Les principales ressources des 18-24 ans
Plus de la moitié des 18-24 ans vivent chez leurs parents Au dernier trimestre de 2014, 57 % des jeunes âgés de 18 à 24 ans résident de façon permanente chez leurs parents, proportion parmi les plus faibles d’Europe (bibliographie). Selon l’enquête nationale sur les ressources des jeunes (ENRJ ; sources), un quart des 18-24 ans résident en permanence dans leur propre logement, et près d’un jeune adulte sur cinq habite à la fois chez ses parents et dans un autre logement (figure 1). La cohabitation avec les parents est liée à leur situation d’activité : la non-cohabitation est plus fréquente (36 %) chez les jeunes adultes déclarant occuper un emploi. La semi-cohabitation est plus répandue (32 %) chez ceux qui suivent des études. La cohabitation concerne les trois quarts des jeunes adultes au chômage ou inactifs sortis du système éducatif (soit 21 % des 18-24 ans).
Les jeunes du XXIe siècle changent le visage de la société de consommation
Voyages, sorties, expériences : la génération des "millennials" privilégie les services à l'achat de biens matériels et commence à modifier visiblement l'économie. © da-kuk/iStock On sait depuis quelques années maintenant que le portrait-robot économique du millennial, ce jeune né entre les années 1980 et l'an 2000, n'a strictement rien à voir avec celui de ses aînés. Enfant de la crise financière, nourri au lait amer de la désillusion, le millennial est en train de se bâtir un système de valeurs à l'opposé de celui qui faisait jusqu'au XXIe siècle figure de dogme. "Choose life.
Introduction
Comprendre l’activisme de ces jeunes exige de dépasser deux clivages qui marquent encore trop souvent les analyses de la participation sociale et politique : la séparation entre la vie privée et l’engagement public et la dichotomie entre le monde « virtuel » d’internet et des réseaux sociaux d’un côté et une vie et une politique « réelles » de l’autre. C’est dans l’articulation et la fertilisation réciproque entre la vie quotidienne et le politique, entre le monde d’Internet et celui des places publiques, entre les réseaux sociaux et la convivialité des espaces militants qu’émergent des subjectivités politiques, de nouvelles formes de citoyenneté et les acteurs des mouvements sociaux d’aujourd’hui. Devenir acteur de sa vie et de son monde Émeline de Bouver (p. 91) analyse l’étroite articulation entre la construction de soi et l’engagement dans des mouvements écologistes et pour la simplicité volontaire, où discours et pratiques existentiels et militants se conjuguent.
Les jeunes d'aujourd'hui sont paresseux, intolérants et égoïstes
Une enquête Ispos pour Le Monde*, publiée mercredi, dresse un portrait lugubre de la jeunesse d’aujourd’hui. Manifestement, la France n’aime pas ses jeunes. Selon l’étude, ils seraient égoïstes (63%), paresseux (53%), intolérants (53%) et pas assez engagés politiquement (64%). Plus difficile d’être un jeune aujourd’hui
La France sacrifie-t-elle sa jeunesse
Dans les manifestations contre la loi travail qui ont émaillé le printemps 2016 en France, nombre de jeunes actifs et d’étudiants ont exprimé leur colère face à ce qu’ils considéraient comme une attaque de plus portée à l’encontre de leur génération. Pendant la même période et à l’instar des « Indignés » espagnols, le mouvement Nuit debout a amené chaque soir et pendant plusieurs semaines des centaines de jeunes hommes et de jeunes femmes à se regrouper sur la place de la République à Paris pour réfléchir à la manière de construire une autre société. Depuis plusieurs années, la forte présence des jeunes dans les mouvements sociaux serait ainsi la conséquence des nombreuses difficultés auxquelles se heurtent les jeunes générations en France. Pour certains, la France sacrifierait sa jeunesse, en raison de politiques publiques et de réformes qui avantageraient les générations plus âgées. Les jeunes générations victimes d’une « double peine » ? « Gérontoclassie »
Génération Quoi: une jeunesse en crise(s)
"Jeunesse désabusée, jeunesse individualiste, jeunesse incontrôlable". Autant de clichés qui pèsent sur la génération Y. Mais sont-ils vérifiés ? L’enquête "Génération Quoi" passe ces stéréotypes au peigne fin. D’ampleur européenne, le sondage interroge les jeunes de 18 à 34 ans sur des questions aussi diversifiées que l’emploi, l’école, l’amour, l’avenir ou encore les relations familiales. En Belgique francophone, les jeunes ont massivement répondu à l’appel.
Un métier qui a du sens, premier critère de choix pour les jeunes
Un sondage OpinionWay- « 20 Minutes » pour l’Union des employeurs de l’économie sociale et solidaire (UDES) relève, par ailleurs, le pessimisme des 18-30 ans sur l’état du monde de demain. S’ils avaient le choix entre deux emplois, sept jeunes sur dix privilégieraient celui « qui a du sens », selon une enquête réalisée par l’institut OpinionWay et 20 Minutes pour l’Union des employeurs de l’économie sociale et solidaire (UDES), publié jeudi 7 décembre. Priés de citer quatre critères, les 18-30 ans sondés ont aussi largement évoqué la rémunération (62 %), la conciliation entre vie privée et vie professionnelle (58 %), la situation géographique (42 %), le cadre de travail (32 %) et les valeurs de l’entreprise (31 %). Lire aussi : « Trouver du sens dans son travail n’a rien d’une utopie » Lire aussi : « Le hipster pâtissier est aujourd’hui plus valorisé que le cadre sup’ de la Défense »
Frustrée, la jeunesse française rêve d’en découdre
L’enquête « Génération quoi ? », menée auprès des 18-34 ans, dessine le portrait d’une jeunesse éduquée, qui enrage de voir les portes se fermer devant elle. LE MONDE | 25.02.2014 à 12h56 • Mis à jour le 25.02.2014 à 13h28 | Par Pascale Krémer L'autoportrait est sombre.
Dans leur travail, les jeunes attendent plus de reconnaissance de leur patron
Les jeunes sont très attachés à la valeur travail et estiment qu'elle contribue à leur épanouissement personnel. Voilà une bonne nouvelle: les 18-35 ans accordent une grande place à la valeur «travail». Ils y trouvent une source d'épanouissement personnel et même de bonheur. C'est un sondage Ipsos, réalisé pour le compte de la société Doing Good Doing Well (DGDW), spécialiste en responsabilité sociale, qui l'affirme: contrairement à l'image qu'ils véhiculent souvent, les jeunes Français ne sont donc pas ces êtres hyper-connectés, coupés du monde, égocentriques et détachés de tout. Huit sur dix estiment «qu'être épanouis professionnellement permet d'être heureux dans sa vie privée» ou que «la réussite professionnelle est essentielle dans leur vie». Plus de six sur dix affirment en outre «que lorsqu'ils sont au travail, ils ont le sentiment d'exister».
Les jeunes : leurs vies, leurs rêves...
La nouvelle étude d'Inter°View Innovative(1) décrypte les 18-25 ans pour répondre aux objectifs suivants : les 18-25 ans rêvent-ils encore et si oui, à quoi ? Quels sont leurs moteurs, en fonction de leur profil ? Que rejettent-ils ? Sur quels critères font-ils des choix ? Quelles marques plébiscitent-ils et pourquoi ? Et plus stratégiquement, ces consommateurs de demain, qu’attendent-ils des marques ?
Jeunes diplômés en galère : "T'as toujours pas trouvé de travail ?"
Le webdoc "Bac plus dalle" (www.bacplusquedalle.com) Les difficultés d'insertion des jeunes diplômés, l'association de parrainage rennaise Tandem les connait bien. Tandem propose à chaque demandeur d'emploi d'être suivi par un "parrain", un professionnel qui peut aider, conseiller et surtout, encourager !