background preloader

Francois Hollande et la dette publique ! Accablant ! - une vidéo Actu et Politique

Francois Hollande et la dette publique ! Accablant ! - une vidéo Actu et Politique

Votre argent ne vous appartient plus ! Une situation excessivement grave Plusieurs lecteurs viennent de nous confirmer des faits extraordinaires qui se sont déroulés ces dix derniers jours. Vous savez tous que le retrait par carte bancaire a été limité cet été. C’est ainsi que certains clients qui pouvaient retirer jusqu’à 2700 euros par semaine au DAB (distributeur automatique de banque) avec une carte haut de gamme sont désormais limités à la moitié ! Cependant ces dix derniers jours, plusieurs lecteurs nous racontent leur mésaventure. Pris de panique, le client a ouvert cinq comptes bancaires dans la même banque avec cinq cartes bancaires haut de gamme. Le second client a réussi à retirer 20 000 euros il y a dix jours environ dans une banque différente, cotée également. Sauf erreur de notre part, Nicolas Sarkozy n’a même pas parlé de ce fond lors de son discours et il est hors de question de nationaliser. Ouf Super Mario arrive ! C’est clair, votre argent ne vous appartient plus ! Rien ne va plus, faites vos jeux ! Like this: J'aime chargement…

les raisons de la dette 6 idées reçues sur la dette publique Le Collectif pour un audit citoyen de la dette publique cherche à explorer, développer et expliquer les enjeux révélés par la crise actuelle. Avec une certitude : il existe des solutions progressistes à la crise de la dette, il faut lutter contre la résignation, les imposer dans le débat public (disponible en 4 pages A4 PDF). Il nous faut dans un premier temps dénoncer la supercherie du discours dominant sur la dette, qui voudrait nous faire croire qu’il n’y a pas d’alternative à promettre «le sang et les larmes» aux peuples… pour mieux assurer les profits des banques. «La dette est la conséquence d’une explosion des dépenses publiques» «Nous vivons au-dessus de nos moyens» «Il faut rassurer les marchés financiers» «Il faut imposer la règle d’or, il faut imposer l’austérité…» Vraiment ? Ce document a vocation à prendre à contre-pied ces idées reçues, rabachées à longueur de temps dans les radios et télévisions. C’est faux. La France serait sur le déclin. C’est faux !

L’ère autoritaire Le G20 s'en remet aux responsables de la crise Communiqué du 04/11/2011 On le savait illégitime et inefficace. Le G20 réuni à Cannes a aujourd'hui également prouvé qu'il était capable du plus grand cynisme. Les chefs d'Etats du G20 ont renoué avec leurs promesses de pacotille. Depuis deux ans, le G20 promet de réguler les paradis fiscaux. Pire, au lieu de lutter contre la crise, le G20 l'aggrave. Le FMI a fait la démonstration de l'absurdité de sa politique en Grèce. Et alors que la finance est à l'origine de la crise, le G20 continue son entreprise de blanchiment des spéculateurs et des banquiers voyous. Autant confier la lutte contre la drogue à Pablo Escobar. Dans cette note, je pose un premier bilan de l’incroyable affaire du référendum en Grèce. Merci à Nicolas Bonnet pour sa série de photos intitulée Carnet de voyage au Guatemala… En Grèce, un nouveau protectorat est commencé. Deux mauvais coups en un de la part de ce néant ambulant du socialisme mondial. ?

Le paradoxe du gruyère et le courage de la serpillère C’est encore une chronique de l’évêque du néolibéralisme de BFM TV, j’ai nommé M. Nicolas Doze, qui a déclenché chez moi cette nouvelle crise de "merde-mais-quel-tissus-de-conneries-faut-que-je-démonte-ce-truc-sur-mon-blog" (sorte d’urticaire fulgurant, localisé au niveau du cortex et qui ne peut se soigner qu’en grattant les touches de mon clavier). Faut dire que je cherche les emmerdes à écouter de temps en temps cette chaine de damnés. Malheureusement (ou heureusement pour vous ;-)), je n’arrive pas à retrouver la vidéo de cette prestation précise dans le bréviaire des sermons quotidiens de ce monsieur. Pour tenter de nous hisser à la hauteur himalayenne de la science de ce dévot aux chevilles enflées, tentons d’étudier ce discours convenu à l’aide d’un outil mathématique de base, la logique, et plus précisément, la logique des prédicats. Enfumage et rigueur inéluctable Je résume son propos. Syllogisme n°1 Syllogisme n°2 Conclusion générale Oui, mais. Mais imaginons. Bon, là c’est gros.

La construction politique du marché de la dette publique Lundi 3 octobre 2011 1 03 /10 /Oct /2011 09:15 La question du statut des banques centrales n’est jamais évoquée dans le grand débat concernant la crise financière. Il faut pourtant rappeler, pour ne prendre que l’exemple français, que la banque de France, après avoir été nationalisée au lendemain de la guerre, fût entièrement soumise au Trésor jusqu’à la loi du 3 janvier 1973, loi qui devait instaurer une stricte séparation et surtout une indépendance complète par rapport à l’exécutif. Texte qui devait être confirmé et durci dans le cadre du traité de Lisbonne (article 123). S’affranchir de la dure loi d’airain de la monnaie De ce point de vue, l’indépendance aujourd’hui partout constatée des banques centrales, fût un cruel retour en arrière vers l’aliénation monétaire : l’inflation, pourtant disparue depuis longtemps – les années 60 qui précèdent l’indépendance furent beaucoup plus sages que celles qui suivirent - faisant figure de diable pour les tenants de cette régression.

Le guide du voyageur de la crise de l’euro Et si la crise de l’euro n’était qu’un test grandeur nature, élaboré par un super-ordinateur gouvernant la planète ? Le comique berlinois Horst Evers applique à la situation actuelle les règles de l’univers parallèle imaginé par l'écrivain Douglas Adams. Et l’Humanité ne sort pas victorieuse de l’épreuve. Dans Le guide du voyageur galactique, Douglas Adams représente la Terre comme une sorte de super-ordinateur conçu par une intelligence supérieure pour élucider les questionnements éternels de l’univers. Si l’hypothèse de Douglas Adams était juste, à savoir que c’est cela la raison d’être profonde de l’existence de l’Homme, notre gestion de la crise de l’euro nous renvoie sans doute dans les profondeurs du classement interplanétaire en matière d’intelligence. Depuis plusieurs mois maintenant, la zone euro repasse par les mêmes phases de ce programme expérimental, chaque fois plus rapidement et chaque fois plus paniquée. Sept phases immuables Comme un hamster dans sa roue

Anatomo-pathologie de la Dette Selon les calculs d’A-J Holbecq 1 « les soldes primaires (sans intérêts) des budgets des Administrations publiques sont, en euros constants à la valeur de 2010, sensiblement en équilibre moyen sur la période 1980-2008. Or les déficits actuels des budgets des Administrations publiques sont dus aux intérêts qu’il a fallu payer et qui représentent maintenant en France le second poste budgétaire après l’enseignement. Fin 1979, la dette, déjà injustifiable, atteignait 243 Md€ (21% du Pib) ; décembre 2010, la dette s’établit à 1591 Md€ soit 82% du Pib ! Ajoutons que la dette publique désigne l’ensemble des dettes contractées par l’Administration française auprès de prêteurs privés français ou non, mais qu’en réalité cette dette avouée masque les engagements hors bilan. Une dette irremboursable La chasse aux banksters et à ceux qui les servent est ouverte ! Par deux fois, les É-U ont refusé de payer une dette déclarée « détestable », à Cuba et en Irak.

La dette publique en France et en Europe Tous les pays européens se trouvent confrontés au problème de la dette, lequel affecte durablement les finances publiques. La France, cinquième puissance du monde, n’échappe pas non plus à la crise, qui fait le bonheur des banques privées. Aucune nation européenne n’est épargnée par le problème de la dette publique, même si la gravité de la crise est différente d’une capitale à l’autre. D’un côté se trouvent les « bons élèves » tels que la Bulgarie, la Roumanie, la République tchèque, la Pologne, la Slovaquie, accompagnés des pays baltes et scandinaves, avec un endettement inférieur à 60% du PIB. De l’autre côté se côtoient les quatre « cancres », dont la dette publique dépasse 100% du PIB : l’Irlande (108%), le Portugal (108%), l’Italie (120%) et la Grèce (180%). Entre ces deux extrêmes se trouvent le reste des pays de l’Union européenne, telle que la France (86%), dont la dette oscille entre 60% et 100% du PIB [1]. Comment est née la dette publique de la France

Dette souveraine : en avoir ou pas « J’ai donné l’ordre de ne pas payer les intérêts. Le pays est donc en défaut sur sa dette extérieure. Nous savons qui nous affrontons, de véritables monstres qui n’hésiteront pas à tenter d’écraser le pays, mais je ne pouvais pas permettre qu’on continue à payer une dette immorale et illégitime. En tant que président de la République, j’en assume toute la responsabilité. » Qui a tenu cette déclaration le 12 décembre 2008 ?

Related: