l’accident de Fukushima

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