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Latest Empirical Findings on Democratic Effects of the Internet

Latest Empirical Findings on Democratic Effects of the Internet
Jacob Groshek from Iowa State University recently published the latest results from his research on the democratic effects of the Internet in the International Journal of Communication. A copy of Groshek’s study is available here (PDF). Groshek published an earlier study in 2009 which I blogged about here. In this latest set of findings, Groshek concludes that “Internet diffusion was not a specific causal mechanism of national-level democratic growth during the timeframe analyzed,” which was 1994-2003. The author therefore argues that “the diffusion of the Internet should not be considered a democratic panacea, but rather a component of contemporary democratization processes.” Interestingly, these conclusions seem to contradict his findings from 2009. The purpose of this blog post is to summarize Groshek’s research so I can include it in my dissertation’s literature review. Some Background: The Methodology: The Results: What about Croatia, Indonesia and Mexico? In Conclusion: Like this:

La diplomatie digitale s'affirme, actualité Une idée derrière la tech : Le Point La nouvelle, relatée par le journal égyptien Al Arham et traduite par TechCrunch, a vite été relayée sur Internet : un Égyptien du nom de Jamal Ibrahim aurait prénommé sa fille Facebook... S'il faut rester prudent, il semble que le père ait voulu rendre hommage au réseau social dans la destitution de Hosni Moubarak. À l'occasion du Mobile World Congress de Barcelone, le patron de Google Eric Schmidt a, de son côté, félicité Wael Ghonim, un des cadres de l'entreprise au Moyen-Orient. Ce dernier a passé onze jours dans les geôles égyptiennes pour, entre autres, avoir "administré" une page Facebook intitulée "nous sommes tous des Khaled Saïd" du nom d'une victime du régime. Déclinée en français et en anglais, la page avait reçu le soutien de près d'un demi-million de personnes... Ce nouveau pouvoir n'a pas échappé à Barack Obama. Et la France dans tout cela ?

De la démocratie en numérique : Versac explore le Web social L’effet d’annonce, qui aurait pu s’avérer désastreux, s’estompe dès les premières pages. A rebours d’un grand tableau définitif ou interminable, Nicolas Vanbremeersch -alias le blogueur Versac- déploie son style limpide pour détailler au lecteur « l’anatomie » de l’espace public numérique. Le voyage qu’il nous propose est sans fioritures. Le guide est modeste, fin et direct. En sa compagnie, le lecteur explorera « les trois Web » que sont le Web documentaire (de Wikipedia aux sites institutionnels), le Web de l’information et le Web social (des blogs aux réseaux sociaux). Sa typologie pourrait faire date d’autant plus qu’il la développe avec quelques-uns des travaux sociologiques les plus intéressants à propos d’Internet. Jaquette du livre de Versac, « De la démocratie numérique » (DR). Versac parvient donc, avec une aisance confondante, à nous familiariser avec les enjeux actuels du web. Cette qualité a son revers. Le « geek » est au Web ce que le bourgeois est aux débuts de la presse

The Political Power of Social Media On January 17, 2001, during the impeachment trial of Philippine President Joseph Estrada, loyalists in the Philippine Congress voted to set aside key evidence against him. Less than two hours after the decision was announced, thousands of Filipinos, angry that their corrupt president might be let off the hook, converged on Epifanio de los Santos Avenue, a major crossroads in Manila. The protest was arranged, in part, by forwarded text messages reading, "Go 2 EDSA. Wear blk." The public's ability to coordinate such a massive and rapid response -- close to seven million text messages were sent that week -- so alarmed the country's legislators that they reversed course and allowed the evidence to be presented. Since the rise of the Internet in the early 1990s, the world's networked population has grown from the low millions to the low billions. To continue reading, please log in. Don't have an account? Register Register now to get three articles each month. Have an account?

REGARDS SUR LE NUMERIQUE: Blog - Clay Shirky : « Personne n'est titulaire du code source de la démocratie » RSLNmag est édité par Microsoft et se consacre à l’analyse et au décryptage du monde numérique.. RSLN : D’abord, une question d’actualité. J’imagine que vous suivez les événements actuels en Tunisie. Dans Here Comes Everybody: The Power of Organizing Without Organizations (2008), vous avez montré comment les nouvelles technologies permettaient aux citoyens lambdas de se saisir des outils permettant une « coopération » à une large échelle, une compétence dont Etats et institutions étaient jusqu’à présent les seuls dépositaires. Avez-vous l’impression que nous sommes dans cette configuration ? Clay Shirky : D’abord, une précision, de taille. A partir de ces éléments, mais en se plaçant également dans une perspective de long terme, ce que l’on voit, en ce moment, à l’œuvre en Tunisie, c’est bien une tentative de mettre en place une coordination explicitement politique de tous les mouvements de contestation : les manifestants tunisiens tentent de forcer l’Etat à s’intéresser à leurs revendications, à traiter avec eux. RSLN : Précisément, qui sont-ils, ces nouveaux faiseurs d’opinion ?

Un panorama des réseaux sociaux politiques Après avoir investi Facebook, Twitter et autres plateformes vidéo, les partis politiques sont nombreux à avoir créé leur propre réseau social, avec des résultats mitigés. Un peu plus d’un avant les présidentielles, quels rôles les médias sociaux peuvent-ils jouer dans la bataille du web pour l’Elysée ? Un an sur la toile et puis s’en va : les « Créateurs de possible », réseau social de l’UMP lancé en le 7 janvier 2010 devrait fermer officiellement mi-janvier. Le site devait faciliter les échanges entre sympathisants UMP et internautes, proposer ou relayer des actions sur le terrain, inviter les inscrits à se rassembler autour d’une « initiative » concrète à mener à bien. Ou comment transformer le simple militant en authentique agent d’influence. Les autres réseaux sociaux de partis politiques sont, eux, beaucoup plus orientés « militants », ce qui rend difficile la comparaison avec les « Créateurs de possible ».

Entre révolutions et un eG8: les dirigeants sont-ils en train de faire main basse sur Internet ? Avec plus de 1,8 milliard d'internautes en décembre 2009, selon les statistiques de Internet World Stats, l'importance et l'extraordinaire parcours du réseau des réseaux n'est plus à démontrer. Internet, pour beaucoup ça se résume en Google et Facebook, pour d'autres en un outil existentiel au boulot ou à la maison. Mais depuis peu, Internet prend d'autres ampleurs où des spectres politiques investissent les lieux. Certes, ceci n'est pas nouveau mais quand cela devient un élément fédérateur de deux révolutions, les différents acteurs mondiaux refont leurs calculs. Tout le monde l'a compris, Internet est vraiment l'endroit "to be in" du moment. Et ça dépasse même la simple "présence" de Twitter ou Facebook, les discours des chefs d'Etat vont de plus en plus vers un appel d'une "réglementation" d'Internet. "Réglementer" Internet par des lois qui autorisent des mesures de filtrages ou de surveillance par une autorité est sûrement une entrave à la définition même d'Internet.

Publication du livre "Piratons la démocratie" A propos A lire avant de participer : Ce projet est celui de la publication d'un livre, sous licence libre et écrit en toute transparence depuis février dernier. Piratons la démocratie se veut une piste de réflexion vers un système démocratique mondial, une réflexion à moyen terme sur la façon dont les citoyens peuvent réellement peser sur la vie politique actuelle et surtout à venir. Le livre avance, petit à petit, en public sur le Google Doc créé à cet effet et qui me permet de recueillir en temps réel les participations des Internautes soucieux de leurs libertés numériques. Pour en favoriser la diffusion, Piratons la démocratie sera disponible chez In Libro Veritas sous licence libre (CC0, domaine public autorisant toute utilisation du livre) à un prix plancher de 3,20€ en format papier et gratuit au format numérique (ebook et PDF). Image d'illustration par Paul Downey sur Flickr A quoi va servir le financement ?

Commission des lois constitutionnelles, de la législation et de l’administration générale de la république : Séance du 22 juin 2011 à 9h30 Suivant l'avis favorable du rapporteur, la Commission adopte l'amendement. Article 11 ter (art. 31 de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d'orientation et de programmation de la sécurité et article L. 344-1 du code de la route) : Extension à la Nouvelle-Calédonie du dispositif de contrôle des événements sportifs et culturels et de la faculté d'accès par les agents de police municipales aux informations d'immatriculation des véhicules La Commission adopte l'article 11 ter sans modification. Article 11 quater (art. L. 631-1 du code de l'éducation) Mise en place de la première année commune aux études de santé en Nouvelle-Calédonie et en Polynésie française La Commission adopte l'article 11 quater sans modification. Article 12 : Organisation des élections des membres de l'Assemblée de Guyane et des membres de l'Assemblée de Martinique et entrée en vigueur de la loi L'amendement CL 4 de Mme Sylvia Pinel est retiré. Puis elle adopte l'article 12 modifié. Amendements examinés par la Commission « Art.

"Révolution numérique" : les 54 propositions des députés Nous publions ci-après le très riche rapport de 366 pages (.pdf) présenté mercredi par les députés Patrick Bloche (PS) et Patrice Verchère (UMP), intitulé : "Révolution numérique et droits de l'individu : pour un citoyen libre et informé". Les deux députés, dont le rapport est cosigné par une vingtaine d'élus à l'Assemblée Nationale dont les célèbres Franck Riester et Muriel Marland-Militello, formulent 54 propositions. Ou plus exactement 54 orientations, puisque "certaines se déclinent en propositions précises ; d'autres déterminent un cap". "Il a paru à la mission d'information que, pour promouvoir les droits de l'individu dans et par le numérique, l'essentiel était d'offrir à chaque " citoyen numérique " la possibilité de choisir en connaissance de cause. Voici en condensé les 54 propositions formulées. Le rapport dans son intégralité :

[Exclu] Renaissance Numérique compare les programmes numériques de l’UMP et du PS Présidentielle 2012 : au moment où le numérique devient un sujet pour tous les partis, de premiers clivages politiques apparaissent. par Christine Balagué et Guillaume Buffet, co-présidents de Renaissance Numérique. Le think-tank Renaissance Numérique est en train de suivre in situ l’élaboration du programme numérique pour 2012 des partis politiques qui acceptent de lui ouvrir leurs portes. Il était ainsi représenté par Christine Balagué, sa co-présidente, à l’atelier organisé par le Parti Socialiste à La Cantine le 20 juin dernier et était présent lors du discours sur le numérique de Martine Aubry au « 104 » le 22 juin. Guillaume Buffet, également co-président de Renaissance Numérique, est quant à lui intervenu lors de la convention UMP sur le numérique qui s’est tenue hier à l’auditorium du palais Brongniart. L’occasion pour « RN » de décrypter et comparer les deux approches. Le numérique sur le devant de la scène : un sujet désormais incontournable Le temps a passé. Les grandes lignes

Dominique Cardon : Pourquoi l’internet n’a-t-il pas changé la politique On ne présente plus Dominique Cardon, sociologue au laboratoire des usages SENSE d’Orange Labs. Il publie au Seuil, dans la collection « la République des Idées », un petit livre synthétique, stimulant, lucide et informé sur La Démocratie internet. Un ouvrage où il tente de nous expliquer pourquoi le grand soir électronique n’a pas eu lieu. Pourquoi l’internet n’a-t-il pas changé la politique ? InternetActu.net : Depuis l’origine de l’internet, on a beaucoup fantasmé sur la démocratie électronique et son avènement. Dominique Cardon : Elle vient tout droit de son histoire. L’appropriation personnelle, le bidouillage, le do-it-yourself a défini un cadre nouveau pour investir les technologies qui étaient si mal aimées à l’époque en raison de leur connivence avec les pouvoirs militaire et marchand. Ce qui joint ces deux visions, c’est la valorisation de l’autonomie des individus et le refus des contraintes collectives, notamment la méfiance envers les institutions et l’Etat.

Ce que nos technologies révèlent de notre société (et réciproquement) De la société ou de la technologie, laquelle influence l'autre? Telle est la vaste question à laquelle le sociologue Stéphane Hugon a tenté de répondre. Retour sur cette passionnante leçon. Stephane Hugon est sociologue à l’Université Descartes-Sorbonne et à Eranos, une société d’études qualitatives spécialisée les imaginaires sociaux contemporains. Vendredi 4 juin, il animait une conférence au WIF sur les mutations des univers sociaux et technologiques. Une heure de passionnante plongée dans l’inconscient collectif de nos outils techniques. Vendredi matin, Stephan Hugon nous a raconté l’éternelle histoire de la poule et de l’œuf : qui apparaît en premier de l’innovation sociétale ou de l’innovation technologique ? Nos ancêtres se sont-ils mis à construire des cathédrales gothiques parce qu’ils avaient découvert comment construire des monuments d’une hauteur majestueuse ? Autrement dit, est-ce la technique qui détermine le social ? « Avant de penser technique, il faut penser social »

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