Diverses façons de concevoir Dieu Passages choisis 980320 par Larousse, Hachette, etc. 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. Dans sa philosophie critique de la religion, Hume veut découvrir la constitution des différentes représentations historiques de Dieu et interroger leur consistance. L'origine de la religion réside dans des données psychologiques, spécialement lacrainte et l'espoir, qui proviennent de la conscience de la faiblesse et de la fragilité de l'existence. À l'origine, toutes les religions sont polythéistes. Le passage au monothéisme ne s'effectue pas, au départ, pour des raisons rationnelles mais par besoin de valoriser, plus que les autres, une divinité particulière dont on se sent spécialement dépendant, afin d'obtenir un accroissement de sa protection. Le monothéisme est toujours accompagné d'un renforcement de l'intolérance. Au cours du temps, le concept de Dieu devient plus abstrait et plus rationnel, et dépasse ainsi la capacité de compréhension du plus grand nombre, ce qui entraîne un regain de superstition. [14]
Asymétrie cérébrale Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Définition[modifier | modifier le code] En neurosciences cognitives, l'asymétrie cérébrale désigne l'inégale implication des deux hémisphères du cerveau dans les différentes fonctions mentales. L'asymétrie du fonctionnement cérébral a été mise en évidence à la fois par l'étude des conséquences de lésions cérébrales accidentelles sur les facultés cognitives mais aussi, plus récemment, grâce aux techniques d'imagerie cérébrale qui montrent des activations asymétriques suivant les opérations mentales qu'effectue la personne dont on enregistre des indices de l'activité cérébrales. Historique[modifier | modifier le code] L'observation d'asymétries dans le fonctionnement du cerveau a été pris très tôt comme un argument en faveur de la théorie d'un cerveau ayant des zones aux fonctions distinctes, le localisationnisme, contre celle d'un fonctionnement diffus et global, le holisme cérébral. Chaque hémisphère est relié à la partie opposée du corps.
Cerveau droit Cerveau droit Comment fonctionnent nos neurones? - Sciences Le cerveau vu grâce à l'IRM de diffuson DR © Radio France Le cerveau est, sans conteste, l’organe le plus fascinant du corps humain. Au cours des dernières décennies, les chercheurs ont commencé à percer ses secrets les plus intimes. L’un des derniers en date est celui qui fait la Une du magazine Science et Vie du mois d’octobre. Parallèlement aux découvertes dues à de la génétique et à l’étude des cellules nerveuses elles-même, se développe une autre exploration du cerveau qui concerne le fonctionnement des quelque 100 milliards de neurones qu’il contient. A quel point sommes-nous arrivés aujourd’hui dans notre compréhension du fonctionnement du cerveau ? Peut-on percevoir les progrès encore possible dans ce domaine ? Ce savoir peut-il ouvrir la voie à de nouvelles thérapies pour les maladies du cerveau actuellement incurables, telles que la maladie d’Alzheimer ? Comment aborder les questions éthiques qui se poseront lorsque les neurologues pourront lire à livre ouvert dans nos pensées ?
Salam Et si les neurosciences pouvaient aider le changement ? #neuroscience par @ceciledemailly 01net. le 20/08/12 à 10h15 © © 2009 SanFranAnnie, Flickr Cet été, je déjeune en terrasse avec une amie, l’une des gourous 2.0 d’une multinationale française, et nous parlons conduite du changement (oui, oui, même en terrasse l’été). La question qui nous préoccupe est de savoir comment aborder les freins et les résistances au changement à un niveau d’ensemble et de manière efficace. Au niveau individuel, il est possible assez simplement de cibler et d’apporter à chaque personne l’aide spécifique qu’il lui faut. Mais lors d’un changement stratégique important, aucune entreprise ne peut se permettre d’approcher individuellement tous les employés concernés, sans parler des clients, partenaires et autres intéressés. Du coup, j’aimerai profiter de ce billet pour revenir sur quelques idées reçues. Les neurosciences : des binocles plutôt qu’une baguette magique Les neurosciences consistent à étudier le fonctionnement du cerveau à l’aide de toute la technologie d’imagerie médicale disponible.
Hémisphère cérébral Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Reconstruction 3D des deux hémisphères du cerveauhumain vue de dessus (l'avant est à droite et l'arrière à gauche). Chez l'humain, mais aussi chez de nombreuses autres espèces, les hémisphères ne sont pas parfaitement symétriques. Roger Wolcott Sperry (Prix Nobel de physiologie ou médecine en 1981) et Michael Gazzaniga ont démontré que les hémisphères cérébraux humains séparés (par callosotomie) pouvaient fonctionner de façon indépendante et aboutir à des raisonnements distincts à partir des informations auxquelles chacun de ces hémisphères avait accès. Lobes cérébraux[modifier | modifier le code] Les lobes du cerveau humain (l'avant du cerveau est à droite) et le cervelet. Le lobe frontal : à l'avant du cerveau (antérieur)Le lobe pariétal : derrière le lobe frontalLe lobe occipital : à l'arrière du cerveau (postérieur)Le lobe temporal : au-dessous des autres régions (inférieur)Le lobe insulaire : derrière le lobe temporal
Le test de la danseuse Accueil > Introduction > Le test de la danseuse Voici un test qui circule sur internet depuis des années, il ne pouvait pas ne pas être sur ce site, le voici donc. Le test « cerveau gauche ou cerveau droit » est simple : voyez vous la danseuse tourner dans le sens des aiguilles d’une montre ou dans le sens anti-horaire ? Si vous la voyez dans le sens horaire, vous utilisez majoritairement votre cerveau droit, sinon, c’est le gauche. La plupart d’entre nous voyons le sens anti-horaire, mais avec un peu de concentration, il est possible de changer le sens. Personnellement je ne suis pas sur de la pertinence de ce test en revanche ce qui est très interessant c’est, quelque soit le sens dans lequel nous le voyons initialement tourner, de forcer notre cerveau à la voir tourner dans l’autre sens, car là nous faisons faire un vrai travail de transfert d’un hémisphère à l’autre !
Europe - TIFA Le Test Informatisé des Fonctions Attentionnelles (TIFA) (Pépin, Laporte & Loranger, 2006) Équipement requis Coût du logiciel Le Test Iinformatisé des Fonctions Attentionnelles est un instrument élaboré à partir des travaux de recherche de plusieurs théoriciens dans le domaine. Il comprend un ensemble de sous-tests sensés mesurer différentes dimensions du «système attentionnel». Le TIFA requiert une administration individuelle. La correction des sous-tests est automatique et les résultats sont disponibles immédiatement après la passation. Sous-tests: Alerte phasique Temps de réaction – mode visuel Temps de réaction – mode auditif Attention soutenue Attention soutenue – mode visuel Attention soutenue – mode auditif Attention sélective Attention sélective – mode visuel Attention partagée (divisée) Attention partagée – mode visuel et auditif Attention partagée – mode visuel Contrôle attentionnel Contrôle attentionnel – mode visuel Contrôle attentionnel – mode auditif L’alerte phasique
Présentation Sérendipité Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Dans les pays anglo-saxons, les Serendipity shops sont des boutiques où l'on trouve des idées inattendues de cadeaux. En France, le concept de sérendipité, adopté dans les années 1980[1] prend parfois un sens très large de « rôle du hasard dans les découvertes[2] ». Parmi les nombreux exemples de découvertes et inventions liées au hasard, on peut citer : le four à micro-ondes, la pénicilline, le Post-it, le téflon, le Velcro. L'existence de la sérendipité est un argument fréquent dans le débat public pour défendre des options d'organisations interdisciplinaires contre la tendance à la spécialisation croissante des champs qui résulte de l'approfondissement des recherches. Histoire du mot[modifier | modifier le code] Étymologie[modifier | modifier le code] En français, c'est un néologisme créé par calque de l'anglais « serendipity » donc un anglicisme. Origine[modifier | modifier le code] Le mot forgé par Walpole sommeille pendant un siècle[8].
La pensée en arborescence … Voici un dessin que je n’ai pas pu insérer dans le livre que j’ai publié. C’est une tentative pour expliquer ce qu’est la pensée en arborescence (ou pensée analogique) par rapport à la pensée linéaire (ou séquentielle). Nous sommes en général formés depuis la plus petite enfance à réfléchir en établissant des listes déroulantes comme le présente la colonne de gauche. Mais quand un surdoué réfléchit, c’est en feu d’artifice, ainsi que le représente le dessin de droite. Le dessin de droite ne se lit pas de droite à gauche ou de haut en bas : Il faut chercher la bulle centrale (ce sur quoi on est en train de réfléchir) et ensuite cheminer le long de chaque arborescence. Pour résumer tout ça, un petit dessin… Quand il a fallu que je réfléchisse à un plan linéaire pour rédiger mon livre, autant dire qu’il m’a fallu « pas mal » de temps pour trouver un arrangement qui satisfasse à mes envies quelques peu perfectionnistes… Ici, quelques sources pour aller plus loin :