Un réacteur nucléaire nécessaire pour illuminer les Fêtes PARIS (Reuters) - La magie des Fêtes, agrémentée de retrouvailles familiales ou d'attente fébrile du Père Noël, ferait presque oublier aux Français leurs bonnes résolutions en matière d'environnement, souligne l'Ademe, l'agence de l'environnement et la maîtrise de l'énergie. Pas moins de 1.300 mégawatts (MW), soit l'équivalent de la puissance moyenne d'un réacteur nucléaire, sont ainsi nécessaires selon les estimations de l'agence pour parer de mille feux le conifère qui trône au milieu du salon ou la façade de la maison familiale. "Les Fêtes sont consommatrices en tout", explique Florence Clément, chargée de l'information auprès du grand public à l'Ademe, qui publie sur son site des conseils destinés au grand public. "Elles provoquent une forte hausse de la consommation, notamment en énergie. Il y a aussi des modes, comme les illuminations à l'extérieur des maisons qui ont explosé ces dernières années. Les Fêtes ne font pas non plus figure de bon élève en matière d'émission de CO2.
Bernard Laponche : “Il y a une forte probabilité d'un accident nucléaire majeur en Europe” - Le monde bouge Physicien nucléaire, polytechnicien, Bernard Laponche est formel : la France est dans l'erreur. Avec le nucléaire, elle s'obstine à privilégier une énergie non seulement dangereuse mais obsolète. Alors que d'autres solutions existent, grâce auxquelles les Allemands ont déjà commencé leur transition énergétique. Il est des leurs. Enfin, il était des leurs. Polytechnicien, physicien nucléaire, Bernard Laponche a participé, dans les années 1960, au sein du Commissariat à l'énergie atomique, à l'élaboration des premières centrales françaises. On présente toujours l'énergie nucléaire comme une technologie très sophistiquée. Pourquoi cette image s'est-elle imposée ? Parlons donc du combustible...Ce sont des crayons d'uranium, de l'uranium légèrement enrichi en isotope 235, pour les réacteurs français. Cette réaction en chaîne, on peut tout de même l'arrêter à chaque instant, non ? Y a-t-il eu des innovations en matière nucléaire ? Pourquoi ? Cela fait trente ans...
AREA - Environnement Une autre façon de penser l’environnement Au sein du groupe AREA, nous avons créé une agence dédiée aux solutions environnementales : AREA canopée. Et pourquoi donc se doter d’un pôle aussi spécifique ? Car nous sommes persuadés de la responsabilité du secteur du bâtiment dans le changement climatique et de notre cadre de vie. Par conséquent, il nous apparaît primordial de travailler en faveur de la diminution des impacts sur l’environnement. Si l’agence AREA canopée réunit des femmes et des hommes de formations et d’horizons divers, elle est néanmoins l’exemple même d’une complémentarité des forces et des expertises. Connaître pour réduire les impacts Lors de l’étude projet, l’analyse conduite par AREA canopée doit permettre de confirmer ou d’infirmer les choix conceptuels par une évaluation des impacts environnementaux : Le secteur du bâtiment consomme à lui seul : 50% des ressources naturelles, 40% de l’énergie (le premier consommateur d’énergie finale) et 16% de l’eau.
Global Nuclear Generation Capacity Falls Due to increasing costs of production, a slowed demand for electricity, and fresh memories of disaster in Japan, production of nuclear power fell in 2011, according to the latest Vital Signs Online (VSO) report from the Worldwatch Institute. Despite reaching record levels the previous year, global installed nuclear capacity—the potential power generation from all existing plants—declined to 366.5 gigawatts (GW) in 2011, from 375.5 GW at the end of 2010. Not surprisingly, this drop in installed capacity corresponds with a decline in global consumption of nuclear energy. Nuclear’s share of world commercial primary energy usage fell to around 5 percent in 2010, having peaked at about 6 percent in 2001 and 2002. Only four countries—the Czech Republic, Romania, Slovakia, and the United Kingdom—increased their share of nuclear power by over 1 percentage point between 2009 and 2010. Much of the decline in installed capacity is the result of halted reactor construction around the world.
modelisation sur 10j de dispersion radioactive de fukushima... Les graphiques présentés ici sont une prévision de 10 jours du mouvement du panache basée sur une hypothèse de taux de libération constante de radionucléides de 10 12 becquerels / seconde (Bq / s) pour le I-131 et Cs-137. Le becquerel (symbole Bq) est le SI (métriques) unité de radioactivity.equal à la quantité de matières radioactives dans lequel on désintègre le noyau par seconde. Deux types de graphiques sont présentés comme suit: Animé de 10 jours Prévisions horaires de I-131 et Cs-137 Le panneau supérieur affiche la concentration près de la surface de la terre en Bq / m 3 ainsi que la vitesse du vent de surface et la direction (longueur et la direction des petites flèches).Le panneau inférieur affiche la vue heure par heure du panache en unités de kBq / m 2 , car il serait vu d'un satellite. Statique de 10 jours Prévisions dépôt total de I-131 et Cs-137 Cs-137
Story of Change « The Story of Stuff Project Over the past several decades, many environmental and social change efforts have come to reflect the centrality of shopping in our culture, suggesting change can be made—or is even best made—through alterations in our individual consumption patterns. These efforts—buy Fair Trade or organic, use a reusable bag, screw in a CFL lightbulb—are a great place to start, but they are a terrible place to stop, ignoring the real source of our power: coming together as engaged citizens. In The Story of Change, released in July 2012, Annie Leonard argues that it’s not bad shoppers who are putting our future at risk; it’s bad policies and business practices. If we really want to change the world, we have to move beyond voting with our dollars and come together to demand rules that work. Credits The Story of Change was created and released by The Story of Stuff Project and produced by Free Range Studios. Show full list of credits
Sortir du nucléaire, cela veut dire quoi exactement ? Documentation > Tout ce qui est radioactif > Tout ce qui est radioactif > Sortir du nucléaire, cela veut dire quoi exactement ? Quelques réflexions sur une sortie du nucléaire Première mouture : 1er avril 2011 (sans blague !) - dernière modification : Juillet 2012 - paru sous forme papier dans la revue Le Débat de mars 2012 site de l'auteur : www.manicore.com - contacter l'auteur : jean-marc@manicore.com L'une des réactions au double séisme qui a frappé le Japon en mars 2011 a été, sans grande surprise, une montée en puissance des demandes d'arrêt des centrales nucléaires un peu partout dans le monde. Combien de nucléaire... et de charbon ? En 2009, le nucléaire mondial a produit un peu moins de 3.000 TWh (un TWh signifie un térawattheure, soit un milliard de kWh) sur une production électrique mondiale d'un peu moins de 20.000 TWh. Par quoi remplacer le nucléaire ? Si nous "sortons du nucléaire", il y a en théorie plusieurs manières de le remplacer, qui peuvent du reste se combiner :
Le rapport qui punit Areva Opacité. Acquisition désastreuse. Comptabilité mystérieuse. Le rapporteur de la Commission des finances a remis hier soir un audit au vitriol sur Areva et la filière nucléaire française. Publié en intégralité par OWNI. À l’Assemblée nationale, le 21 juin dernier, le président de la Commission des finances Jérôme Cahuzac avait demandé à un rapporteur spécial d’examiner l’état financier du nucléaire français. À le lire, on découvre des responsables qui tentent par tous les moyens de dissimuler les mauvais résultats financiers et le coût exorbitant du nucléaire. une décomposition des coûts de l’électricité qui intègre le coût du démantèlement des centrales et du traitement des déchets, le ministre de l’Écologie a fourni sur ce sujet des indications certes solides et détaillées, mais incomplètes. Quant à l’examen des comptes du champion de la filière, Areva, il se révèle à ce point semé d’embûches que le rapporteur spécial soupçonne certains de dissimuler des vérités qui dérangent.
Empreinte écologique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'empreinte écologique est un indicateur et un mode d'évaluation environnementale qui comptabilise la pression exercée par les hommes envers les ressources naturelles et les « services écologiques » fournis par la nature. Plus précisément, elle mesure les surfaces alimentaires productives de terres et d'eau nécessaires pour produire les ressources qu´un individu, une population ou une activité consomme et pour absorber les déchets générés, compte tenu des techniques et de la gestion des ressources en vigueur. Cette surface est exprimée en hectares globaux (hag), c´est-à-dire en hectares ayant une productivité égale à la productivité moyenne[1]. L'économie de subsistance, outre le fait qu'elle rend direct le calcul portant sur les surfaces agricoles employées, pèse peu en termes d'empreinte écologique. On célèbre la Journée Internationale de l'empreinte écologique le 3 mai. Utilité[modifier | modifier le code] avec et
Planque radioactive Le nucléaire, c'est une bonne affaire sauf pour celui qui descend la poubelle. Actuellement, près d'un petit village de la Meuse, un gigantesque chantier attend d'abriter sous-terre plus de 70.000 mètres cubes de déchets nucléaires. Le projet effraie - à raison - les habitants. Cigéo : modélisation de la zone du futur site principal, vue en surface. Entre les départements de la Meuse et de la Haute-Marne, à proximité du village de Bure, étrange ambiance. 15 km2 sous-terre Pour faire accepter le projet, deux groupes d’intérêt public formés pour l’occasion achètent la paix civile en arrosant de subventions les communes et les entreprises : Objectif Meuse et le GIP de Haute-Marne. l’importance qu’il y a à choisir un site pour stocker les déchets de haute et moyenne activité à vie longue en vue d’une mise en exploitation du centre de stockage en 2025. L’idée d’un enfouissement souterrain des déchets nucléaires n’est pas nouvelle. La Meuse sera la poubelle nucléaire de France !