Junior Connect' 2017 : les jeunes ont toujours une vie derrière les écrans ! Chiffres clés de l’étude : ► 62 % des jeunes de 1 à 19 ans ont lu au moins un titre de presse jeunesse au cours de sa dernière période de parution. ► 67 % des enfants et adolescents choisissent leurs livres eux-mêmes, pour une lecture moyenne de 9 livres par mois. ► 81 % des 13-19 ans possèdent leur propre smartphone (vs. 77 % l’année dernière). ► Les 1-6 ans passent en moyenne 4H37 sur internet par semaine (contre 2H10 en 2012). ► 79 % des 13-19 ans sont inscrits sur Youtube (vs 45 % en 2016), ce qui en fait le réseau social le plus fréquenté par cette tranche d’âge, suivi de Facebook (77 %). ► 36 % des 7-12 ans et 34 % des 13-19 ans ont leur propre tablette. ► Plus d’un foyer avec enfants sur deux (59 % vs 57 % l’année dernière) est maintenant équipé d’une tablette. ► 94 % des parents prennent en compte l’avis de leurs enfants dans au moins une catégorie de consommation. Lorsqu’ils sont seuls, la lecture de livres ou de magazines constitue l’activité principale de 76 % des moins de 20 ans.
Les nouvelles technologies se développent dans le monde mais les inégalités demeurent L’accès aux nouvelles technologies progresse partout dans le monde. Cette évolution est principalement marquée en matière de téléphonie mobile : les abonnements sont passés de 33,9 % en 2005 à 96,2 % en 2013. L’accès à Internet s’est également développé, de 15,8 % en 2005 à 38,8 % en 2013. Source : Union internationale des télécommunications (UIT) L’accès au téléphone mobile L’accès au téléphone mobile a très nettement progressé partout dans le monde entre 2005 et 2013 selon le rapport 2013 de l’Union internationale des télécommunications (UIT) [1] : le nombre d’abonnements est passé en moyenne de 33,9 à 96,2 pour 100 personnes. Malgré cette forte progression en matière d’équipement, les écarts demeurent. On peut discuter de l’intérêt de l’accès de tous au téléphone, et en particulier au mobile, mais cet outil de communication élargit le réseau social, permet l’accès à différents services et une circulation plus rapide de l’information. L’accès à Internet Photo / © momius - Fotolia.com
Enfants : trop d'écrans, trop tôt ? Noël approche... Les fabricants de tablettes, smartphones et ordinateurs ciblent désormais les enfants dès leur plus jeune âge. Mais l’exposition aux écrans avant 3 ans n’est-elle pas nocive pour un cerveau en construction ? Et ne parasite-t-elle pas le développement du lien à l’autre ? Ce 25 décembre, des bébés par milliers hurleront à l’unisson lorsqu’ils découvriront leurs cadeaux de Noël : un trotteur parlant pour apprendre à marcher, des voitures Tut Tut Bolides ou l’indémodable Sophie la girafe — tous trois en tête des ventes au moment où nous écrivons (1) . Le drame. Nous plaisantons, bien entendu.
En 2017, la jeunesse voit rose «Thnk pnk» (Pns rs) tt l mt d’rdr vtmn d’dry Hpbrn dns Drôl d frmss d Stnly Dnn (1957). L gnrtn Y, cll ds mns d 35 ns, dts «mllnnls» n ngls, rt dpt ctt nn l rs pâl, trpcl t rtr. N rs bnbn, n fchs : chz l nncr Pntn, l tnt d prntmps 2017 s’ppll Pl Dgwd (crnllr pâl).
Jeunes, équipements numériques et modes de connexion Mis en ligne le mardi 20 décembre 2016. Le Crédoc vient de publier son Baromètre numérique 2016, sur "La diffusion et l’usage des technologies de l’information dans la société française" qui rend compte d’une enquête [1] réalisée en juin 2016. Dans un premier article, nous avons fait état de quelques enseignements significatifs en matière d’équipement et d’usages pour l’ensemble de l’échantillon interrogé [2]. Ce deuxième article aborde les spécificités concernant les 12-17 ans et les 18-24 ans en matière d’équipement et de modes de connexion. L’enquête montre le rôle déterminant de l’âge mais il existe néanmoins d’autres caractéristiques sociodémographiques qui interviennent. En matière d’équipement et de modes de connexion, l’âge est plus particulièrement un facteur déterminant dans les domaines suivants : le taux d’équipement en smartphones : 85% des 12-17 ans, 95% des 18-25 ans (65% pour l’ensemble de la population) Différents modes de connexion à internet en fonction de l’âge @gmarquie
Les jeunes et la technologie Si je devais deviner ce que vous avez trouvé sous le sapin cette année, je dirais une tablette, un smartphone ou un autre appareil électronique, et j’aurais sans doute peu de chance de me tromper. La technologie domine notre vie quotidienne, c’est un fait. Et ce phénomène va encore s’amplifier dans les années à venir, tant dans notre vie privée que professionnelle. Et pour nos jeunes, le monde de la technologie est-il merveilleux ? Aujourd’hui, même les télévisions ou les robots ménagers sont devenus de vrais ordinateurs. Ce qui n’est d’ailleurs pas toujours facile pour les plus âgés d’entre nous. Dans cette étude, nous apprenons que deux tiers des jeunes estiment que les gens communiquent moins depuis l’avènement des nouvelles technologies. Les jeunes attendent beaucoup des nouvelles technologies en tant que solutions aux grands problèmes de société. D’autre part, la moitié des jeunes sont confiants dans la capacité des technologies à résoudre les principaux problèmes de société.
Que regardent nos enfants ? Cette grande enquête baptisée « Kids & Screens : usages et comportements de la génération vidéo » mélangeant méthodologie d’études quali et quanti* a permis de mettre en lumière plusieurs grands enseignements sur la consommation vidéo des plus jeunes. « Cette étude nous a aidé à mieux comprendre les modes de consommation des écrans par les enfants et adolescents et, pour la première fois, de mettre en lumière les duplications entre le live et le on demand » commente Matthieu Guillaume, directeur de clientèle Ipsos Connect. 73% des enfants ont aujourd’hui au moins un écran perso (60% des enfants de 11 à 14 ans étant même équipés d’un smartphone). Fidélité à l’écran certes qui n’exclue cependant pas les autres écrans : 58% des enfants utilisent un autre écran en regardant la télévision. Naturellement, le LIVE booste le ON DEMAND. 79% des enfants consomment aujourd’hui LIVE et ON DEMAND. La famille s’adapte aux choix des enfants dont le trio gagnant reste : dessins animés, films et séries.
La deuxième jeunesse de l’affiliation Face à l’éclosion rapide de multiples canaux d’acquisition, le marketing d’affiliation est trop souvent perçu comme une pratique une peu datée qui se renouvelle peu. Pourtant si elle existe depuis les débuts du e-commerce, il doit y avoir une raison. L’hiver vient. Bon, Robert Glazer, ça ne parle à pas grand monde, mais voilà un monsieur qui a fait carrière dans le marketing d’affiliation outre-Atlantique et qui dresse un portrait en trois temps fort instructif de cet univers. 1°) L’affiliation n’est pas morte… Après plusieurs années de stagnation, le marché de l'affiliation aux Etats-Unis connaît depuis trois ans une forte croissance. 2°) ...elle serait même en bonne santé… Le cabinet Forrester Consulting prévoit pour les années à venir, une poursuite de la croissance d’environ 10% par an pour atteindre près de 7 Mds US$ à l'horizon 2020. 3°) …son écosystème est florissant… Pour Robert Glazer, les raisons de cette évolution très favorable sont de plusieurs ordres.
Culture numérique et jeunesse inculte ! Une « Place de la toile » enregistrée depuis les "États généraux de la République", organisé par Libération à Grenoble, dans le beau bâtiment de la MC2, des Etats généraux consacrés à la jeunesse ("Jeunes, débattez-vous !") et aux questions qui se posent à la jeunesse dans des domaines aussi variés que le travail, l'’égalité homme-femme, ou le rapport à l’'Europe. Nous est échue la question de la culture, et de la culture numérique en particulier (avec une sorte de premier volet ici : "Comment développer et transmettre une culture numérique?"). Marc Le Glatin Professeur associé à l’Institut d’études européennes de l’Université de Paris 8-Saint-Denis (co-responsable du Master 2 Politiques et gestion de la culture en Europe) et Directeur du Théâtre de Chelles. Olivier Tesquet Journaliste à Télérama, rubrique Médias. Émission enregistrée en public le vendredi 1er février
Les adolescents, internet et les nouvelles technologies : un nouveau pays des merveilles ? Introduction Le degré auquel les nouvelles technologies vont influencer notre existence dans le futur est encore incertain, mais il est d’ores et déjà possible de tirer quelques leçons des tendances actuellement discernables. Dans la brève revue qui suit, l’impact potentiel des nouvelles technologies dans le domaine de l’éducation et de la santé sera d’abord discuté. Dans un deuxième temps, nous nous interrogerons sur les risques liés à l’utilisation d’internet par les adolescents. Les adolescents de toutes les régions du monde ont largement intégré ces nouvelles technologies dans leur vie courante. Enfin, l’une des difficultés pour les adultes confrontés à ces nouvelles technologies est de suivre le rythme effréné des innovations dans ce domaine. Impact éducatif des nouvelles technologies Nouvelles technologies comme source d’informations sur la santé Les meilleurs sites pour les jeunes sont ceux qui offrent une possibilité d’interaction. Cyberdépendance Quelle prévention ?
Serge Tisseron Posté par Serge TISSERON le 22 janvier 2012. Les écrans sont d’extraordinaires supports de divertissement et d’éducation... mais à condition de les découvrir au bon moment et dans de bonnes conditions. C’est pourquoi j’ai proposé en 2008 la règle « 3-6-9-12 »pour guider les parents sur ce chemin. Or depuis 2011, cette règle est relayée par l’AFPA qui la diffuse largement. C’est donc une étape importante dans notre effort de sensibiliser les parents à la nécessité de prévenir les abus et les mésusages des écrans. Mais que signifie au juste la règle « 3-6-9-12 » ? 1. 2. 3. 4. 5. Enfin, si la règle « 3-6-9-12 » est nécessaire, elle n’est pas suffisante à elle seule. Lien vers les recommandations complètes de l’AFPA :
A chaque catégorie de jeunes sa stratégie de communication Segmenter le marché des jeunes est simple et complexe à la fois. Simple lorsqu’il s’agit de segmenter les jeunes selon l’âge, un critère objectif supposant des comportements et des pratiques homogènes au sein de la même tranche d’âge. Cependant, la complexité de ce type de segmentation réside dans le fait que, lorsque l’on regarde de près les comportements des jeunes appartenant à la même catégorie d’âge, ils sont pour la plupart hétérogènes et ne permettent pas la mise en place d’une offre ou d’une politique de marketing et de communication efficace. En s’appuyant sur les critères traditionnels tels que l’âge ou la catégorie socioprofessionnelle (CSP) pour segmenter le marché des jeunes, les marques et les annonceurs risquent une « myopie segmentationnelle » qui se traduit par le questionnement suivant : de quel jeune parle-t-on ? Les codes des « youth cultures » de consommation La relation des marques avec leurs jeunes clients Les caractéristiques de chaque segmenculture