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Le blog de Denis Clerc Il n’est désormais question dans la presse que de « ras l’bol fiscal », de « matraquage fiscal », voire d’« assommoir fiscal ». Le quotidien Les Echos dont je suis un fidèle lecteur, car c’est le journal de référence en économie et qu’il est remarquablement informé, n’y échappe pas. Voici quelques titres de « Une » : le 14 octobre, « Impôts : le cri d’alarme des banques », et en sous-titre « Leur taux d’imposition bat des records ». L’affirmation de Jean-Francis Pécresse sur la part de l’impôt (sur le revenu) acquitté par les 2 % les plus aisés n’est pas fausse. Ceci dit, les prélèvements obligatoires augmentent, c’est vrai : en 2014, ils devraient représenter 46 % du PIB, contre 43 % en 2008[1]. Contrairement à ce que laissent penser les partisans d’une baisse drastique de la dépense publique, celle-ci devrait donc porter essentiellement sur la protection sociale.

ELYKSIR Technology: The future of software pricing excellence: SaaS pricing SaaS pricing strategy components SaaS pricing strategy depends on policies that guide discounting and margin management. SaaS pricing strategy components Companies making the strategic choice of migrating their software business model from a traditional perpetual or annual license to a subscription license-based software-as-a-service (SaaS) product are doing so to drive stronger long-term positioning and business growth. Saas growth can be driven by bundling Pricing management is key to making a successful transition to the SaaS model. PwC has identified the characteristics that define the leaders, laggards and mainstream practitioners of SaaS pricing. This paper explores how software companies can transition effectively to the SaaS model and maximise overall profitability through a holistic approach based on PwC's proven pricing management framework. Read the full article and learn how to move up the laggard to leader spectrum in pricing strategy

Le Groupe Indépendant Continental SNCF Les enjeux de la gestion des logiciels pour la DSI, un poste souvent mal maîtrisé Par Julien Escribe, Partner, ISG mardi 26 mars 2013 Alors que le poste « logiciels » est de plus en plus important et échappe souvent à toute maîtrise, quelles sont les meilleures pratiques opérationnelles pour optimiser ce poste de dépense ? Qu’en est-il des procédures, des négociations d’achat du logiciel et comment influer sur les leviers d’optimisation des coûts de maintenance ? Les logiciels : un sujet qui a beaucoup évolué depuis les années 80 Pour les grandes directions informatiques françaises et internationales, le poste de dépense lié aux logiciels représente fréquemment de 30 à 40% du budget de la production informatique. De plus, il est moins bien maîtrisé que les autres postes de coût. Si l’on regarde un peu dans le rétroviseur en se penchant sur les débuts de l’informatique dans les années 60, les premiers mainframes d’IBM (IBM 360) comportaient un coût de logiciels qui était très faible par rapport au matériel. Auparavant, la relation commerciale reposait sur un modèle assez classique.

PS : Julien Dray moins "divers" que Malek Boutih Le PS a tranché mardi : la 10e circonscription de l'Essonne sera réservée "diversité". Or, la 10e de l'Essonne, c'est la circonscription de Julien Dray. Pas assez "divers" aux yeux de ses camarades de Solférino, le fondateur de SOS Racisme, né à Oran, ne pourra donc pas se représenter et la circonscription devrait échoir à Malek Boutih, qui n'attend plus que le vote des militants socialistes. Baroud d'honneur, Julien Dray a demandé à sa suppléante à l'Assemblée, Fatima Ogbi, de se présenter contre son rival, mais l'issue du vote ne fait guère de doute. Résultat, le fondateur de SOS Racisme ne désarme pas. Le match Dray-Boutih aura donc peut-être lieu dans les médias, ou dans les coulisses de Solférino. L'argument ne semble pas peser au PS. Et si Dray voulait terminer sa carrière en gravissant enfin les marches du pouvoir ?

Actualite informatique, actualite des entreprises, information economique Medef: toujours plus de reculs sociaux (Remy Steinegger - Flickr - cc) Du même auteur Rexocode/Medef a tenté d’intoxiquer en prétendant, quitte à se faire sévèrement démentir par tous les instituts sérieux, qu’on ne travaillait pas assez et qu’on gagnait trop par rapport à l’Allemagne. (Alors que c’est le contraire, nous travaillons plus et gagnons moins). Lire la suite sur : Comment ça bosse ? Business et Technologies - ZDNet.fr La France perd son triple A, et après? Le programme économique du PS est-il crédible? par Emilie Lévêque - Le blog de DA 90 Le PS a présenté mardi 5 avril son programme officiel pour la présidentielle de 2012, baptisé "le changement" et décliné en 30 propositions phares. Ce projet, ancré à gauche, se veut budgétairement réaliste. "Le rétablissement des comptes publics est un objectif de souveraineté politique et un objectif de justice. D'ores et déjà, l'échéance de 2013 - visée par le gouvernement Fillon - pour ramener le déficit sous la barre des 3% du PIB est jugée intenable. Pour y parvenir, le PS rejette l'austérité et table en grande partie sur un vigoureux redressement économique, à savoir une croissance moyenne du PIB de 2,5% par an. Suppression des "cadeaux fiscaux" de l'ère sarkozyste Les dépenses publiques progresseraient de 1,7% par an, soit moins que l'inflation (prévue à 2%) mais plus que l'engagement du gouvernement Fillon qui veut les réduire à moins de 1% par an - même si en 2010 celles-ci ont encore progressé de 2%. Le PS doit donc trouver de nouvelles recettes fiscales.

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