le Ch teau de Puymartin - La fameuse l gende de la Dame Blanche - Sarlat - Dordogne - Perigord Noir Agir au Coeur de la Penne Dimanche 18 mars eu lieu la désormais traditionnelle « Fête des grands-mères » organisée par l’association Agir au cœur de , dans la salle chaque année la programmation a été d’une très grande qualité. Les artistes bénévoles qui se sont succédés sur scène ont régalé le public venu encore nombreux pour cette 4ème édition. Nicolas Laurent, un jeune talent de 12 ans venu d’Auriol, a véritablement enchanté la salle. Le public debout l’a applaudit sans interruption durant de longues minutes. Ensuite, Jeannine Biancotto, lauréate du concours des grand-mères en produit un sketch avec deux amis comédiens. Durant l’entracte, des gâteaux et boissons ont été vendus au profit du financement de des 26 et 27 mai prochain. Ce fût alors le tour de reggae d’oc, www.reggaedoc.fr, de « mettre le feu » à la salle en faisant se lever le plus grand nombre de participants pour une danse générale.
CHÂTEAU DE SAINT VIDAL, HAUTE-LOIRE, AUVERGNE ■ Château du Moyen âge. Maison forte du XIIIème siècle transformée au XVIème siècle en une imposante forteresse par le Baron de Saint Vidal. Antoine II de la Tour de Saint-Vidal (Gouverneur du Velay et du Gévaudan) le fit adapter à l’artillerie au XVIème siècle. Il fit ajouter un donjon aux 3 tours existantes et construire une première enceinte. Tombé en désaffection, mal entretenu, le château a été sauvé grâce à ses nouveaux propriétaires qui, depuis 1930, n’a de cesse de le restaurer, de l’embellir et de le faire visiter pour partager ce remarquable témoignage du patrimoine historique. - un portail sculpté en pierres - des fenêtres de la Renaissance - des plafonds à la Française - une galerie voûtée d’ogives (arc en diagonale sous une voûte pour la renforcer) bordant une cour intérieure - des meurtrières - des canonnières - des bretèches (sorte de loggia servant de défense)… N 102, à 12 KM du Puy-en-Velay, direction --► Clermont-Ferrand
Association des Châteaux forts et des ville fortifiées d'Alsace Château fort Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Ne doit pas être confondu avec Château. Un château fort (du latin castellum, d'où le terme de castellologie, l'étude des châteaux) est une structure fortifiée essentiellement construite et habitée par la noblesse au Moyen Âge en Europe, au Moyen-Orient et en Asie. Bien que la poudre à canon ait été introduite en Europe au XIVe siècle, elle n'a affecté significativement la construction du château fort qu'au XVe siècle lorsque l'artillerie est devenue suffisamment puissante pour détruire leurs murs en pierre. Ils ont continué à être construits jusqu'au XVIe siècle, mais les nouvelles techniques pour faire face aux tirs de canon ont rendu ces places trop inconfortables à vivre. Description Histoire Origine Castrum romain à Ambleside Développement La diffusion des châteaux forts vers l’an 1000 signale qu’ils sont liés à un type particulier de société, dite « féodale ». Tous les possesseurs de château n’ont pas la même autorité seigneuriale.
Evolution de la construction d'un château-fort Paradoxalement, les châteaux n'ont été qualifiés de "forts" qu'au XIXe : cela allait de soi à l'époque ! Les fonctions du château-fort Le château-fort cumule plusieurs fonctions : c'est un lieu d'affirmation du pouvoir pour le seigneur : il a une fonction ostentatoire car plus le bâtiment est imposant et plus il est doté de moyens de défenses exagérés dans leur forme ou leur nombre, plus le seigneur impressionne et affirme sa puissance. Il assoit ainsi son rang notamment face aux châtelains voisins ou aux paysans qui en dépendent. Les évolutions dans le temps Fin du XII et XIIIe siècle : c'est l'époque des forteresses, notamment sous l'impulsion de Philippe Auguste et de Richard Coeur de Lion. Les éléments caractéristiques du château-fort Le grand principe de défense réside dans l'échelonnement des défenses, pour prolonger la résistance si un premier ouvrage cède. Les châteaux-forts aujourd'hui Les châteaux-forts que l'on voit aujourd'hui, vieux parfois de près de 1000 ans, sont :
Le château de Bressuire - Histoire et Patrimoine du Bressuirais Sur la commune de Terves à 4 km au sud-ouest de Bressuire, sur la route de Clazay, se situent les ruines du manoir du Petit-Puy et de sa chapelle « veuve de sa toiture ». A mi pente d’une petite colline, il reste peu de choses de ce logis. Le Petit Puy s’appelait au 14ème siècle, le Petit « Puygnebelin », sans doute pour le distinguer du Puy-Belin, tout proche. Le Petit-Puy est cité pour la première fois en 1383 dans un aveu rendu à la Baronnie de Bressuire dont il relevait. Du manoir lui-même, il reste peu de choses , mais on peut encore à peu prés se rendre compte de l’étendue de ses dépendances. La chapelle est sans conteste l’édifice le plus intéressant et est inscrit depuis le 29 décembre 1941 à l’inventaire supplémentaire. Elle s’ouvre entre deux colonnettes finement torsadées et terminées en pinacle, sous un gable en accolade. La voûte d’ogives est le plus bel ornement de la nef qui, sur deux travées, déploie ses nervures multiples retombant sur des piliers sans chapiteaux.
Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle/Architecture militaire architecture militaire. Lorsque les barbares firent irruption dans les Gaules, beaucoup de villes possédaient encore leurs fortifications gallo-romaines ; celles qui n’en étaient point pourvues se hâtèrent d’en élever avec les débris des monuments civils. Ces enceintes, successivement forcées et réparées, furent longtemps les seules défenses des cités, et il est probable qu’elles n’étaient point soumises à des dispositions régulières et systématiques, mais qu’elles étaient construites fort diversement, suivant la nature des lieux, des matériaux, ou d’après certaines traditions locales que nous ne pouvons apprécier aujourd’hui, car de ces enceintes il ne nous reste que des débris, des soubassements modifiés par des adjonctions successives. Les bas-reliefs de la colonne Trajane présentent de nombreux exemples de ces sortes de constructions (3). les deux latérales étaient désignées ainsi : principalis dextra et principalis sinistra.
Architecture militaire La fortification (du latin fortis, fort, et facere, faire) est l'art militaire de renforcer une position ou un lieu contre une attaque. Principes Renforcement du rôle d'obstacle de la fortification par un abbatis. La fortification a deux fonctions principales : l'obstacle en retardant l'attaquant dans sa progression vers l'affrontement rapproché en et l'obligeant à rester plus longtemps sous le feu des défenseursla protection en mettant à l'abri des attaques de l'ennemi les troupes chargées de défendre les obstacles. Elle peut cependant avoir d'autres fonctions comme une fonction symbolique, concrétisant un pouvoir ou une propriété. Classification Il est possible de qualifier les fortifications de bien des manières. Permanence Fortification de campagne. Taille et l'objectif Époque Histoire Fortifications primitives Le lieu protégé par ce type de fortification précoce est généralement le village où vivent les défenseurs et où ils stockent leurs réserves et richesses. L'apparition de la maçonnerie
bretagne chateau de fougeres Chateau de Fougéres- Bretagne Publié le 30/11/2009 à 12:11 par lusile17 Chateau de Fougéres Fin du Moyen Age, une fortification en bois prend place sur une crete rocheuse dominant la vallee du Nancon. Le premier chateau de Fougeres est ne. A partir du XIIeme siecle, la ville s'agrandit peu a peu, divisee en ville basse (quartier St Sulpice) et ville haute (quartier St Leonard). Les remparts sont très bien conservés et forment trois enceintes,. Le gros-oeuvre est en granite et en schiste monté en pierre de taille et appareil mixte. Les tours d' entrée et la tour de Coigny datent de la fin du XIIe siècle. Au XIVe siècle, le logis a été construit ainsi que la tour Mélusine et la tour du Gobelin a été remaniée. Au XVe siècle les tours d'Amboise puis les tours Raoul et Surienne complètèrent les fortifications. À l'entrée, on trouve un moulin à eau triple dont une roue fonctionne encore. Publié le 29/11/2009 à 21:36 par lusile17 Chateau de Fougères Roues à eau du château Une roue fonctionne encore.
La cité médiévale La cité médiévale Les remparts L’enceinte fortifiée de Guérande est l’une des mieux conservées de France et la plus complète de Bretagne. Sur la base de vestiges plus anciens, l’enceinte urbaine date essentiellement du 15e siècle. La porte Saint-Michel Construite vers 1450, elle forme avec ses deux tours un logis-châtelet, siège et symbole du pouvoir politique. La collégiale Saint-Aubin De l’église romane, incendiée lors du sac de Guérande (1342), subsistent la nef et ses piliers dont certains sont ornés de chapiteaux historiés. (document à télécharger - pdf) La chapelle Notre-Dame-la-Blanche Siège d’une paroisse urbaine, elle est le plus ancien édifice intra muros de Guérande. L’hôtel-Dieu Saint-Jean Sa date de fondation est inconnue. (document à télécharger - pdf) Extra-Muros Le manoir de la Porte-Calon (Faubourg Saint-Michel) Le corps de logis date du 15e siècle ou du début du 16e siècle. Le couvent des Ursulines, Aussi nommé Petit Séminaire, il est situé dans le Faubourg Saint-Michel.
Château de Tonquédec Bretagne > HISTOIRE / HISTORY C’est au Sud d’une ancienne motte féodale placée à l’extrémité de l’éperon rocheux qui domine la vallée du Léguer que fut construit le château des sires de Coëtmen, à Tonquédec. Possédé par un certain Prigent, seigneur de ce lieu dès la fin du XIIème siècle, il passe à la faveur du mariage de sa fille dans la famille de Coëtmen qui en restera propriétaire jusqu’au début du XVIème siècle. Durant les guerres de succession qui ensanglantent le duché de Bretagne, le château primitif en pierre est en grande partie détruit en 1394. À partir de 1406 et après s’être rangé aux cotés du duc de Bretagne, Roland III de Coëtmen entreprend la reconstruction du logis Nord et de son aile Est. Tout au long du XVème siècle, ses successeurs s’attacheront à l’agrandir, le compléter, le moderniser et à l’adapter au développement de l’artillerie. Dans la première moitié du XVIIème siècle, après le démantèlement de l’édifice sur ordre de Richelieu, le château est vendu à la famille du Quengo.
Château de Clisson Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le château de Clisson se situe dans la ville de Clisson (France), sur un promontoire granitique dominant la rive gauche de la Sèvre nantaise. Édifié par la puissante famille de Clisson du XIIIe au XVe siècle, ce château fort devient un point stratégique et défensif sur les Marches de Bretagne protégeant la frontière du duché de Bretagne. Le château n'est alors qu'une enceinte polygonale agrémentée de tours défensives. Historique[modifier | modifier le code] Moyen Âge[modifier | modifier le code] La majeure partie du château actuel date du XIIIe siècle. Après 1420, Marguerite de Clisson, fille d'Olivier V et comtesse de Penthièvre, accusée de trahison envers le duc de Bretagne Jean V est dépossédée de ses biens : le château devient propriété du duc de Bretagne et apanage de Richard d'Étampes le 29 septembre 1420[8]. Époque moderne[modifier | modifier le code] Extension de la forteresse par François II[modifier | modifier le code]
Remparts de Vitré Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Plan détaillé[modifier | modifier le code] Histoire[modifier | modifier le code] L'enceinte d'André III[modifier | modifier le code] André III, baron de Vitré, fait construire les remparts de Vitré. Cette seule et unique enceinte urbaine a été construite dans les années 1220 à 1240 sur les contours de l'éperon rocheux où est construit le château et le Vieil Bourg, noyau urbain en développement autour de l'Église Notre-Dame. Les modifications du XVe siècle[modifier | modifier le code] Référence[modifier | modifier le code] Daniel Pichot, Valérie Lagier et Gwenolé Allain, Vitré : Histoire et Patrimoine d'une Ville, Vitré, Somogy, Éditions d'Art, avril 2009, 295 p. Articles connexes[modifier | modifier le code]