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PLICKERS

PLICKERS
image provenant du site plickers.com Faire participer tous les élèves en cours de mathématiques… Évaluer en temps réel l’acquisition des connaissances par les élèves. Plickers ? Pendant toute l’année scolaire 2014-2015, j’ai expérimenté en classe de seconde l’application « Plickers ». Quel matériel et comment cela marche ? Il faut avoir à disposition : un ordinateur couplé à un vidéo projecteur. un smartphone 3G/4G ou une tablette connectée sur internet en Wifi. D'un point de vue logiciel, Il faut : se créer un compte sur le site internet de Plickers à l’aide d’une adresse mail et d’un simple mot de passe. télécharger sur une tablette ou un smartphone l’appli Plickers disponible sur le Google Play (pour les Android) et sur l’App Store (pour les ipads) Ensuite on télécharge un fichier proposant des cryptogrammes ressemblant à des QR-Codes qu’on imprime et distribue aux élèves en début d’année. Sur chaque côté de ce carré est indiqué une lettre (A, B, C, ou D) en petit. Pas du tout !

Exercices de maths collège et lycée - Kwyk Plickers - Outil de vote | Sydologie Nous vous avions déjà parlé de ces formidables outils de vote, permettant de créer plus d’interaction entre le formateur et les apprenants (Socrative , Eclicker ou encore Polleverywhere ). Le principe est simple, chaque apprenant peut répondre à des questions posées en live par le formateur, en utilisant son smartphone ou son ordinateur. Seulement voilà, encore faut-il que ces apprenants disposent d’un smartphone et d’une connexion internet. Et quand ils en ont, le problème de compatibilité des systèmes d’exploitation peut rapidement se poser. E-clicker par exemple, ne dispose que d’une version compatible Apple. Autant vous dire que le projet a du mal à percer en ZEP. Une société américaine, répondant au nom de Plickers, a résolu ce problème en faisant voter avec… du papier. Voici le marche à suivre : 1- Le professeur crée un compte sur Plickers.com. 2 – Il va en suite pouvoir créer une (ou plusieurs) classe(s) et indiquer le nom des élèves la composant. 5 – La suite se passe en classe.

JuxtaposeJS « J’ai fait des maths ? Non, du bridge ! » Sur le papier, l’intention est louable. Quand on n’a pas la bosse des maths, faire passer la pilule avec comme subterfuge le jeu, peut s’avancer comme un bon moyen d’enthousiasmer les plus réfractaires. Peut-être justement que les élèves de 1res Sciences et technologies du management et de la gestion (STMG) font partie de ceux-là. A Colbert en tout cas, une professeur de mathématiques s’est dit que cela valait le coup de tenter l’expérience. Malgré la réserve de ses confrères. Séduite par la formule, fournie clé en main par la Fédération française de bridge, avec laquelle l’Education nationale a signé une convention, Nathalie Braun a pris la main, défendu son projet auprès de sa proviseure adjointe. Depuis la rentrée 2018-2019, une trentaine de lycéens voient ainsi leur vendredi matin varier de semaine en semaine. Pour l’heure alors, mention « Doit faire ses preuves » donc pour ce dispositif qui ne date pas d’hier, en fait.

A Thionville, des lycéens font des maths sans s'en apercevoir Non, il n’y a pas que des mauvaises nouvelles quand on parle d’Education nationale. Il existe plein de profs motivés qui se démènent dans leur établissement, inventent et réinventent des façons de transmettre aux élèves. Souvent, ils doivent faire face à des collègues ou une hiérarchie plutôt frileuse. Libération veut mettre en avant ces profs débordant d’idées. Aujourd’hui, Nathalie Braun, 33 ans, professeure de mathématiques au lycée Colbert de Thionville (Moselle). A lire tous les épisodes de la chronique «Classe action» L’établissement. L’idée. «Mon objectif principal était de redonner goût aux maths aux élèves, notamment aux plus réticents, tout en travaillant certaines notions comme les statistiques, les probabilités et le calcul mental. «L’administration m’a soutenue dans ce projet. Les résultats. Marlène Thomas

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