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Test d'empathie de Baron-Cohen

Test d'empathie de Baron-Cohen
Il a été montré que les personnes atteintes de certaines pathologies comme l’autisme ou le syndrome d’Asperger ne développaient aucun sens de l’empathie. Si vous ne savez pas ce qu’est l’empathie, je vous invite à lire cet article que j’ai écrit récemment sur le sujet. Le professeur Baron-Cohen, spécialiste mondialement reconnu de l’autisme, a mis au point un test permettant de caractériser votre capacité d’empathie. A ce test, le score normal oscille entre 22 et 30. Un autiste termine le test avec un score médiocre allant de 0 à 15. Le test est simple : vous devez déceler l’émotion de chacun des 36 regards qui vous sont présentés. Regard n°1 : Enjoué Réconfortant Irrité Agacé Réponse : enjoué________ Regard n°2 : Terrifié Bouleversé Arrogant Contrarié Réponse : Bouleversé________ Regard n°3 : Plaisantin Agité Désirant Convaincu Réponse : Désirant________ Regard n°4 : Plaisantin Insistant Amusé Relaxé Réponse : Insistant________ Regard n°5 : Regard n°6 : Regard n°7 : Regard n°8 : Regard n°9 : Related:  zigueEMPATHIE A L'ECOLE

Méthode des six chapeaux La méthode des six chapeaux, extraite de l'ouvrage Six chapeaux pour penser[1],[2], est une méthode de structuration de la pensée personnelle ou de groupe, développée par Edward de Bono, permettant de résoudre les problèmes en favorisant la pensée critique et en évitant la censure précoce des idées nouvelles, dérangeantes ou inhabituelles[3]. Selon Karadag et al., cette méthode permet de développer la pensée créative en présentant et en systématisant des pensées et des suggestions dans un format spécifiquement défini[4]. Pour cela, les participants sont invités à aborder la question en prenant ensemble tour à tour différents « chapeaux » d'une couleur particulière. L'ordre d'adoption des chapeaux varie en fonction du type de problème. L'enjeu est de mobiliser un processus de « pensée parallèle » simple et efficace qui aide les gens à sortir des limites de l'étroitesse d'esprit, de la pensée unidirectionnelle et des positions fixes (De Bono, 1985[1]). Portail du management

Qu'est-ce que l'empathie C’est un comble chers lecteurs ! Je prétends traiter de sujets liés aux relations humaines et à la communication depuis plus de deux ans et je me rends compte aujourd’hui que je n’ai jamais parlé d’un des fondamentaux de ce domaine, l’empathie. Je compte bien rétablir la cohérence de la ligne éditoriale de ce blog en partageant cette semaine avec vous mes dernières lectures sur le sujet. Étymologiquement, « empathie » provient du terme Einfuhlung, qui fait référence à la projection d’une personne dans la situation de l’autre. D’après Jean Decety, neurobiologiste, professeur à l’université de Washington, et directeur du laboratoire Social Cognitive Neuroscience à Seattle, l’empathie ne peut s’envisager que lorsque la personne fait l’expérience d’une réponse émotionnelle face à l’émotion d’autrui. Voici donc une définition de l’empathie : La première caractéristique de l’empathie est donc la réponse émotionnelle ou réponse affective. Pour résumer : À la semaine prochaine.

Les évolutions et usages du hashtag Le 23 août 2007 le hashtag voit le jour, c’est Chris Messina qui dans un tweet propose d’utiliser un # pour grouper des sujets comme lors d’un barcamp. Fonctionnalité majeure sur Twitter, le hashtag est l’un des symboles les plus utilisés sur le réseau social Twitter. Le hashtag devient cliquable dès lors qu’il est précédé d’un #, on peut également l’utiliser sur Google+, Instagram, Pinterest… Il est reconnu par certains thèmes WordPress. La première chose à connaitre sur le #hashtag est que celui-ci n’est pas une fonctionnalité développée par Twitter pour la communauté mais une invention de la communauté pour Twitter. Sa fonctionnalité première est d’apporter une information supplémentaire à un tweet (message de 140 caractères maximum) . Définitions : Le 23 janvier 2013 le Journal Officiel publie l’alternative française au terme hashtag : le mot-dièse, la communauté n’apprécie pas vraiment cette évolution. Le Hashtag Kezako ? #airfrancemusic #orangepassion Photographie by Jérôme Deiss

Confiance en soi : 6 astuces pour augmenter sa confiance Les 13 étapes ultimes pour avoir confiance en soi : le guide La confiance en soi est un élément déterminant de la réussite. Depuis quelques années, j’ai réussi à prendre confiance en moi, et ma qualité de vie s’en est grandement améliorée. Mais les graines que j’ai planté il y a quelques années ont germé et je commence à récolter. Ce que vous pouvez faire, dans un premier temps, c’est de voir une vidéo que je vous avait fait pour bien démarrer l’année en 2014 et avoir confiance en soi Si vous manquez de confiance en vous, alors faites de cet objectif une PRIORITE ! Au début, j’ai commencé par lire quelques articles sur doctissimo par exemple pour prendre confiance. Mais je veux aller plus loin, et c’est d’ailleurs pour cette raison que j’ai décidé de m’expatrier à Londres. Le manque de confiance en soi est dû à notre enfance : les échecs que l’on a vécu, les moqueries, les parents…etc. Téléchargez la fiche pratique "5 conseils pour avoir plus confiance en soi" 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9.

L'empathie : une faculté précieuse Accueil > Chroniques > Sujets originaux de la psycho > L'empathie : une faculté précieuse Sans la capacité à comprendre et partager ce que ressent autrui, nous pourrions difficilement coexister. L'empathie est en effet nécessaire à la vie sociale car elle favorise les comportement prosociaux tels que chercher à échanger, communiquer avec autrui, proposer son aide... Bien que l'empathie et la sympathie soit complémentaires, elles se distinguent néanmoins. En effet, l'état affectif et motivationnel de la sympathie est orienté vers le bien-être d'autrui, ce qui n'est pas forcément le cas de l'empathie. Y-a-t-il des conditions pour éprouver de l'empathie? Pour qu'une personne puisse ressentir de l'empathie pour une autre personne, quatre conditions doivent nécessairement être réunies: La condition d'affectivité: il faut que la personne qui observe l'autre se trouve dans un état émotionnel particulier. L'empathie évolue-t-elle avec l'âge?

www.mymodernmet.com 13 exercices pour apprendre à parler en public Penser à son public et à ce qui l'intéresse avant de construire son intervention. Noter quelques idées claires, concises et imagées. Et surtout, être soi-même. Voilà, idéalement, comment on devrait se préparer avant chaque prise de parole en public. Mais, plus précisément, que faire pour se sentir prêt ? Voici quelques clés simples pour vous mettre en condition, très en amont ou juste avant vos interventions orales : De temps en temps, pour être progressivement plus à l'aise à l'oral 1. 2. 3. 4. 5. Avant votre intervention 6. 7. 8. 9. Juste avant votre prise de parole 10. 11. 12. 13. Vous êtes prêt!

Actualisation importante de la carte d'empathie La carte d’empathie, proposée par la société X-Plane (fondée par Dave Gray), est un outil visuel souvent utilisé en Design Thinking et recommandé dans le fameux livre “Business Model Nouvelle Génération” d’Alexander Osterwalder et Yves Pigneur. Aujourd’hui, Dave Gray vient de proposer une important mise à jour de la carte d’empathie. Faisons le point sur cette nouvelle version. L’objectif principal de la carte d’empathie est une meilleures compréhension d’un client, d’un utilisateur, d’un collègue, d’un prospect… dans le contexte de l’utilisation de nos services ou produits. Il s’agit de se mettre autant que possible à la place de la personne visée à travers son expérience vécue ou bien souhaitée. L’aspect sensoriel avec les catégories “voir”, “entendre”, “faire” est important pour garder une approche concrète de l’expérience utilisateur. Voici ci dessous, à titre de rappel, la version de la carte d’empathie qui était utilisée jusqu’à présent. Quoi de neuf dans cette nouvelle version?

« Miss Representation » : les femmes sont-elles les potiches des medias ? Encore inédit en France, « Miss Representation » de Jennifer Siebel Newsom questionne l’image des femmes dans les médias américains. Ce documentaire, projeté lundi dernier à Paris lors d’une séance exceptionnelle sous l’égide de l’association féministe EPWN-Paris, de Brigitte Grésy, et en partenariat avec le Laboratoire de l’égalité, fait débat. Le pitch Le but du film ? Montrer que les représentations des femmes dans les médias (particulièrement à la télé) donnent une image très limitée de ce à quoi elles peuvent prétendre et de ce à quoi elles doivent ressembler. Il s’appuie sur les témoignages de personnalités féminines du monde médiatique, politique et artistique (Jane Fonda, Geena Davis, Condoleezza Rice, pour les plus connues en France). Tout sur l’apparence, rien sur les compétences ! Les premières images sont un défilé de canons hypersexualisés, de la blonde de sitcoms en Bikini à la présentatrice au décolleté plongeant en passant par les Lara Croft en minishort des jeux vidéo.

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