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BTS Management - Th2 Chap2 : L'analyse externe - L'environnement

BTS Management - Th2 Chap2 : L'analyse externe - L'environnement
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La qualification désigne l’ensemble des diplômes, titres... Émouvoir le travail avec l’intelligence émotionnelle L’envie de bien faire, la peur d’échouer, la joie partagée lors d’une réussite collective, l’enthousiasme pour un projet, la crainte d’une réclamation d’un client, sont autant d’émotions qui déclenchent des motivations. En d’autres termes, point de mouvement sans émotion. Au même titre que vous préparez des arguments rationnels, statistiques et chiffrés pour influencer vos interlocuteurs, préparez aussi vos déclencheurs émotionnels. Vos équipiers, collègues, managers, clients, partenaires ont une tête, et aussi un coeur et des tripes. Éviter les catastrophes : décrire quelles pourraient être les catastrophes ou désagréments qui nous menacent si nous ne faisions rien. Rêves et projets : donner du sens au projet, susciter l’envie, enthousiasmer. C’est possible : besoin de voir pour croire. Tous les discours, conventions, plaquettes, chartes, communiqués de presse… sont autant d’opportunités de variations sur ces trois déclencheurs.

Vidéo : Entreprises : qu'est-ce que la RSE, la Responsabilité sociétale des entreprises ? Cet article date de plus d'un an. Publié le 07/12/2020 17:35 Mis à jour le 07/12/2020 18:01 Durée de la vidéo : 2 min. Article rédigé par N.Bidard, S.Guibaut, JJ.Buty, L.Bazizin, S.Giaume, G.Bensoussan, C.Beauvalet, E.Penot - France 3 France Télévisions Les entreprises dites "responsables" sont de plus en plus nombreuses et s’engagent sur les questions environnementales ou sociales. La RSE, pour Responsabilité sociétale des entreprises, est très en vogue en ce moment. La RSE se veut attractive pour les consommateurs, mais aussi les salariés. Partager : Diagnostic externe d'une Entreprise: Exemple Contact Us Youtube Facebook-f Linkedin-in Instagram Tiktok Twitter Telegram Menu Développement Commercial Comment réaliser le diagnostic externe d’une entreprise ? Le diagnostic externe, kezako ? Analysons tout cela en détail. L’analyse externe des opportunités et menaces Toute activité / entreprise performante se doit d’analyser à la fois le macroenvironnement (environnement démographique, économique, technologique, politiquo-réglementaire et socioculturel) et le microenvironnement (clients, concurrents, circuits de distribution, fournisseurs). Parce que c’est précisément ce qui permettra d’identifier les éléments qui pourraient favoriser / nuire à son développement. Analyse du macro environnement (macro économie) L’analyse PESTEL est parfaitement adaptée et efficace dans l’étude de l’environnement macroéconomique. PolitiqueEconomiqueSocioculturelTechnologiqueEcologiqueLegal Chaque entreprise agit dans un environnement externe macro-économique qui lui est propre. 1. 2. 3. 4. 5. 6. Auteur

Les choix de production des organisations ont des conséquences... La stratégie des « petits pas » Vous avez probablement souligné dans les articles précédents que la dernière question à se poser pour accroitre ses chances de réussir un projet personnel ou un changement collectif est : « que vais je faire dès demain? » ou « Qu’allons nous faire la semaine prochaine? » Je fais ainsi mienne l’idée que les meilleurs changements commencent par des résultats immédiats. Lorsque vous même ou vos équipiers sont engagés dans des actions concrètes ,vous avez tendance à persévérer et à dire à celles et ceux qui veulent vous entendre que vous avez bien fait. Les actes engagent. La stratégie des « petits pas » s’exerce certes dans l’univers professionnel et aussi dans les relations d’influence diverses et variées. Une ancienne et efficace pratique commerciale consiste à faire gouter avant d’acheter. Ils appliquent sans la connaitre, ou volontairement la théorie de l’engagement. Cinq conseils pour favoriser l’engagement de vos équipiers 1-Annoncer en public 2- Répéter

« Ouest-France passe à la vitesse supérieure sur la RSE et le développement durable » Maud Lévrier INfluencia : vous êtes directrice déléguée de Ouest-France, en charge de la RSE et du développement durable. Que traduit la présence de la fonction que vous occupez au sein des organes de direction sur l’importance de ces sujets pour le groupe ? Maud Lévrier : comme beaucoup d’entreprises en France, le groupe SIPA Ouest-France a longtemps fait de la RSE « comme monsieur Jourdain », y compris dans des domaines les plus sensibles sur le plan environnemental : les centres d’impressions ont adopté le label Imprim’Vert, utilisent du papier durablement géré, le groupe essaie d’utiliser le moins de matière première possible, les tournées de portage sont optimisées… Tout cela faisait partie du fonctionnement de l’entreprise et n’a cessé de progresser. IN : comment avez-vous procédé dans cette première phase d’engagement ? Nous parlons beaucoup d’environnement et de responsabilité sociétale dans nos journaux, mais nous voulons aussi agir !

Société en commandite par actions Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une société en commandite par actions (SCA) est une structure juridique originale pour laquelle on distingue deux types d'associés : les commanditaires et les commandités. Les commandités sont responsables indéfiniment et solidairement des dettes sociales alors que les commanditaires ne sont responsables qu'à hauteur de leurs apports. Ce type de société existe en France, en Suisse, en Belgique, ainsi qu'au Luxembourg[2]. Par pays[modifier | modifier le code] France[modifier | modifier le code] Une société en commandite par actions (SCA) est une structure juridique originale pour laquelle on distingue deux types d'associés : La société est administrée par des « gérants » nommés par les commandités avec l'accord des commanditaires. Le capital social minimum est de 37 000 € comme pour une société anonyme. Le dirigeant peut-être une personne morale ou une personne physique, un associé ou un tiers. Suisse[modifier | modifier le code]

La flexibilité est la capacité d’une organisation à... Les 4 défis de la matrice des priorités Également connue sous le nom de matrice d’Eisenhower – du nom du général qui présida au débarquement en 1944 – la matrice des priorités est un incontournable de la gestion du temps. Si elle est simple à comprendre (il suffit de classer toutes nos tâches à faire dans les 4 cadrans dessinés par les 2 axes Urgence et Importance), son application au quotidien demeure un défi. 1. Le défi du cadran A : traquer la vérité ! C’est le cadran de l’adrénaline. Il faut agir immédiatement et vite ! L’action à réaliser a-t-elle un impact majeur sur la satisfaction client ? Les réponses à ces questions peuvent nous redonner un peu de marge de manœuvre pour arbitrer en faveur d’une tâche de cadran B moins urgente mais à plus fort enjeu. 2. Les tâches du cadran B méritent toute notre attention. 3. C’est sans doute le plus grand défi de cette matrice, celle qui trace la « diagonale du fou » B-C. Psychiquement et presque physiologiquement, c’est une autre affaire. 4. Consommer, d’abord. Pour aller plus loin

Parties prenantes de l'entreprise, acteurs internes et externes Toute entreprise est plongée dans un système où elle doit rendre des comptes non seulement à ses actionnaires, mais aussi à l'ensemble d’autres parties prenantes qui gravitent autour d'elle. Que signifie “Partie prenante” de l’entreprise ? Il s’agit des personnes physiques ou morales, groupes d'individus dans l’environnement de l’entreprise qui possèdent un intérêt dans son fonctionnement et ses résultats. Elles sont impactées ou influencées directement ou indirectement par les décisions de l'entreprise et par ses activités. Elles peuvent exercer elles-mêmes une influence plus ou moins forte sur la gouvernance et la stratégie de l’organisation. Il convient de distinguer 2 profils : les acteurs internes d'un côté, notamment les dirigeants et les salariés, les actionnaires, les syndicats ; de l'autre les acteurs externes : les clients, les fournisseurs, les concurrents bien sûr, mais aussi, les créanciers et autres institutionnels. Quelles sont les parties prenantes internes ? Managers Clients

LA FLEXIBILITE L’organisation cellulaire : l’art de combiner les compétences - Questions de Management - Le blog d'Eric Delavallée Dans un billet précédent, j’ai proposé de distinguer quatre grands types d’organisations différentes selon la manière dont l’autorité y est distribuée : l’organisation personnalisée, pyramidale, duale et cellulaire. Un premier billet a été consacré à l’organisation personnalisée, un deuxième à l’organisation pyramidale et un troisième l’organisation duale. Celui-ci est dédié à l’organisation cellulaire. Les entreprises en quête d’agilité L’origine du modèle cellulaire se trouve dans les équipes dites « semi-autonomes » nées dans les mines de charbon anglaises et modélisées par des chercheurs du Tavistock Institute de Londres. Après un net déclin, le modèle cellulaire a connu un regain d’intérêt dans les années 1990 aux Etats-Unis avec le courant dit de la « team-based organization ». Une distribution répartie de l’autorité Dans l’organisation cellulaire, l’autorité est répartie entre l’ensemble des membres de l’équipe. Une structure en cercle Les rôles ont une durée de vie limitée.

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