Le flux, l'homme, la monnaie Thierry Crouzet a puissamment théorisé le flux en terme d’information, de production d’information, d’interdépendance, et en a tiré un essai « propulseur dans le flux« , qui n’est pas sans rapport avec ce que nous allons traiter ici. Qu’est-ce qu’un flux ? En physique un flux ou débit instantané est déterminé comme étant une dérivée quantitative de matière ou d’énergie traversant une section d’un volume donné. On peut donc définir une mesure de flux pour un cours d’eau comme une fontaine ou un fleuve, comme étant la quantité d’eau qui passe par seconde via une section perpendiculaire au courant, par exemple en m³/s. Il s’agit donc d’une quantité dynamique, qui est une dérivée par rapport au temps. Un autre type de flux est la Loi de désintégration radioactive. Ce qui dans ce cas est proportionnel au nombre total d’atomes présents dans le cube à ce moment là : dN/dt = -c*N Qu’en est-il des hommes ? Qu’en est-il alors de l’arrivée de nouveaux citoyens naissant « libres et égaux en droit » ?
BitCoin, un système monétaire P2P crypté Je viens de découvrir l’excellent projet Open Source BitCoin encore en béta-test, et qui est extrêmement prometteur. Il se rapproche au plus près de ce qu’on peut espérer de mieux comme système monétaire P2P. BitCoin se présente comme un logiciel multiplateforme qui une fois lancé se connecte aux autres logiciels connectés, et commence à générer des « blocs » cryptés assurant par leur nombre et leur dissémination dans le réseau, la sécurité du système. Crypté, P2P, Open Source, le rêve absolu… Par contre le système monétaire initialement retenu crée la monnaie de façon un peu curieuse, sur la base de ces noeuds, dans un modèle un peu bancal qui associe une sorte de Dividende « Machine » limité dans le temps (il décroît au fur et à mesure que la monnaie se crée) jusqu’à une quantité limite de 21 Millions de BitCoins. De plus le crédit mutuel limité favorise les tenants de monnaie qui l’accumulent. Pourtant la philosophie monétaire fondamentale des développeurs me semble excellente :
Grégarisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La science qui a pour objet l'étude des sociétés animales est la sociobiologie. Les niveaux d'organisation sociale[modifier | modifier le code] Dans la nature il existe plusieurs types de sociétés possédant des niveaux d'organisation variables. 1) La localisation spatiale : les individus coexistent sur un territoire limité ou se déplacent ensemble mais forment toujours un groupe relativement compact. 2) La cohésion des membres : les relations spatiales entre les individus possèdent une certaine constance et suivent des règles déterminées. 3) La spécialisation des individus : il peut exister une division des rôles des individus, certains étant spécialisés dans l'accomplissement de tâches spécifiques. L'eusocialité qui est le niveau supérieur d'organisation est caractérisée par : Niveaux d'organisation familiale[modifier | modifier le code] Niveau 1 : L'élevage de la progéniture[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code]
Santé sociale Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Dans une définition large de la notion du social, on peut l'entendre comme étant l'expression de l'existence de relations entre les vivants. Certains animaux non-humains, tels que la plupart des mammifères par exemple, sont qualifiés d'espèces sociales. Il en va de même pour certains insectes. En Droit, le terme social peut avoir une signification ambigüe : Tantôt il désigne ce qui se rapporte aux relations du travail (ex : le droit social)Tantôt il désigne ce qui se rapporte aux relations entre associés d'une même société ( ex: le mandat social) Social en tant que concept sociologique[modifier | modifier le code] Les conceptualisations sociologiques de ce que représente le social sont apparues avec la nécessité de définir l'objet de recherche de la sociologie. Critique du terme[modifier | modifier le code] Le terme est parfois critiqué pour être un terme sans signification et qui ne sert qu'à empêcher toute réflexion. Portail de la sociologie
Banques éthiques, monnaies libres… et toi, tu fais quoi après la crise ? Pas besoin d'un plan de sauvetage à 140 milliards pour moraliser le capitalisme : monnaies libres, banques éthiques et autres outils existent pour donner un peu de sens à la finance. Doté de seulement deux banques éthiques, la France paie le prix d’une stratégie de concentration en géants mondiaux, pas très raccord avec les aspirations de moralisation du capitalisme. 5 millions d’euros de fonds propres, plus de 26 000 sociétaires / actionnaires… « D’un point de vue purement réglementaire, nous avons le droit d’être une banque de plein exercice », annonce Marc Favier, responsable du projet de développement et d’innovation de la banque éthique La Nef. Seulement voilà : la Banque de France ne veut pas. Partie de la loi de 1984, la concentration du secteur bancaire orchestré par la Banque de France a certes livré des mastodontes internationaux au secteur bancaire français, mais la prive aujourd’hui de tout réseau de banque éthique indépendant. La crise des grands condamne les petits
Peut-on vivre en France sans compte en banque ? Aucune loi n'oblige les citoyens français à posséder un compte en banque. Pourtant, ils ne sont que moins de 1% de la population à ne pas être « bancarisés », selon une enquête du Credoc datant de fin 2009. Un chiffre si faible que les chercheurs admettent qu'il est difficile de l'interpréter : « Le nombre de ménages en situation de pauvreté n'ayant pas de compte de dépôt est trop faible pour analyser les raisons de non-possession. On peut cependant relever que les motifs liés à l'absence de besoin, ou au choix de ne pas avoir de compte de dépôt, sont plus souvent mentionnés. » Christian Cyril Ver Hulst, professeur agrégé de gestion, décrit les profils concernés : « C'est le cas de plusieurs millions d'enfants et d'adolescents français, voire d'adultes notamment en situation irrégulière du point de vue du titre de séjour. Un « droit au compte » que la Banque de France doit faire respecter C'est pourquoi un « droit au compte » a été institué.
Monnaie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La monnaie est définie par Aristote[1] par trois fonctions : unité de compte, réserve de valeur et intermédiaire des échanges. Depuis la suppression de toute référence à des matières précieuses et la dématérialisation des supports monétaires, et après l’intervention des économistes « nominalistes »[2], les aspects légaux de l'usage de la monnaie (et notamment les droits juridiques qui sont attachés au cours légal et au pouvoir libératoire) sont plus apparents. La monnaie est l'instrument de paiement en vigueur en un lieu et à une époque donnée : du fait de la loi : on parle de cours légaldu fait des usages : les agents économiques l'acceptent en règlement d’un achat, d’une prestation ou d'une dette. La monnaie est censée remplir trois fonctions principales : En pratique ces fonctions peuvent être assurées par différentes monnaies en circulation simultanée. Histoire[modifier | modifier le code] Paléomonnaies[modifier | modifier le code] Notes
Napster de la banque: prochain cauchemar des gouvernements ? Selon le fondateur du parti pirate suédois, nous n'avons encore rien vu de la révolution internet. Le pire reste à venir pour les États : les monnaies chiffrées et décentralisées. La vraie bataille pour l’internet et les énormes changements que le réseau apporte ne fait que commencer. Ce que nous voyons aujourd’hui ne sont que des signes avant-coureurs, de petites disputes où les amis de ceux qui ont le pouvoir (l’industrie du copyright) se plaignent et obtiennent de piètres bénéfices. Une des règles générales du progrès technique, c’est que ce n’est pas nécessairement la techno la plus riche en fonctionnalités, la moins chère, ou la plus accessible qui atteint la masse critique d’utilisateurs. Je cite fréquemment Youtube en exemple, car Youtube n’était pas le premier site à proposer de la vidéo sur le net. Il serait indélicat de ne pas mentionner Napster dans ce contexte. Le partage de musique a mis dix ans à s’emballer, grâce à Napster. Photos flickr swanksalot ; jajacks62 bixentro
Après l’échec du Bank Run, quatre idées pour s’éloigner des banques Plutôt que de courir vider son compte, OWNIpolitics vous propose quelques solutions concrètes pour réduire votre dépendance bancaire. Article publié initialement sur le site OWNIpolitics sous le titre : Quatre alternatives au Bank run de Cantona. Mardi 7 octobre, même si des centaines ou des milliers de Français avaient été clôturer leur compte ou simplement en retirer le maximum de cash autorisé, les banques n’auraient pas tremblé. Pire : les « bank runners » qui seront amenés à rouvrir un compte généreront des frais bancaires et des commissions qui bénéficieront à ces mêmes établissements auxquels ils voulaient donner une leçon. Suite à notre article sur la « révolution Cantona », de nombreux conmmentateurs se sont plaints de ce que, ayant critiqué le principe et son inefficacité, nous n’avions rien proposé pour faire avancer le débat. La dépendance vis-à-vis du système bancaire n’est pas une abstraction, il s’agit d’un principe bien concret qui se décline en plusieurs aspects :
Quand le FMI fabrique la misère (documentaire, 46' 05) + dossier FMI Un témoignage implacable sur le rôle criminel du FMI ! Avant les années 80, le Ghana était considéré comme un pays en voie de développement prometteur. La crise économique que connaît le pays va amener une situation locale désastreuse au niveau des services de base. L'incitation à la "récupération des coûts" va entraîner la privatisation des services publics de base de soins et d'adduction d'eau. Photo: Voir la vidéo en une seule partie: Le renforcement du FMI et de la Banque mondiale menace les peuples du Sud et du Nord Histoire abrégée de la Banque mondiale, par CADTM Ouragan d’austérité sur l’Europe, nouvelle proie du FMI Mettre fin à la Faim dans le Monde! UN reports 1 billion of the world’s people going hungry La Banque mondiale découvre 400 millions de pauvres en plus Haïti: une catastrophe sans précédent dans un pays déjà dévasté (dossier) The End Of Poverty (La fin de la pauvreté) de Phillip Diaz (Extraits, VOSTF) inShare
Allocation universelle Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le revenu de base est un revenu versé par une communauté politique à tous ses membres, sur une base individuelle, sans conditions de ressources ni obligation de travail, selon la définition du Basic Income Earth Network (BIEN)[1]. Il reconnaît la participation de l'individu pour la société, indépendamment de la mesure de l'emploi. Cette proposition est aussi appelée : « revenu universel »[2], « revenu inconditionnel »[2], « revenu inconditionnel suffisant »[3], « revenu d'existence »[4], « revenu minimum d'existence »[5] « revenu social »[6], « revenu social garanti »[4], « allocation universelle »[4], « revenu de vie »[7], « revenu de citoyenneté »[8], « revenu citoyen »[9],[10], « dotation inconditionnelle d'autonomie »[11] ou « dividende universel »[4]. Le revenu de base a été expérimenté notamment au Canada, en Inde ou en Namibie. Montant[modifier | modifier le code] Financement[modifier | modifier le code]
Mode d’emploi pour démarrer une civilisation Et si l'esprit du libre qui est déjà en place dans la société de la connaissance et de la créativité pouvait se propager à l'univers du matériel, des outils du fermier, de l’ouvrier, de l’entrepreneur ou du producteur. Dans un récent billet intitulé Open Source Ecology ou la communauté Amish 2.0 nous nous faisions l’écho d’un projet assez extraordinaire consistant à placer sous licence libre les spécifications d’une cinquantaine de machines agricoles permettant théoriquement à un village d’accéder à l’autosuffisance. Un projet qui méritait bien les honneurs d’une conférence TED que nous avons choisi de vous reproduire ci-dessous. Soit dit en passant, les conférences Ted, au format court caractéristique et de plus en plus souvent sous-titrées en français, constituent avec le temps une véritable mine d’or pour tout internaute curieux de mieux comprendre et appréhender les enjeux d’aujourd’hui et de demain. Leur slogan est : « des idées qui méritent d’être diffusées ». Merci.