background preloader

The Tragedy of the Commons

The Tragedy of the Commons
Garrett Hardin + Author Affiliations Abstract The population problem has no technical solution; it requires a fundamental extension in morality. At the end of a thoughtful article on the future of nuclear war, Wiesner and York (1) concluded that: "Both sides in the arms race are ...confronted by the dilemma of steadily increasing military power and steadily decreasing national security. I would like to focus your attention not on the subject of the article (national security in a nuclear world) but on the kind of conclusion they reached, namely that there is no technical solution to the problem. In our day (though not in earlier times) technical solutions are always welcome. It is easy to show that the class is not a null class. The class of "No technical solution problems" has members. What Shall We Maximize? Population, as Malthus said, naturally tends to grow "geometrically," or, as we would now say, exponentially. No--for two reasons, each sufficient by itself. What shall we do? In C.

C & F Éditions Libres Savoirs : Les biens communs de la connaissance - produire collectivement, partager et diffuser les connaissances au XXIe siècle Un regard mondial sur les biens communs de la connaissance. À la rencontre de ces réseaux qui n'envisagent pas de progrès sans partage des savoirs. La connaissance est un moteur de l'économie et de l'organisation sociale. Les biens communs de la connaissance constituent ainsi une utopie pragmatique qui propose des voies nouvelles pour aborder les défis du XXIe siècle. Pour Libres Savoirs, l'association Vecam a coordonné trente auteurs, venant de tous les continents, afin d'offrir un regard mondial sur les biens communs de la connaissance. Sommaire Les biens communs, une utopie pragmatique, par Valérie Peugeot. Autour du manifeste pour la récupération des biens communs, par Frédéric Sultan 1. Les communs de la recherche scientifique : Nourrir l'Humanité : les semences et les savoirs paysans 2 articles par : Guy Kastler, Adelita San Vicente Tello & Areli Carreon

American slavery – it’s a thing | The Odd is Silent After an informal analysis of the health insurance system in the USA, I’ve come to the conclusion that while Lincoln may have freed the slaves, we haven’t actually abolished slavery here. In fact, it is alive and well, enshrined in law, and the Affordable Care Act is one of the few things that seeks to address that situation. Bear with me, I’ll connect the dots. This all started when I changed jobs and went on COBRA. There was a 2-week period in which my COBRA application was being processed and in that time the insurance company told the pharmacy that I was self-pay. Except it wasn’t $7 or $8. That’s a problem. But what has happened is that the insurance company represents so many people that it was able to negotiate favorable discounts on medicines through the pharmacy in return for an in-plan designation. Ironically, the people complaining most loudly about not wanting to subsidize the poor are in fact being subsidized by the poor. That gets us to indentured servitude. Like this:

La politique verte doit être impulsée de la base BLOOMINGTON – Un échec de Rio serait désastreux, mais un accord international unique serait une grave erreur. On ne peut s'appuyer sur une politique universelle pour résoudre le problème de la gestion des ressources communes : les océans, l'atmosphère, les forêts, les voies d'eau et toute la diversité de la biosphère qui entretiennent les conditions nécessaires à la vie, dont celle des sept milliards d'êtres humains. Nos sociétés interconnectées sont confrontées aujourd'hui à des problèmes d'une échelle inégalée. Personne ne sait avec certitude quelle est la solution, il faut donc construire un système capable d'évoluer et de s'adapter rapidement. Des dizaines d'années de recherche montrent qu'un éventail de mesures évolutives, complémentaires au niveau urbain, régional, national et international a plus de chance de réussir qu'un accord universel et contraignant, car il permettrait de disposer d'un recours en cas d'échec de certaines de ces mesures.

The Stranger - Seattle's Only Newspaper - Screw Comcast and CenturyLink by Goldy Shortly after taking office, Mayor Ed Murray finally pulled the plug on Gigabit Seattle, the financially challenged fiber- optic-broadband partnership that was once the centerpiece of his predecessor's internet strategy. But while Gigabit's failure was certainly a disappointment, it is also an opportunity: to give a giant collective municipal finger to those monopolistic fuckers at Comcast, CenturyLink, and Wave. Now that the market has failed to address our broadband woes, Seattle is free to reconsider building a city-owned municipal system. And with Seattle City Light in the process of evaluating technologies for its coming "smart meter" rollout, the timing couldn't be more perfect. Under its current six-year strategic plan, City Light is planning to replace about 410,000 manually read meters with new digital smart meters (City Light prefers the term "AMI," or "Advanced Metering Infrastructure"). But is it feasible? Can't get much clearer than that.

Une bonne nouvelle pour la théorie des Biens Communs Le prix Nobel d’économie a été décerné le 12 octobre 2009 à Elinor Ostrom, qui travaille sur les Communs, cette forme spécifique de propriété et de gouvernance qui place les décisions collectives des « communautés » au centre du jeu socio-économique. Cette question des Biens communs a longtemps été ignorée par la science économique, par la politique et par les mouvements sociaux, mais elle est en passe de redevenir un « outil pour penser » majeur. Le prix Nobel d’économie a été décerné le 12 octobre 2009 à Elinor Ostrom et Oliver Williamson. Leurs travaux, quoique très différents, s’écratent des travaux de modélisation économique appuyée sur le modèle néo-classique, mais portent sur un « retour au réel ». En soi, ce simple fait serait une bonne nouvelle. Elinor Ostrom travaille sur les Communs, cette forme spécifique de propriété et de gouvernance qui place les décisions collectives des « communautés » au centre du jeu socio-économique. Caen, le 12 octobre 2009 Hervé Le Crosnier

Overcoming the Slideshow Conundrum | Telegraph to Tokyo I am writing to you over the Pacific Ocean. Our home in Berkeley (not on Telegraph, but quite near it) is 900 miles behind us. Japan, our home for the next two weeks, is somewhere beyond the vanishing point, 4600 miles in front of us. As is not always the case, but sometimes is, and this is one of those times, Kevin started it. And here we are, on a plane writing a blog post. But, if you want to keep up with what we’re doing in Japan, this blog is the place for you! Like this: Like Loading...

Elinor Ostrom ou la revanche de la coopération sur la concurrence, par Jacques Weber Ceci est un billet invité. Jacques Weber, économiste et anthropologue, a bien connu Elinor Ostrom. Lui-même et son équipe ont collaboré étroitement avec elle et ses proches depuis 1986. Il faisait partie de ses amis. Elinor Ostrom ou la revanche de la propriété commune et de la coopération sur la propriété privée et la compétition marchande Toute sa vie Elinor Ostrom a été une chercheuse de terrain autant qu’une théoricienne des institutions, qu’elle définissait comme “jeux de règles en usage”, et des formes d’appropriation. Comment des individus ou groupes se coordonnent-ils dans la mise en œuvre de services publics, comme dans l’exploitation de ressources en propriété commune ? L’influence des travaux de Elinor Ostrom a été considérable à travers le monde. En France, son influence fut plus modeste qu’ailleurs, en raison du faible nombre de chercheurs étudiant les ressources renouvelables et la propriété commune.

Elinor Ostrom ou la réinvention des biens communs Première femme à obtenir un Prix Nobel d’économie (en 2009) pour ses développements sur la théorie des communs [1], Elinor Ostrom est décédée ce mardi 12 juin, à l’âge de 78 ans. Chercheuse politique infatigable et pédagogue ayant à cœur de transmettre aux jeunes générations ses observations et analyses, elle avait, malgré sa maladie, continué son cycle de conférences et la rencontre avec les jeunes chercheurs du domaine des communs au Mexique et en Inde. Récemment encore, elle exprimait son sentiment d’urgence à propos de la conférence Rio+20 qui se déroule actuellement [2]. Une conférence durant laquelle le terme de « communs » devient un point de ralliement, jusqu’à figurer dans le titre du « Sommet des Peuples pour la justice sociale et environnementale en défense des biens communs ». Leçons de l’histoire De la tragédie à l’écologie Elinor Ostrom a mis en place un cadre d’analyse et de développement institutionnel destiné à l’observation des communs. Les communs du numérique

Elinor Ostrom Remembered (1933-2012) The world lost a brave, creative mind when Elinor Ostrom died this morning from cancer. She was 78, a professor at Indiana University, and the first woman to be awarded the Nobel Prize for Economic Sciences, in 2009. Without her pioneering work and global outreach, it’s doubtful that the commons would have survived the “tragedy of the commons” myth that Garrett Hardin inflicted on it in 1968. Nor would the commons have gone on to become a respected paradigm of governance, let alone an orienting framework for the current surge of commons policy advocacy and social activism. In the 1970s, economics was quickly veering into a kind of religious fundamentalism. Professor Elinor Ostrom. As important, Ostrom built a global network of colleagues and a vast literature that explores how people can actually cooperate in managing resources. Eschewing the mathematical abstractions of conventional economists, Ostrom went out and did extensive field work in Africa, Asia and Latin America.

Related: