L'arnaque de la dette et l'escroquerie politicienne
L'arnaque de la dette et l'escroquerie politicienne. La «crise» grecque rapportée par les médias a levé une partie du voile qui recouvre le système financier soigneusement caché aux yeux des peuples. Cette crise qui affecte tous les pays soumis à l'imperium étasunien, c'est à dire les pays de l'OCDE, a pour effet de conduire ces peuples soumis à l'appauvrissement et à une immense pression pour que leur soient soustraits des avantages sociaux acquis de longues luttes. Il est donc légitime de se poser des questions sur la réalité de cette crise et des mécanismes qui l'induisent. Tout le monde a entendu parlé des agences de notation telle Standard & Poor qui attribuent des notes aux pays empruntant des capitaux sur les marchés financiers. (L'UPR de Asselineau avec S&P de Cheminade mis à part) Dette en pourcentage du PIB montrant les pays de l'OCDE les plus endettés Démontage d'une arnaque
272 – Dette publique 1970 – 2012
Copie sans vergogne de la page 1970 à 2012 Cet article est la traduction d’une publication d’origine de Simon Thorpe sur son blog , en anglais. Il faut féliciter et remercier Simon Thorpe pour avoir obtenu de l’INSEE des chiffres antérieurs à 1978 qui nous faisaient défaut, ainsi que pour cette présentation simple et percutante. J’y ai rajouté trois notes en rouge et le graphique que vous trouverez en bas de page A-J Holbecq Dette du secteur public français et paiement des intérêts – l’histoire complète J’avais vu des graphiques montrer à quoi la dette publique de la France aurait ressemblé si le gouvernement n’avait pas dû payer les intérêt – voyez par exemple le graphique du livre " Money and Sustainability " de Bernard Leitaer. Vous pouvez voir que la dette publique de 25 milliard d’euros en 1970 a grimpé jusqu’à 1833 milliard d’euros fin 2012. Mais il y a une autre courbe – celle en bleu. Notre graphique: WordPress: J’aime chargement…
Tout est truqué : le plus grand scandale de manipulation de prix de tous les temps (Rolling Stone) -- Matt TAIBBI
Théoriciens de la conspiration de ce monde, croyants en l’influence secrète de la famille Rothschild, des francs maçons et des illuminati, nous autres sceptiques vous devons des excuses. Vous aviez raison. Les acteurs sont peut-être légèrement différents, mais vos prémisses étaient fondées. Le monde est truqué. Nous l’avons découvert ces derniers mois, quand toute une série d’histoires de corruption a éclaboussé le secteur financier, laissant supposer que les plus grandes banques du monde auraient manipulé les prix de, voyons, à peu près tout. Vous avez peut-être entendu parler du scandale du Libor dans lequel au minimum trois – mais peut-être jusqu’à seize – des banques désormais connues sous la dénomination de « trop grandes pour faire faillite » ont manipulé les taux d’intérêt globaux. La situation était déjà suffisamment pourrie, mais désormais, il se pourrait que le Libor ait un frère jumeau. Pourquoi ? Les mauvaises nouvelles ne s’arrêtent pas aux swaps et aux taux d’intérêts.
Quand l'Europe sauve ses banques, qui paye ?
50 milliards d’euros en Grèce, 70 milliards en Irlande, 40 milliards en Espagne : au sein de la zone euro, les États se sont vus contraint les uns après les autres – moyennant des sommes astronomiques – de venir en aide aux banques pour compenser les pertes subies suite à des prêts pourris. Mais qui sont les bénéficiaires de telles opérations ? C’est en posant cette question très simple qu’Harald Schumann, essayiste en économie et brillant journaliste, sillonne l’Europe. Et obtient des réponses pour le moins sidérantes. Car ceux qui ont été "sauvés" ne se trouvent pas – comme on tend à vouloir nous le faire croire – dans les pays en détresse, mais surtout en Allemagne et en France.
Comment jeter les banquiers voyous en prison, en dix leçons - Crise financière
Imaginez en France 20 000 agents de l’Etat chargés d’enquêter sur les crimes économiques, cherchant des preuves, interrogeant des témoins, fouillant dans les moindres recoins des archives des banques, plaçant en détention provisoire PDG, dirigeants ou traders. Plus de secret bancaire, accès illimité à toutes les informations. Un seul objectif : faire condamner les responsables de la crise financière. Science-fiction ? C’est pourtant la voie choisie depuis quatre ans par l’Islande, avec des moyens à la mesure de ce petit pays de 320 000 habitants. Octobre 2008. Quatre ans et une Assemblée Constituante plus tard, l’Islande a retrouvé quelques couleurs. 1 - Enquêter sur les crimes financiers Première étape : établir les responsabilités. 2 - Donner à la justice des moyens conséquents 3 - Lever le secret bancaire 4 - Punir les délinquants en col blanc Une fois les enquêtes menées, reste à faire aboutir les procédures judiciaires. 5 - Faire le ménage dans l’oligarchie administrative et politique
JP Morgan prescrit la dictature en Europe
Attention danger , selon Stefan Steinberg dans un billet du World Socialist Web Site, la banque américaine appelle purement et simplement à l'avènement de la dictature en Europe. JPMorgan réclame des régimes autoritaires en Europe Par Stefan Steinberg 19 juin 2013 Dans un document publié à la fin du mois de mai, le géant des banques d’investissement américain JPMorgan Chase réclame l’abrogation des constitutions démocratiques bourgeoises établies après la Seconde Guerre mondiale dans une série de pays européens et la mise en place de régimes autoritaires. Le document de 16 pages a été réalisé par le groupe Europe Economic Research de JPMorgan et est intitulé « L’ajustement de la zone euro – bilan à mi-parcours. » Le document commence par faire remarquer que la crise de la zone euro a deux dimensions. Le rapport exprime sa satisfaction vis à vis de l’application par l’Union européenne d’un certain nombre de mécanismes financiers visant à garantir les intérêts bancaires.
Art. 123 Lisbonne
Le sauvetage de l'euro va coûter 69 milliards à la France d'ici 2015
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DETTE DE LA FRANCE depuis 1950, DEFICIT PUBLIC, Crise économique
Nouveau : Histoire de la Dette Publique depuis 1800 Malgré le ralentissement des déficits, la dette en % du PIB continue à augmenter en 2013. Pour 2014, l'inconnue majeure demeure l'évolution à venir du PIB, le contexte économique défavorable combiné à la très forte augmentation des impôts qui risque de retarder la fragile reprise en France. BUDGET DE L'ETAT en 2013 (Etat + Administrations publiques) La France continue à dépenser plus qu'elle ne produit. En 2013 le déficit de l'Etat dans son ensemble s'est élevé à 89.5 Mds €. Les recettes ont augmentées de 3.2% soit +35 Mds d'Euros du fait des augmentations brutales d'impôts. Les dépenses ont encore augmentées de 1.9%. Le solde primaire, calculé avant la charge de la dette, est important à connaître : s'il est négatif, cela veut dire que nous continuons à alimenter la dette. Powered by Scriptsmill Comments Script