La cyberdépendance: mythe ou réalité ? E. Comment on devient "accroché" à Internet En examinant les étapes à travers lesquelles se développe cette réaction, on peut mieux en identifier les pièges et les tournants cruciaux. Cette connaissance peut nous aider à mettre le frein au moment approprié et à s'occuper des vraies questions qu'Internet nous aurait permis d'éluder. L'émerveillement initial Il est probable que toutes les personnes qui découvrent Internet deviennent "accrochées" au début. Découvrir Internet, c'est souvent l'équivalent de l'expérience de l'enfant qui découvre un grand magasin de jouets ou de friandises. On découvre une abondance tellement considérable qu'elle dépasse tout ce que notre désir aurait pu imaginer. La découverte d'une section privilégiée Rapidement, cet émerveillement global fait place à des découvertes encore plus importantes. L'engouement initial prend alors une forme différente: l'internaute devient spécialiste. De nouvelles habitudes Compensation compulsive
Livre - Comment Internet modifie votre cerveau À force de passer des milliers d'heures à naviguer sur Internet, Nicholas Carr en est arrivé à une conclusion : Internet modifie l'esprit. Dans son dernier livre, Internet rend-il bête ?*, le journaliste et écrivain américain constate, comme de nombreux "travailleurs de l'écran", qu'il a de plus en plus de mal à se concentrer sur une tâche complexe, ou même à ne faire qu'une seule chose à la fois. La vie en mode zapping fait des dégâts. "J'ai le sentiment désagréable que quelqu'un, ou quelque chose, bricole avec mon cerveau", explique-t-il. Ce qui importe, selon Nicholas Carr, ce n'est pas tant le contenu diffusé par les médias que la façon de les diffuser. L'esprit devient affamé Reprenant la thèse selon laquelle l'activité du cerveau le modèle et le façonne en permanence, comme l'eau qui coule dans le sable crée des chemins qu'elle empruntera toujours par la suite, Nicholas Carr tire la sonnette d'alarme. Nouvelle ère Un constat alarmant ? Demain, tous transformés
Pourquoi l'internet nous aspire irrésistiblement dans un trou noir Temps de lecture: 2 min «Regarder ma page Facebook ne prend qu'une minute». Qui n'a pas entendu prononcer ses mots chaque jour par des dizaines de personnes et ne les a pas prononcé soi même… pour au final passer des heures à regarder des vidéos de chats, à commenter la qualité d'un déjeuner, à chercher sur Google le dernier gossip et à lire sur Slate un article… intéréssant. Scientific American explique qu'il n'y a aucune raison de se sentir coupable et que cela nous arrive à tous parce que cela tient à la nature de l'internet et à la façon dont il est structuré et au comportement de notre cerveau. «L'internet n'est pas addictif de la même façon qu'une substance pharmacologique» explique Tom Stafford, un spécialiste des sciences cognitives de l'Université de Sheffield au Royaume-Uni. Enfin, l'internet est addictif du fait de sa nature, il n'y aucune frontière et barrière entre les différentes activités et différents sujets qu'il offre.
Dr. Kimberly Young Internet Addiction Dr. Kimberly Young is a licensed psychologist and an internationally known expert on Internet addiction. She founded the Center for Internet Addiction in 1995 and is a professor at St. Bonaventure University publishing numerous articles and books including as Caught in the Net, the first to identify Internet addiction, Tangled in the Web, Breaking Free of the Web, and Internet addiction: A Handbook and Guide for Evaluation and Treatment. Her work has been featured in The New York Times, The Wall Street Journal, The London Times, USA Today, Newsweek, Time, CNN, CBS News, Fox News, Good Morning America, and ABC’s World News Tonight. She has received the Psychology in the Media Award from the Pennsylvania Psychological Association and the Alumni Ambassador Award for Outstanding Achievement from Indiana University at Pennsylvania. Dr. Hospital Opens First Internet Addiction Treatment Center – Brick-in-Mortar clinics treat Internet Addiction – Four Beds to Treat Internet Addiction –
"Il est déjà trop tard" : l'espèce humaine devrait s'éteindre ce siècle - notre-planete.info Et s'il n'y avait plus rien à faire pour sauver l'humanité ? S'il était déjà trop tard ? C'est l'opinion du défunt scientifique australien Frank Fenner mais aussi de Stephen Hawking qui recommande de coloniser d'autres planètes. Dans une interview accordée au quotidien national The Australian, et publiée le 16 juin 2010, Frank Fenner[1], professeur émérite de microbiologie à l'Université nationale australienne, prédit la disparition de l'Humanité dans les 100 prochaines années. Ce mauvais augure pourrait prêter à sourire, mais le scientifique mort à 95 ans[1] a une carrière impressionnante : Membre de l'Académie des sciences australienne et de la Royal Society, son travail a été récompensé par de nombreux prix et il est l'auteur de centaines de textes scientifiques. Sa compréhension approfondie de l'évolution des espèces n'a jamais entamé sa fascination pour l'observation sur le terrain. De quoi inspirer confiance, ou au moins de l'intérêt pour ses déclarations. Notes
Comment la technologie et Internet développent nos esprits Temps de lecture: 10 min Si vous répondu «46,1519», «8.000» et «Quantas», deux possibilités. La première, vous êtes Rain Man. La seconde, c'est que vous utilisez la technologie d'augmentation cérébrale la plus puissante du XXIe siècle: la recherche Internet. Certes, le Web ne fait pas réellement partie de votre cerveau. Et, dans le film, les réponses de Dustin Hoffman auraient eu quelques secondes d'avance sur vous et votre ami Google. L'idée que nous pourrions inventer des outils capables de modifier nos capacités cognitives peut surprendre, mais en réalité, il s'agit d'une des définitions fondamentales de l'évolution humaine. Ce que l'Internet et les technologies mobiles ont changé Avec l'acquisition du langage, nos ancêtres ont non seulement remanié leur façon de communiquer, mais aussi leur façon de penser. Mais, à l'époque, dire que ces informations faisaient partie de l’esprit humain était encore tiré par les cheveux. Le disque dur externe de nos cerveaux L'idéal de Vannevar Bush
Black Mirror (série télévisée) Cet article ou cette section contient des informations sur une série télévisée en cours de production, programmée ou prévue. Le texte est susceptible de contenir des informations spéculatives et son contenu peut être nettement modifié au fur et à mesure de l’avancement de la série et des informations disponibles s’y rapportant.La dernière modification de cette page a été faite le 28 mars 2024 à 18:27. Logo original de la série. Black Mirror ([blak ˈmɪɹə][1] litt. « Miroir noir ») est une série d'anthologie télévisée britannique, créée par Charlie Brooker. Les épisodes sont liés par le thème commun de la mise en œuvre d'une technologie dystopique. La série reçoit un très bon accueil critique. Synopsis[modifier | modifier le code] Selon Charlie Brooker, chaque épisode a un casting, un décor et une réalité différente, mais ils traitent de la façon dont nous vivons maintenant et de la façon dont nous pourrions vivre dans dix minutes si nous commettions une erreur[3].
2018 : deux minutes avant la fin du monde L'humanité a survécu à la prétendue fin du monde de 2012 mais elle est, avec bien plus de sérieux, sur le point de basculer : guerre nucléaire et changements climatiques font partie des risques planétaires les plus inquiétants comme le symbolise la célèbre et très sérieuse horloge de l'Apocalypse qui ne cesse d'avancer depuis le début des années 1990 : il ne reste plus que quelques minutes avant la fin de notre civilisation... 2018, comme 2019 sont les années les plus risquées pour la paix depuis la seconde guerre mondiale. Nous avons échappé à la pseudo fin du monde de 2012 qui inquiétait, de manière irrationnelle, tant de personnes et pourtant l'humanité ne semble pas prendre la mesure des véritables défis qui pourraient bien sceller notre avenir. C'est ce qui explique l'existence de cet indicateur : l'horloge de l'Apocalypse ou de la fin du monde (Doomsday Clock). Une horloge conceptuelle pour estimer le temps qu'il nous reste avant la fin du monde Publicité ▴
Comment internet modifie notre cerveau "Mon vieux cerveau me manque." Nicholas Carr, 52 ans, essayiste américain, n'a rien d'un réac allergique au web. Les nouvelles technologies, au contraire, c'est sa spécialité. Entre son blog, son Twitter, son Facebook, Carr était même un accro. Pourtant, en 2007, "le serpent du doute s'est inséré dans [son] éden numérique". Au Ve siècle av. Google rend-il Alzheimer ? "Le cerveau humain est un ordinateur obsolète qui a besoin d'un processeur plus rapide et d'une mémoire plus tendue." Surfer nous rend-il hyperactifs ? Scène de famille ordinaire. Tous hyperactifs, hyperconnectés... et hyper-impatients ? "Je ne supporte plus d'écouter des messages vocaux sur mon téléphone, je n'utilise plus que les SMS. Mais où se réfugierait aujourd'hui un moine copiste irlandais ? "Notre mémoire de travail est souvent en surchauffe, dit Jean-Philippe Lachaux. Pour l'instant, n'en déplaise aux utopistes des nouvelles technologies, notre cerveau ne s'est pas encore adapté aux tâches simultanées. Eh oui !
Dépendance à Internet La dépendance à Internet (aussi nommée cyberdépendance, cyberaddiction, usage problématique d'Internet ou UPI, trouble de dépendance à Internet et TDI) est un trouble psychologique entraînant un besoin irrésistible et obsessionnel d'utiliser Internet. L'expression addiction à Internet fut employée pour la première fois par la psychologue américaine Kimberly Young, lors d'un colloque de l'American Psychological Association (APA) à Toronto en 1996. C'est Otto Fenichel (1949), qui a soulevé le premier la question des toxicomanies sans drogues. Cependant c'est un canular produit par le docteur Ivan K. Goldberg : la dépendance à Internet est un symptôme et non un trouble à proprement parler. Le docteur Goldberg s'est inspiré de la dépendance aux jeux d'argent pour sa description de l'hypothétique dépendance à Internet. Causes et symptômes allégués Selon le psychiatre américain, Ivan K. On parle de dépendance à Internet quand les symptômes apparaissent : Symptômes psychologiques allégués [3] 1.
3 ressources en ligne pour trouver des cartes anciennes Article mis à jour le 2 octobre 2013 par Fidel Navamuel SI vous êtes enseignant en Histoire ou Géographie ou tout simplement amateur de cartes anciennes, voici trois ressources en ligne pour trouver des vieilles cartes historiques. Old Maps Online. C’est mon favori dans cette liste. Historical Maps Work. David Rumsey Map Collection. Si vous êtes à la recherche de cartes anciennes et autres atlas, je vous conseille également cette page qui a recensé toute une série de ressources en ligne dans lesquelles je vous souhaite de trouver votre bonheur.
«La connexion permanente? Nous adorons cela!» Le Nouvel Observateur Pour Jean-François Fogel et vous, nous vivons le temps de la connexion permanente, et la condition humaine s'en trouve changée. Bruno Patino On commence à mesurer ce qu'entraîne le fait de vivre connecté en permanence à un réseau. Je dis on commence, car internet vient juste de changer. Le réseau n'est plus ce qu'il était il y a encore dix ans. Au départ, on a vu dans internet des tuyaux qui transportaient des messages. On voit aujourd'hui que le média a connu une mutation: internet est devenu un espace social. Dire que le trafic croît sur internet est fondé, mais c'est ignorer l'essentiel: internet a changé. Qu'est-ce qui a provoqué la mutation d'internet? Tout s'est amorcé en une vingtaine de mois, entre 2005 et 2007, quand émergent YouTube, Facebook, Twitter et les applications des smartphones. En l'occurrence, un ensemble d'usages apparaissent en même temps et créent un espace social. "No more words", série du photographe Alessandro Rampazzo (Sipa)
Définition et typologie de la cyberdépendance Définition et typologie de la cyberdépendance Désignant, à l’origine, toute dépendance à l’ordinateur, ou plus largement à l’univers informatique, ce terme est aujourd’hui utilisé principalement pour désigner une dépendance qui s'instaure chez une personne faisant un usage distordu des moyens de communication offerts par Internet. Cette personne est dans la recherche constante de connexion au réseau informatique afin d’y établir une communication, d’ y trouver une information, du sexe ou du jeu virtuel. Elle éprouve une anxiété désorganisatrice si elle ne peut pas se connecter, et sa vie personnelle et sociale s'organise autour de la connexion. La typologie de la cyberdépendance décline 4 quatre types majeurs : Extrait du livre "cyberdépendance en 60 question" de Jean-Charles Nayebi, RETZ, Paris.
Daniel Arasse: On n'y voit rien / Histoires de peintures : François Prost On ne regrettera jamais assez la disparition prématurée de Daniel Arasse (1944-2003), qui a beaucoup fait pour ouvrir intelligemment l’histoire de l’art à un public plus large que celui des spécialistes au sens le plus étroit du terme. D’ailleurs, pour l’image qu’on peut s’en faire d’après ses œuvres, le personnage lui-même, vénérable universitaire muni de tous les sacrements, n’avait pourtant rien du mandarin-esthète compassé, pontifiant et arrogant, dont la discipline a produit un modèle-type assez répandu. Et on ne se lasse pas de lire ou relire ses livres, dont un nombre croissant repris commodément en éditions de poche, à commencer par les deux titres les plus connus, tous les deux chez Folio : On n’y voit rien. Descriptions (première édition Denoël 2000), 217 p. Histoires de peintures (posthume, 2004), 360 p. L’un et l’autre se présentent comme des suites de textes abordant divers sujets et œuvres. Arasse On n'y voit rien.pdf Arasse Histoires de peintures.pdf
cet article délivre un extrait de l'ouvrage "Is Google Making Us Stupid?" de Nicholas Carr, publié chez The Atlantic (juin 2008) by douemyl Sep 28
Traduction française de la perle précédente proposée par l'équipe de Framablog by chacaille May 26