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Main Page - Théorie Relative de la Monnaie

Le flux, l'homme, la monnaie Thierry Crouzet a puissamment théorisé le flux en terme d’information, de production d’information, d’interdépendance, et en a tiré un essai « propulseur dans le flux« , qui n’est pas sans rapport avec ce que nous allons traiter ici. Qu’est-ce qu’un flux ? En physique un flux ou débit instantané est déterminé comme étant une dérivée quantitative de matière ou d’énergie traversant une section d’un volume donné. On peut donc définir une mesure de flux pour un cours d’eau comme une fontaine ou un fleuve, comme étant la quantité d’eau qui passe par seconde via une section perpendiculaire au courant, par exemple en m³/s. Il s’agit donc d’une quantité dynamique, qui est une dérivée par rapport au temps. Un autre type de flux est la Loi de désintégration radioactive. Ce qui dans ce cas est proportionnel au nombre total d’atomes présents dans le cube à ce moment là : dN/dt = -c*N Qu’en est-il des hommes ? Qu’en est-il alors de l’arrivée de nouveaux citoyens naissant « libres et égaux en droit » ?

La dette publique est plombée par des intérêts illégitimes Comment ne pas être d’accord avec Jean Gadrey (lire sur son blog : Sur les dettes publiques en France et en Europe), comment ne pas vouloir mettre plus de justice fiscale et faire payer des impôts équitables à ceux qui, à ce jour, bénéficient d’avantages fiscaux considérables, impôts dont la perception permettrait effectivement une « relance durable » ? Car nous avons deux problèmes à résoudre simultanément. Le premier problème est donc de trouver les financements de la relance durable et de la transition énergétique sans simultanément augmenter la dette ni les prélèvements sur les classes moyennes déjà exsangues. Et là je pense qu’une partie de ces plus ou moins 100 milliards d’euros annuels à récupérer, estimation tout à fait cohérente de Jean, trouvent ici leur place. Le second problème c’est celui du remboursement de la dette publique à chaque échéance des titres de dette. Des intérêts illégitimes cliquer sur le graphique pour l'agrandir Quelles solutions ? L’inflation

BitCoin, un système monétaire P2P crypté Je viens de découvrir l’excellent projet Open Source BitCoin encore en béta-test, et qui est extrêmement prometteur. Il se rapproche au plus près de ce qu’on peut espérer de mieux comme système monétaire P2P. BitCoin se présente comme un logiciel multiplateforme qui une fois lancé se connecte aux autres logiciels connectés, et commence à générer des « blocs » cryptés assurant par leur nombre et leur dissémination dans le réseau, la sécurité du système. Crypté, P2P, Open Source, le rêve absolu… Par contre le système monétaire initialement retenu crée la monnaie de façon un peu curieuse, sur la base de ces noeuds, dans un modèle un peu bancal qui associe une sorte de Dividende « Machine » limité dans le temps (il décroît au fur et à mesure que la monnaie se crée) jusqu’à une quantité limite de 21 Millions de BitCoins. De plus le crédit mutuel limité favorise les tenants de monnaie qui l’accumulent. Pourtant la philosophie monétaire fondamentale des développeurs me semble excellente :

Loi de 1973, critique du livre de Pierre-Yves Rougeyron “Maastricht est la fin d’un processus. Ce sont des choses qui ont été préparées: la libéralisation des marchés dans les années 1980 « pour entrer dans l’euro » (selon Delors).Personne ne fait le lien entre la libéralisation des marchés financiers et la mise en place de l’euro (directive Delors-Lamy de 1988).La loi de 73 a été une porte d’entrée. Elle en est une trace législative.Nous avons choisi cette porte d’entrée à la demande de Pierre Jovanovic. Premier pas explicite vers l’indépendance des banques centrales.Maastricht est un bout de chaine qui radicalise la loi de 1973 puisqu’il nous interdit le marché primaire et le marché secondaire.Pour arriver à Maastricht, cet objectif de fédéralisation forcé des Etats européens, il fallait donc en faire l’histoire.” Pierre-Yves Rougeyron (Radio Ici et Maintenant, 27 mars 2013) « Enquête sur l’Union économique et monétaire » : voilà comment aurait-dû s’intituler, selon nous, le livre de Pierre-Yves Rougeyron. Contexte I. II. Comment ? III. IV.

Grégarisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La science qui a pour objet l'étude des sociétés animales est la sociobiologie. Les niveaux d'organisation sociale[modifier | modifier le code] Dans la nature il existe plusieurs types de sociétés possédant des niveaux d'organisation variables. 1) La localisation spatiale : les individus coexistent sur un territoire limité ou se déplacent ensemble mais forment toujours un groupe relativement compact. 2) La cohésion des membres : les relations spatiales entre les individus possèdent une certaine constance et suivent des règles déterminées. 3) La spécialisation des individus : il peut exister une division des rôles des individus, certains étant spécialisés dans l'accomplissement de tâches spécifiques. L'eusocialité qui est le niveau supérieur d'organisation est caractérisée par : Niveaux d'organisation familiale[modifier | modifier le code] Niveau 1 : L'élevage de la progéniture[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code]

Que faire de la dette ? Un audit de la dette publique de la France Cette étude a été réalisée par un groupe de travail du Collectif pour un Audit citoyen de la dette publique. Elle se veut une contribution au nécessaire débat public sur des questions cruciales : d’où vient la dette ? A-t-elle été contractée dans l’intérêt général, ou bien au bénéfice de minorités déjà privilégiées ? Télécharger la version complète du rapport 59% de la dette publique proviennent des cadeaux fiscaux et des taux d’intérêt excessifs Tout se passe comme si la réduction des déficits et des dettes publiques était aujourd’hui l’objectif prioritaire de la politique économique menée en France comme dans la plupart des pays européens. Le discours dominant sur la montée de la dette publique fait comme si son origine était évidente: une croissance excessive des dépenses publiques. Mais ce discours ne résiste pas à l’examen des faits. L’impact combiné de l’effet boule de neige et des cadeaux fiscaux sur la dette publique est majeur : 53% du PIB (soit 1077 milliards €).

Santé sociale Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Dans une définition large de la notion du social, on peut l'entendre comme étant l'expression de l'existence de relations entre les vivants. Certains animaux non-humains, tels que la plupart des mammifères par exemple, sont qualifiés d'espèces sociales. Il en va de même pour certains insectes. En Droit, le terme social peut avoir une signification ambigüe : Tantôt il désigne ce qui se rapporte aux relations du travail (ex : le droit social)Tantôt il désigne ce qui se rapporte aux relations entre associés d'une même société ( ex: le mandat social) Social en tant que concept sociologique[modifier | modifier le code] Les conceptualisations sociologiques de ce que représente le social sont apparues avec la nécessité de définir l'objet de recherche de la sociologie. Critique du terme[modifier | modifier le code] Le terme est parfois critiqué pour être un terme sans signification et qui ne sert qu'à empêcher toute réflexion. Portail de la sociologie

Qu'est ce que c'est... Le Keynésianisme? | Tant qu'il y aura de l'argent... C’est quoi le Keynésianisme ? Un truc des années 30 ? La théorie d’un économiste ? Le programme économique du Front de Gauche ? Une tentative de sauver le capitalisme ? Mais avant tout, un rappel du contexte : La crise de 1929 mit le capitalisme à genoux. Puis, boostée par les commandes de l’Etat, l’industrie de l’armement « relança » le reste de l’économie. Après une guerre mondiale durant laquelle les gens eurent tout le loisir de s’entretuer suffisamment pour écouler un bon paquet des armes fabriquées, un semblant de « paix » fut restaurée (en réalité, le système capitaliste ne connut désormais qu’un état de guerre de basse intensité permanente…). Qui c’était, ce Keynes ? Keynes était un bourgeois anglais super flippé de la crise du capitalisme. Keynes, le MacGyver du capitalisme? Il fallait donc sortir le capitalisme des crises qui l’agitaient régulièrement, si on voulait qu’il ne soit pas renversé par les prolétaires. (On vous renvoie là-dessus à la notion crise.)

Banques éthiques, monnaies libres… et toi, tu fais quoi après la crise ? Pas besoin d'un plan de sauvetage à 140 milliards pour moraliser le capitalisme : monnaies libres, banques éthiques et autres outils existent pour donner un peu de sens à la finance. Doté de seulement deux banques éthiques, la France paie le prix d’une stratégie de concentration en géants mondiaux, pas très raccord avec les aspirations de moralisation du capitalisme. 5 millions d’euros de fonds propres, plus de 26 000 sociétaires / actionnaires… « D’un point de vue purement réglementaire, nous avons le droit d’être une banque de plein exercice », annonce Marc Favier, responsable du projet de développement et d’innovation de la banque éthique La Nef. Seulement voilà : la Banque de France ne veut pas. Partie de la loi de 1984, la concentration du secteur bancaire orchestré par la Banque de France a certes livré des mastodontes internationaux au secteur bancaire français, mais la prive aujourd’hui de tout réseau de banque éthique indépendant. La crise des grands condamne les petits

L’État livré aux financiers Votée il y a plus de quarante-et-un ans, la loi du 3 janvier 1973 sur la Banque de France, qui modifiait les statuts de la banque centrale et précisait les modalités de financement du gouvernement par cette dernière, continue d’alimenter de sa présence le débat public, alors même qu’elle n’est plus en vigueur depuis 1993, date à laquelle une nouvelle loi conférant notamment à la Banque de France son indépendance l’a rendue caduque. Par quel miracle expliquer ce phénomène ? Du fait de la contagion de la crise financière à l’économie réelle et, depuis au moins 2009, à sa mutation en une crise des dettes souveraines au sein de la zone euro, la loi de 1973 est parfois présentée, principalement à l’extrême droite et à l’extrême gauche de l’échiquier politique français, comme le point de départ de l’asservissement de l’État à la domination du capitalisme financier. La genèse de la loi de 1973 Il convient, en préambule, de poser une première question. Figure 1 Figure 2

Peut-on vivre en France sans compte en banque ? Aucune loi n'oblige les citoyens français à posséder un compte en banque. Pourtant, ils ne sont que moins de 1% de la population à ne pas être « bancarisés », selon une enquête du Credoc datant de fin 2009. Un chiffre si faible que les chercheurs admettent qu'il est difficile de l'interpréter : « Le nombre de ménages en situation de pauvreté n'ayant pas de compte de dépôt est trop faible pour analyser les raisons de non-possession. On peut cependant relever que les motifs liés à l'absence de besoin, ou au choix de ne pas avoir de compte de dépôt, sont plus souvent mentionnés. » Christian Cyril Ver Hulst, professeur agrégé de gestion, décrit les profils concernés : « C'est le cas de plusieurs millions d'enfants et d'adolescents français, voire d'adultes notamment en situation irrégulière du point de vue du titre de séjour. Un « droit au compte » que la Banque de France doit faire respecter C'est pourquoi un « droit au compte » a été institué.

Histoire de la pensée économique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'histoire de la pensée économique appartient à la fois au domaine de l'Histoire et à celui de l'économie. Elle s'attache à présenter et à comprendre l'évolution des formes et des contenus de la pensée économique. (voir aussi Histoire de la philosophie, Histoire des sciences) En tant que discipline historique, elle utilise la chronologie et « exige de constantes références à l'histoire générale et à l'histoire des faits économiques »[1]. En tant que discipline économique, elle ne peut s'affranchir « des auteurs eux-mêmes dont il faut connaitre les doctrines. (...) Or les économistes, depuis qu'il en existe se divisent en écoles qui se disputent et s'opposent sur les points les plus fondamentaux » [2]. Jusqu'au XVIe siècle, la pensée économique n'est pas formulée en tant que telle. Qu'est-ce que l'histoire de la pensée économique ? L'histoire de la pensée économique examine les grandes théories économiques de manière rétrospective. En 81 av.

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