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La course à l’e-influence, une addiction socialement acceptable ? – The brandnewsblog l Le blog des marques et du branding

La course à l’e-influence, une addiction socialement acceptable ? – The brandnewsblog l Le blog des marques et du branding
#Gloups. S’il est des articles qu’on lit d’un trait, la gorge un peu serrée et en ravalant sa salive à la fin, celui d’Isabelle Bouttier¹, publié récemment par l’excellente revue Tank, en fait incontestablement partie. C’est que la fondatrice de Web Image&Sens, qui fut sémiologue et coach dans une vie antérieure, n’y va pas par quatre chemins pour décrire les ressorts psychologiques et autres traits qui caractérisent les socionautes influents, ainsi que la course à l’e-influence ! Alors évidemment, quand il se trouve qu’on est soi-même blogueur et twitto assidu, comme le personnage fictif autour duquel l’auteure a construit son article (un certain « Paul »²), difficile de ne pas se sentir visé par cette description sans concession de l’e-influence et par son portrait au vitriol de ces e-influenceurs autoproclamés dont les réseaux regorgent. Alors, aliénation ou pas ? Quelle seraient, si tant est que l’on puisse parler d’addiction, les signes avant-coureurs de la dépendance ? WordPress:

Note 7 Place et rôle des usages des jeux vidéo et d'internet dans la souffrance psychologique Sur la notion d’addiction La notion de toxicomanie, désignée en anglais par l’expression addiction to drug fut progressivement remplacée dans le discours médico-psychiatrique par la notion d’addiction. Le terme, qui désigna tout d’abord les conduites de dépendances à des substances psychoactives (alcool, drogue…), fut étendu à partir des années 1990 aux conduites de dépendances à un comportement, telle que la boulimie, la cleptomanie ou plus récemment l’addiction à internet. Cependant la notion d’addiction ne fait pas l’unanimité auprès des professionnels de la santé mentale, car sa définition reste encore aujourd’hui floue. Selon M. L’adjectif « addictif » fait écho à deux situations : à la difficulté de mettre fin à une sensation particulière,à la tendance de persister dans une conduite. Peu à peu, la notion d’addiction tend à se diversifier. Le psychologue phénoménologiste E. Addiction à internet Suler axe son étude sur cet aspect plus qualitatif du phénomène. Addiction aux jeux vidéo

Note 6 Conduites addictives chez les adolescents – Une expertise collective de l’Inserm | Salle de presse | Inserm Télécharger la synthèse de l’expertise collective. En France, les niveaux de consommation de certaines substances psychoactives, en particulier l’alcool, le tabac et le cannabis, demeurent élevés chez les adolescents, en dépit des évolutions de la réglementation visant à limiter l’accès des mineurs à ces produits et des campagnes de prévention répétées. ©Fotolia Pour répondre à cette demande, l’Inserm a réuni un groupe pluridisciplinaire d’experts en épidémiologie, santé publique, sciences humaines et sociales, addictologie, neurosciences et communication. Les experts ont notamment constaté une modification des usages et des modes de consommation de certaines substances psychoactives, comme par exemple l’alcoolisation ponctuelle importante qui tend à se développer chez les adolescents. L’adolescence, période de vulnérabilité L’adolescence s’accompagne de nombreux changements physiologiques et physiques, mais c’est également une étape de maturation et d’évolution psychologique complexe.

Note 5 INPES - Jeux vidéo : pratiques excessives - Les usages Le jeu est présent dans toutes les sociétés humaines. Constitutif de l’homme, il forme le jeune aux défis qu’il devra relever adulte. Selon diverses sources, 90% des adolescents passent plus de deux heures par jours sur leurs écrans. Consoles, smartphones, tablettes, ordinateurs, autant de supports à leur disposition pour surfer sur Internet, se faire des amis virtuels sur les réseaux sociaux, jouer à Assassin Creed, World of Warcraft ou Call of duty…, activités parfaitement banales et licites. Dès lors, les inquiétudes que suscite l’usage intensif d’Internet et des jeux vidéo sont-elles justifiées ? Le marché du logiciel interactif européen pèse aujourd’hui 30 milliards d’euros par an, présente un taux de croissance de 15 % et des innovations permanentes. Dans notre pays, il existe encore peu de données quantitatives sur les pratiques de jeux vidéo/Internet chez les adolescents (voir « Pour en savoir plus »).

Note 4 Deux questions au MOOC @ddict J’ai été contacté a la fin de l’année dernière pour participer au MOOC @ddict. L’initiative m’a été présentée comme un espace de reflexion commun sur les pratiques numériques. Une synthèse serait alors faite sur l’état des connaissances du moment Il m’a été proposé de présenter les pratiques numériques des jeunes sur le réseau. Du fait du nom, j’ai proposé de montrer qu’il n’y avait pas d’addiction au numérique. Il me semblait que c’était là une belle occasion de discuter avec les addictologues qui avancent la thèse opposée. A ma grande surprise, cette proposition n’a pas été retenue. De mon point de vue, il s’agit d’une stratégie de communication bien réglée. Le double langage des addictologues Le double langage des addictologues apparait clairement dans le programme de formation du MOOC @ddict et dans le poster d’information de l’INPES Le MOOC @addict était organisé sur plusieurs semaines de formation : Semaine 1 : qu’est ce que l’addiction ? L’exemple de Marck Griffith Références :

Note 3 Note : Sites webs ou contenus de référence Note 2 Note : Sources informelles Note 1

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