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Lancement d'une campagne pour la protection de 35 tribus colombiennes menacées d'extinction Les Nations-Unies ont lancé une campagne pour protéger 35 groupes indiens de Colombie menacés d’extinction. Survival International soutient depuis plusieurs années l’un d’entre eux, les chasseurs-cueilleurs nomades nukak qui vivent en Amazonie du nord-ouest. Cette campagne répond à une série de menaces qui pèsent sur ces groupes : déplacements internes, disparitions, massacres, mines antipersonnel et enrôlement forcé des jeunes dans les groupes armés. En 2010, un article de l’Organisation des Nations-Unies alertait sur ‘le risque d’extinction physique ou culturelle [de ces groupes]’ et déplorait le fait que ‘dans certains cas il était déjà trop tard’. L’ONIC, l’organisation nationale des Indiens de Colombie, affirme pour sa part que 60 Indiens ont été assassinés ces 8 derniers mois. A travers cette campagne, l’Organisation des Nations-Unies espère mobiliser l’opinion sur la situation des peuples les plus vulnérables de Colombie. Un jeune Nukak jouant avec sa famille, Colombie.

Le message prémonitoire des Indiens d'Amérique "Nous avons toujours eu beaucoup; nos enfants n'ont jamais pleuré de faim, notre peuple n'a jamais manqué de rien... Les rapides de Rock River nous fournissaient un excellent poisson, et la terre très fertile a toujours porté de bonnes récoltes de maïs, de haricots, ce citrouilles, de courges... Ici était notre village depuis plus de 100 ans pendant lesquels nous avons tenu la vallée sans qu'elle nous fût jamais disputée. Si un prophète était venu à notre village en ce temps-là nous prédire ce qui allait advenir, et ce qui est advenu, personne dans le village ne l'aurait cru." Black Hawk, chef indien "Nous aimons la tranquillité; nous laissons la souris jouer en paix; quand les bois frémissent sous le vent, nous n'avons pas peur." Chef indien au gouverneur de Pennsylvanie en 1796 "Nous le savons: la terre n'appartient pas à l'homme, c'est l'homme qui appartient à la terre. L'homme n'a pas tissé la toile de la vie, il n'est qu'un fil de tissu. Seattle, chef indien Suquamish

Bolivie : Le peuple Chipaya préserve ses traditions contre vents et marées La culture Chipaya, aujourd’hui menacée, est l’une des plus anciennes du continent sud-américain, et malgré les diverses influences étrangères qui ont touché ce peuple depuis la colonisation espagnole, elle est parvenue par la force de ses croyances (cosmovision) et de ses traditions à survivre à travers les siècles. Des études menées par des scientifiques mettent en évidence que cette culture est plus ancienne que la culture aymara, mais malheureusement elle continue à vivre isolée dans une nature hostile (écosystème) et sans grand appui de l’État, ce qui menace sa pérennité. Au sein de chaque foyer, les plus vieux apprennent à la jeune génération les techniques de tressage, de tissage et de chasse ainsi que l’usage de la langue « Puquina » afin d’éviter l’influence du castillan mais également d’autres langues indigènes comme l’aymara et le quechua. Ils se nourrissent essentiellement de la viande de « Tujo », une espèce animale endémique qui vit dans des terriers en fouillant le sol.

En Amazonie, le bras de fer autour du Belo Monte continue C'est un combat majeur qui se déroule en Amazonie depuis de nombreuses années : la bataille autour du Belo Monte, cet immense barrage qui doit voir le jour dans le nord-ouest du Brésil, sur le fleuve Xingu. Le feu vert définitif pour la construction de l'édifice hydroélectrique a été donné le 1er juin dernier par l’Institut brésilien de l'environnement. Mais les opposants au projet ne baissent pas les bras. Fin août, des manifestations ont été organisées dans quinze pays — du Brésil à la France en passant par le Mexique, les Etats-Unis et le Canada — par plusieurs associations telles que France libertés, Survival ou Amazon Watch. "Préservons la forêt et l'humanité. Non à Belo Monte !" La pétition lancée par le chef Raoni, connu pour ses combats en faveur de la forêt amazonienne et fer de lance de l'opposition au projet, a par ailleurs réuni plus de 100 000 signatures, tandis que des personnalités s'engageaient contre le barrage, comme le chanteur Sting ou le réalisateur James Cameron.

Cent ans après : le mystère irrésolu des esclaves du caoutchouc Une Indienne d’Amazonie a lancé un appel pour lever le voile sur la destinée de deux esclaves indiens amenés en Grande-Bretagne il y a un siècle. Cent ans après la publication d’un article du Daily News sur ses ancêtres Omarino et Ricudo, Fany Kuiru, une Indienne witoto de Colombie, a appelé l’opinion publique ‘à l’aider à connaître le sort qui a été réservé à [ses] frères indiens… afin que [leurs] esprits puissent reposer en paix’. Le consul britannique Roger Casement avait rencontré ces Indiens en 1910 dans le Putumayo, au sud de la Colombie. Roger Casement avait été envoyé par le gouvernement britannique pour enquêter sur les atrocités commises en Amazonie durant le boom du caoutchouc par une compagnie anglo-péruvienne, il avait ramené les deux Indiens au Royaume-Uni pour dénoncer publiquement les horreurs dont il avait été témoin. Télécharger des visuels : Partager actualité

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