Aidez-nous à démasquer les aliments avec nanos M&M’s, Hollywood, Freedent, Airwaves, Skittles, Têtes brûlées, LU... près de 200 produits potentiellement contaminés par des nanoparticules avec le dioxyde de titane (E171) ! Pourquoi cette enquête sur les nanoparticules ? M&M’s, Malabar, Hollywood, Freedent, Airwaves, Skittles, Têtes brûlées, LU, Vahiné… commercialisent des confiseries utilisant un additif fortement suspecté d'être présent à l'état nanoparticulaire, le "E171". Attention, si nous n'atteignons pas les 10 000€, nous ne pourrons pas recevoir vos dons. Pour stopper les nanos qui sont en train d’envahir les assiettes à notre insu, nous avons besoins de : 1 500 euros pour : mener l'enquête afin d'identifier les produits susceptibles de contenir des nanoparticules ; 6 500 euros pour : Ces étapes, auxquelles s'ajoutent près de 2 000 € pour les contreparties, ont un coût important et votre soutien est essentiel pour continuer à mener ce travail. Les nanoparticules sont dangereuses L'enquête d'Agir pour l'Environnement Focus sur le E171
Les confiseurs font la trêve du dioxyde de titane En 1973, Dalida invitait Delon à «les offrir à une autre». En 2018, caramels, bonbons et chocolats souffrent toujours d'une mauvaise image. Trop chimiques, trop sucrés, trop riches... À l'heure du manger sain et raisonnable, les fabricants de bonbons veulent faire taire les critiques dont ils sont la cible de toutes parts. Principal engagement: supprimer le dioxyde de titane (E171) de tous leurs produits d'ici début 2020 au plus tard, un additif alimentaire très controversé pour ses effets potentiellement cancérogènes. Le syndicat des confiseurs pourra ainsi débloquer 30 à 50.000 euros pour la poignée d'adhérents qui devraient retravailler leurs recettes. «Évaluation des risques» C'est ce que confirme Sylvie Collin de la Confédération des chocolatiers et confiseurs de France: «pour certains chocolatiers qui sont sur des structures plus petites que les géants du bonbon, la perspective de supprimer complètement l'E171 du jour au lendemain est très inquiétante. Enjeux d'image pluriels
Stop aux nanoparticules ! – Agir pour l'Environnement Examen critique de l'évaluation de la sécurité des additifs au dioxyde de titane dans les aliments. Nanomaterial engineering provides an important technological advance that offers substantial benefits for applications not only in the production and processing, but also in the packaging and storage of food. An expanding commercialization of nanomaterials as part of the modern diet will substantially increase their oral intake worldwide. While the risk of particle inhalation received much attention, gaps of knowledge exist regarding possible adverse health effects due to gastrointestinal exposure. This problem is highlighted by pigment-grade titanium dioxide (TiO2), which confers a white color and increased opacity with an optimal particle diameter of 200-300 nm. Keywords: Anatase; Cancer; Corona; Dendritic cells; Food additives; Food safety; Food toxicology; Innate immunity; Lymphoid tissue; Rutile.
Friends of the Earth: The Biggest Jobs on Earth Our groundbreaking research found tiny, engineered nanoparticles in six of the most popular baby formulas sold in the United States. Recent science demonstrates that these and other nanoparticles are likely toxic for humans and other living things. These ingredients have no business being in the formula we feed to the most vulnerable among us: infants. Sign the petition demanding that baby formula companies remove these engineered ingredients from their products! We urge baby formula companies to recall formula containing nanoparticles. 1. Le dioxyde de titane est finalement interdit des produits alimentaires Un bonbon ou un sort ? Il semblerait que la question ne se pose plus pour les petits monstres d'Halloween - célèbre fête folklorique et païenne traditionnelle originaire des Iles Anglos-Celtes - venant réclamer des friandises en frappant aux portes voisines. Une enquête menée par l'association Agir pour l'Environnement démontre que le mauvais sort est en fait inclus dans certaines confiseries, qui contiennent des nanoparticules dont les effets sur la santé ne seraient pas anodins... Comment poursuivre votre lecture ? Vous avez épuisé vos 3 lectures gratuites pour cette semaine Achetez une visite premium pour lire tout notre contenu (2 €) Ou Abonnez-vous pour lire tout notre contenu sans limite : Devenez membre premiumà partir de 4 € par mois Ou connectez-vous si vous avez déjà souscrit un abonnement premium Soutenez un média indépendant, de référence et sans publicité
Pourquoi les nanotechnologies sont-elles des saloperies ? Accueil > Editorial > Une minute - Une question > Pourquoi les nanotechnologies sont-elles des saloperies ? 16 avril 2016 / par Hervé Kempf (Reporterre) Sarah Dubernet est membre de l’Association de veille et d’informations sur les enjeux des nanosciences et des nanotechnologies (Avicen). Sarah Dubernet from PlumeStudios on Vimeo. Lire aussi : Les nanotechnologies sont-elles un risque aussi important que l’amiante ? Réalisation : Reporterre et plumeStudios, en partenariat avec le salon Primevère THEMATIQUE Santé 19 avril 2016 A Dunkerque, on réfléchit à rendre l’eau en régie publique Info 18 avril 2016 À Bure, paysans et opposants ont semé des graines contre les déchets nucléaires Reportage 19 avril 2016 « Les paysages comestibles sont la clef de voûte de la production alimentaire de demain » Alternative Vous avez aimé cet article ? Sur les mêmes thèmes Santé Une minute - Une question 19 avril 2016 Les lobbies pharmaceutiques nuisent-ils à notre santé ? Du même auteur Hervé Kempf (Reporterre)
Nanoparticules : ces confiseries qui font peur (et celles qu’on peut dévorer sans crainte) – Même pas mal Têtes brulées, Elodie, Fizzy, chewing-gum Airwaves, Hollywood, Freedent, Malabar, confiseries M&M’s, Skittles, gâteaux LU, chocolats Milka, décorations gâteaux Vahiné… A la veille d’Halloween, l’ensemble de ces confiseries font partie d’une liste de 100 produits pointés du doigt par l’ONG Agir pour l’Environnement pour leur contenu riche en E171, le dioxyde de titane, susceptible de contenir des nanoparticules. La bourse ou la vie ? En juin 2016, l’ONG alertait déjà sur la présence de nanoparticules dans notre assiette. Elle revient à la charge en cette période propice à la consommation de bonbons pour alerter sur la quantité de dioxyde de titane ingérée par nos chères têtes blondes : « selon une étude récente, les enfants consommeraient deux à quatre fois plus de titane que les adultes du fait de l’ingestion de sucreries ayant des niveaux élevés de nanoparticules de dioxyde de titane. Comment s’y retrouver ?
Malbouffe et nanomatériaux , le couple gagnant contre notre santé Petites molécules, grands problèmes de santé publique. L’OCDE et le gouvernement français viennent de publier, lundi 22 février 2016, deux rapports accablants sur la présence de nanoparticules dans notre quotidien. Tandis que l’OCDE alerte sur les dangers des nanos dans l’eau et les déchets, le rapport annuel R-Nano du Ministère de l’écologie montre que l’industrie en produit de plus en plus (415 000 tonnes en France en 2014, soit 6 kg par Français !), sans aucun contrôle réglementaire ni sanitaire préalable… L’industrie nous prend de court, sans véritable réaction citoyenne en face. Les techniques de production des nanos avancent pourtant très vite. La surprise du dernier rapport R-Nano est que les déclarations proviennent en majorité de l’agriculture : on trouve ainsi des nanos à la fois dans les produits phytosanitaires et dans les boues d’épuration, utilisées par certains agriculteurs comme engrais dans les champs.
Dioxyde de titane Qu’est-ce que le dioxyde de titane et quels sont ses usages ? Le dioxyde de titane (TiO2) existe sous différentes formes, micrométriques et nanométriques. Il est notamment utilisé sous forme de poudre, pour ses propriétés d’absorption des rayons ultraviolets mais aussi comme colorant alimentaire. Le TiO2 présente également d’autres propriétés telles que la résistance aux produits chimiques, une stabilité thermique et un potentiel photocatalyseur. Le registre de déclaration annuelle des nanomatériaux, R-nano, géré par l’Anses, fait état de plus 10 000 tonnes de TiO2 produites et importées en France chaque année. En plus de la taille, d’autres propriétés physico-chimiques propres au TiO2 peuvent également varier et influencer ses usages et sa toxicité, notamment : la forme : sphérique, allongée, fibreuse etc. Le dioxyde de titane en tant qu’additif alimentaire Le E171 est un additif alimentaire sous forme de poudre, constitué de particules de dioxyde de titane. D’autres études en cours
José Bové - Nanomatériaux et clonage dans l’alimentation Les eurodéputés réaffirment l’application du principe de précaution, la Commission doit revoir sa copie Thématiques > Agriculture > Nanotechnologie > Nanomatériaux et clonage dans l’alimentation Les eurodéputés réaffirment l’application du principe de précaution, la Commission doit revoir sa copie La Commission environnement, santé et sécurité alimentaire (ENVI) du Parlement européen a voté en faveur d’un amendement demandant l’interdiction des nanomatériaux dans l’alimentation qui modifie clairement l’esprit du projet de réglementation sur les Nouveaux Aliments proposé par la Commission européenne. Michèle RIVASI et José BOVE, eurodéputés du groupe des Verts/ALE respectivement membres des commissions ENVI et AGRI (agriculture), saluent ce résultat : "Visiblement Monsieur Barroso et son Commissaire n’avaient pas compris le message envoyé par le Parlement européen en 2011 lorsqu’il avait voté contre la proposition sur les nouveaux aliments. Les eurodéputés demandent également à la Commission européenne de revoir sa copie concernant les aliments provenant d’animaux clonés.