PNB : près de 900 éditeurs, 2000 bibliothèques et 130.000 ebooks L’année nouvelle invite à faire le bilan de celle passée, et pour le Syndicat national de l’édition, c’est le service de Prêt Numérique en Bibliothèque qui inaugure 2017. Quelques chiffres sont fournis par le SNE, permettant un panorama du service de prêts de livres numériques, en France, Belgique et Suisse. Jason Scragz, CC BY 2.0 Petit rappel essentiel : PNB est « coordonné par Dilicom, sous l’égide du ministère de la Culture, et soutenu par le SNE ». À ce jour, on apprendra que 890 éditeurs et marques éditoriales s’y sont investis, avec un catalogue supérieur à 130.000 titres. Un catalogue qui évolue... patiemment Dans le même temps, 2000 établissements sont désormais connectés à la solution technologique, en Suisse, France et Belgique – avec plus de 200.000 emprunts prévus en fin d’année « réalisés sur les 14 995 fichiers acquis par les bibliothèques en 2016 et 12 716 en 2015 », note le SNE. La CJUE et son modèle One Copy/One User PNB, pour Ponne Nouvelle Bannée ?
Jeux vidéo en bibliothèque Le jeu vidéo a bonne presse depuis quelques années. D’une activité de niche, il est devenu loisir de masse respectable : pratiqué par la moitié de la population, autant de femmes que d’hommes, il est entré dans les musées… Les bibliothèques auraient-elles loupé le coche ? En tout cas les auteurs de Jeux vidéo en bibliothèque ne doutent pas de la nécessité de leur argumentaire. Informatif et discrètement militant, l’ouvrage présente le nouveau contexte du jeu vidéo – tout le monde joue, partout, sous des formes qui se renouvellent – et défend sa place en bibliothèque, pour sa banalité dans le quotidien des usagers comme pour son excellence créative. Pour dépasser ce paradoxe, l’ouvrage ne manque pas d’arguments. Les auteurs en question pratiquent une large gamme de métiers, dans des établissements aux quatre coins du territoire français. MO5.COM, quant à elle, est une association créée en 1996, qui rassemble des passionnés aux compétences variées.
Geek: First museum dedicated to video games in the U.S. opens in Frisco this April "There are two museums in the United States dedicated to carrots," Sean Kelly told me over the phone. "Carrots! The vegetables that you dig up." So how, he asked, was there not a museum dedicated to video games? It's a good question. That home, starting April 2, will be in Frisco. (The museum's official name uses "videogame" as one word. This isn't an entirely new undertaking for the founders. Why Frisco? "We get asked the question all the time, 'Why isn't this in Silicon Valley? My first visit the still-under-construction museum back in December happened to overlap with a visit from the mayor of Frisco, Maher Maso. Kelly gives a lot of credit to Frisco's open-mindedness to Randy Pitchford, president and CEO of local game developer Gearbox Software. Pitchford downplays his involvement, though. He showed me around the museum and told me the story of how he met museum co-founder John Hardie at the video game conference DICE, where some of what is now in the museum was on display.
jeu vidéo en bibliothèque « La mémoire de Silence Du jeu vidéo en bibliothèque ? L’expérience DOFUS à Saint-Raphaël Publié le Mis à jour le Lors de la journée d’étude à la BMVR de Marseille, organisée par l’ABF PACA le 19 février 2009 et intitulée : les pratiques numériques des adolescents : un défi pour les bibliothèques ? Cette expérience fonctionne depuis plus de 1 an et demi et le succès ne se dément pas. Ce qui a réussi : les » attirer » pour leur éviter de jouer en » autiste » chez eux – mais n’est-ce pas une pensée d’adultes que de penser cela car à la maison ils jouent souvent avec les copains – pour venir jouer » ensemble » au sein de la Médiathèque. Ce qui n’a pas réussi : maintenir le » silence « . Conséquence : ils ont une carte et » finissent » par emprunter des » livres « . Plus d’une centaine d’enfants, âgés de 8 à 15 ans, participent régulièrement… Voici la présentation donnée à Marseille : A ce jour, les enfants sont également bêta-testeurs du jeu Wakfu, suite de Dofus. Qui veut jouer avec nous ? Silence
Les jeux vidéo en bibliothèque sont illégaux. Oui, et alors ? – – S.I.Lex – En février dernier est paru un rapport de l’Inspection Générale des Bibliothèques (IGB) écrit par Françoise Legendre relatif à la place des jeux dans ces établissements, et plus particulièrement des jeux vidéo. C’est une lecture intéressante, et je dirais même encourageante, parce que l’IGB incite clairement les bibliothèques à accompagner l’essor des pratiques culturelles en matière de jeux vidéo en développant des collections et des activités autour de ces types de média. Le rapport cite aussi un grand nombre d’initiatives en cours, montrant que les bibliothèques en France sont déjà engagées, parfois avec beaucoup d’inventivité, dans cette démarche de valorisation des jeux vidéo auprès de leur public. Mais cette étude contient aussi une partie consacrée aux aspects juridiques de la question, qui s’avère beaucoup plus dérangeante. Le mythe du « vide juridique » Il y a un vide juridique, ce qui explique que ce genre d’offre se répand de plus en plus en bibliothèque. Les glaneuses.
Commission Jeux vidéo en bibliothèque - Association des Bibliothécaires de France Mise à jour le 24 novembre 2020 Finalités et objectifs La commission regroupe des bibliothécaires travaillant dans tous types de structures, ayant une volonté commune de partager et de collaborer autour des enjeux liés au développement deservices ludiques en bibliothèque : jeu vidéo, jeu de société, jeu de rôle... L’objectif principal de la commission est d’accompagner les structures dans cette mutation : Cette expertise peut être mise à contribution pour participer à des groupes de réflexion au niveau national ou pour collaborer avec d’autres associations via des partenariats. Le Discord Jeuxvidéothèque est ouvert ! Contact : jeux.abf@gmail.com Nicolas PERISSE Référent jeux vidéo Médiathèque de Visages du MondeCERGY Virginie BAZART Assistant de conservation BmiEPINAL David BENOIST Conservateur de bibliothèque BnFPARIS Vincent BONNARD Responsable de structure Médiathèque-Ludothèque Bernard YwanneBONNEUIL-SUR-MARNE Jérémie CAPLANNE Ludothécaire Média-ludothèque AgoraBrayeSAVIGNY SUR BRAYE Gwénolé GESTIN
Jeux vidéo et Bibliothèques* Voici quelques textes que j’ai pu lire récemment, et que j’ai eu envie de partager avec vous sur jvbib. On commence par un texte que j’ai trouvé sur notgames , le blog des créateurs du studio Tale of Tales, à qui l’on doit les (non-)jeux The Endless Forest, The Path ou The Graveyard. Ils décrivent leur blog comme “une exploration de ce qui est émouvant, enchanteur et fascinant dans les programmes informatiques, les jeux vidéo et l’art procédural, *au-delà* de l’amusement provoqué par la mise en application de règles et l’obtention de récompenses”. Le texte que je vous propose s’appelle “The unnamed medium”, il fut à l’origine publié sur “Le média sans nomOuvrez votre programme de lecture de musique préféré, lancez un morceau et activez la visualisation. À la lecture de The unnamed medium, je me suis souvenu d’un autre texte que j’avais lu il y a quelques mois. “Médiazinteractif(s): pour un peu plus de dialogue
Le jeu vidéo fait son trou dans les bibliothèques De plus en plus de médiathèques proposent des jeux vidéo en consultation ou en prêt. Si l'opération est souvent couronnée de succès, certaines directions refusent de faire entrer dans leur établissement ce loisir qui n'a pas encore acquis ses lettres de noblesse. Et si, au milieu des livres, des DVD et des CD, on pouvait trouver des jeux vidéo dans les bibliothèques publiques? Quelques médiathèques françaises ont franchi le pas, en organisant des tournois, des consultations sur place, voire des prêts de jeux. À Paris, c'est même une médiathèque spécialisée dans le jeu vidéo qui va ouvrir ses portes l'été prochain, dans le XVIIIe arrondissement. «Nous voyons le jeu vidéo comme un produit culturel à part entière et comme un pourvoyeur de lien social», explique Mélanie Faucher, responsable de la section 15-25 ans de la future médiathèque Vaclav-Havel. L'ambition est forte. Un succès pour la médiathèque de Chartres Un aperçu de la future collection jeu vidéo de la médiathèque Vaclav-Havel.
Le jeu vidéo à l’honneur à la BnF Du 31 août au 2 septembre 2016 François-Mitterrand – Hall Est Du 31 août au 2 septembre 2016, la Bibliothèque met à l’honneur le jeu vidéo sur son site François-Mitterrand. Exposition, sessions de jeu et table ronde sont au programme de ces trois jours qui mêleront légèreté, recherche et jeu. Forte d’une collection de 15 000 titres de jeux vidéo français comme étrangers, la BnF est en effet un acteur majeur de la conservation du patrimoine vidéoludique. Objet culturel inventif et populaire, produit d’une filière de création et d’édition de grande renommée en France, le jeu vidéo tient son rang dans les collections de la BnF. La BnF a choisi de mettre en valeur ce patrimoine. En savoir plusFinal Fantasy : la saga culte, diffusion le samedi 27 août 2016 à 22h45, sur D8.
Pourquoi le jeu vidéo est-il si peu considéré en France ? Une étude du ministère de la culture montre que peu de Français estiment que les jeux vidéo sont des objets culturels même s’ils les pratiquent en masse. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Corentin Lamy Seuls 7 % des Français considèrent que le jeu vidéo est, par nature, un objet culturel. S’il est difficile de ne pas qualifier les créateurs de jeu vidéo (graphistes, animateurs, compositeurs, etc.) d’artistes, le produit final ne mériterait donc pas, aux yeux de la plupart des Français, d’appartenir au domaine de la culture. « Ce qui compte dans la culture, c’est qu’elle apporte quelque chose. « En plein dans le paradoxe d’Arte » Parmi les trois disciplines considérées comme les moins « culturelles » des 27 soumises au sondage, on trouve, outre le jeu vidéo, les séries télévisées (seuls 13 % de Français les considérant comme culturelles – autre surprise de ce sondage) et la téléréalité (5 %). « On est en plein dans le “paradoxe d’Arte”. « Une offre de jeux à grande valeur ajoutée »
Des jeux vidéo à la bibliothèque L’association des deux termes, « jeu vidéo » et « bibliothèque », peut sembler antinomique, voire loufoque au premier abord, tant les deux mondes auxquels ils sont associés paraissent éloignés. Pourtant, les professionnels des bibliothèques sont de plus en plus nombreux à s’intéresser au jeu vidéo comme support à intégrer dans les collections. Un support culturel à part entière En plus de trente ans d’existence, le jeu vidéo a réussi à gagner ses galons d’objet culturel populaire. Il est loin le temps où il n’était qu’un loisir récréatif pour enfants. Désormais, tout le monde joue, que ce soit sur son téléphone portable dans le métro, entre amis sur console de salon ou avec une communauté virtuelle sur PC. Culturel au point de mériter une place dans les bibliothèques ? Si le public, le grand et celui de nos illustres établissements, ne se pose pas de questions quant à la légitimité des jeux vidéo en bibliothèque, il n’en va pas forcément de même pour les professionnels. Des lieux d’avenir