Rue69 - Questions de genre Porte-jarretelles et wheelchair 16H09 03/04/14 Par Lydie Raer Handicapée en mission plan cul : mon immersion sur Adopte un mec Le jeudi 13 mars, je me suis inscrite sur LE site de rencontres dont tout le monde parle : Adopte un mec. Le but de cette inscription était de voir si une jeune femme en situation de handicap pouvait facilement avoir ce que l’on appelle de manière abrupte : un... Des corps masculins entre textualité et matérialité Cette journée d’étude vient conclure le projet innovant « Identités de genre en représentation », qui a donné lieu à un séminaire de recherche de deux ans. Centrée sur les masculinités trop longtemps passées sous silence, elle prend comme point d’appui le trajet intellectuel de Judith Butler elle-même, à qui l’on a reproché, à tort ou à raison, qu’à trop vouloir élargir la notion de productivité performative du genre, on risquait de perdre la matérialité des corps genrés. Nous nous proposons donc de confronter une théorie du genre centrée sur les discours à la question de l’incarnation. Actuellement, les études sur les masculinités et les études queer ont largement déconstruit le masculin et affirmé, dans la droite ligne de Butler, que les corps masculins – au même titre que les autres corps – n’existent pas hors de leurs interprétations et projections culturellement situées! 9h00 Accueil des participants 10h30-10h45 Pause Modération Klaus Wieland (Université de Strasbourg)
Genre! Fallait oser ! Elles osent tout, les « Ni putes, ni soumises » (NPNS), c’est même à ça qu’on les reconnaît. Mademoiselle n’a donc point été très étonnée lorsqu’elle a découvert ce tract où l’on voit une femme et un homme, penchés sur une table, armés d’éponges, d’un plumeau et de détergent. Titre : « Les hommes s’y mettent aussi... », sous-titre : « Au ménage ? Non, au féminisme ! » Rires dans la salle. C’est bien connu, les mecs sont plus à l’aise en tribune qu’avec un balai. Histoire du genre Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le terme de « genre » est préféré à celui de « femmes » car la discipline étudie le rôle attribué à la différence sexuelle plus qu'à cette différence proprement dite. L'histoire du genre étudie ainsi également les hommes[1]. Parmi les œuvres fondatrices du courant : Le Deuxième Sexe de Simone de Beauvoir, Family Fortune. Historiennes des femmes et du genre[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code] Bibliographie[modifier | modifier le code] Violaine Sébillotte Cuchet (dir.) et Nathalie Ernoult (dir.), Problèmes du genre en Grèce ancienne, Publications de la Sorbonne, 2007, 347 p. Notes[modifier | modifier le code] ↑ « the book (...) was shelved under women's history, what about the word 'men' in the title? Voir aussi[modifier | modifier le code] Martin Virginie, Au-delà d'un monde gris flanelle. Articles connexes[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code]
Études de genre Histoire[modifier | modifier le code] À partir du XIXe siècle, la question des personnes transgenres, sans que le mot soit ainsi formulé, trouble en Occident les conceptions sur le sexe et la sexualité : Karl Heinrich Ulrichs parle en 1860 d'« âme de femme dans un corps d’homme ». Toutefois, la question du genre se confond alors avec l'orientation sexuelle, les hommes homosexuels étant perçus comme efféminés[2]. Ce sont les travaux de Margaret Mead qui jouent un rôle précurseur en 1935[3]. Dans les années 1950 aux États-Unis, le psychologue et sexologue controversé[5] John Money formule pour la première fois une définition des rôles de genre (« gender roles ») dans des études qui portent sur l'hermaphroditisme. À partir des années 1970, les féministes reprennent le concept de genre dans une perspective critique. Ces travaux d'inspiration féministe remettent également en cause la vision androcentrée du savoir académique[7]. Description[modifier | modifier le code] Des études biaisées ?
Gender Company - Une initiative de Natacha Henry Née en 1968, franco-britannique. > En développement, 10 courts métrages d'animation pour l'association Libres Terres des Femmes (scénarios, co-réalisation, production déléguée). . SIx films sont déjà disponibles, en 9 langues. A VOIR ICI > En développement, brochure pour les mères en situation de violences conjugales, 20 pages, graphisme Magali Meunier. > Traductrice pour Cultures Monde sur France Culture. > Interventions sur les medias et le sexisme: ENS, Paris 3/Paris 6, collèges. > Interventions à l'Ecole Normale Supérieure, Sciences Po, l'Ile Maurice, sur les Violences conjugales. Membre de l’équipe France Psytel du projet DAPHNE III/ Programme de la Commission européenne de lutte contre les violences et pour la protection des victimes. Court métrage: Tu sais ce que c'est une relation? Publication de la nouvelle édition de l''essai Les mecs lourds ou le paternalisme lubrique, Gender Company Médias: plateaux France 24, France 0, Direct 8, Europe 1, 20 Minutes etc. Conférences : 1995 à 1998
Berdache Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Terminologie[modifier | modifier le code] Le terme « berdache » n'est pas d'origine amérindiene. Définition et rôle social[modifier | modifier le code] La société berdache s'appuie sur le principe du troisième sexe social. La détermination des two-spirit people[modifier | modifier le code] Les chamans ne choisissent pas de devenir ce qu'ils sont. Deux-Esprits historiques[modifier | modifier le code] Deux-Esprits modernes[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code] Articles connexes[modifier | modifier le code] Bibliographie[modifier | modifier le code] en anglais Cameron, Michelle (2005), Two-spirited Aboriginal people: Continuing cultural appropriation by non-Aboriginal society. en français Désy, Pierrette (1977). « L'Homme-femme. Liens externes[modifier | modifier le code]
Différence des sexes Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La différence des sexes, outre ses aspects anatomiques et sociaux, est un sujet d’étude de la psychanalyse visant à expliquer l’asymétrie des rôles attribués aux hommes et aux femmes, des positions adoptées par les unes et les autres, et de l’image que chacun des deux sexes se fait de lui-même et de l’autre. Sigmund Freud[modifier | modifier le code] L’apport[1] de Sigmund Freud a été de montrer que « la sexualité qui est salutaire à la civilisation » ne relève pas d’un instinct génital ou de la biologie. La différence des sexes, au sens anatomique, ne relève pas forcément d’une identité sexuelle biologique mais chacun négocie la question de la différence des sexes et de sa propre position subjective comme être sexué et son rapport à un autre être sexué. Est-ce à dire qu’il n’existe pas de différence entre hommes et femmes ? Helene Deutsch[modifier | modifier le code] Jacques Lacan[modifier | modifier le code]
Genre (sciences sociales) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir genre. Une femme à l'usine pendant la Seconde Guerre mondiale, occupant ainsi un rôle traditionnellement vu comme masculin. Le genre est un concept utilisé en sciences sociales pour désigner les différences non biologiques entre les femmes et les hommes. Alors que le sexe fait référence aux différences biologiques entre femmes et hommes, le genre réfère aux différences sociales, psychologiques, mentales, économiques, démographiques, politiques, etc. Le genre est l'objet d'un champ d'études en sciences sociales, les études de genre. Le mot « genre » vient du latin « genus », devenu en ancien français « gendre ». En 1972, la sociologue Ann Oakley reprend le terme « genre » tout en s'écartant des définitions de Money et Stoller : elle s'appuie sur l'articulation entre nature et culture développée par Claude Lévi-Strauss pour renvoyer le sexe au biologique et le genre au culturel.
Androgynie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Sur les autres projets Wikimedia : androgynie, sur le Wiktionnaire Ce terme a servi à caractériser des êtres humains ambigus, mais peut aussi renvoyer à une figure religieuse. Confusion[modifier | modifier le code] Ce terme n'est pas à confondre avec des tendances homosexuelles et transidentitaires. Histoire[modifier | modifier le code] Antiquité[modifier | modifier le code] Les peuples de l'Antiquité faisaient une nette différence entre ce que Mircea Eliade appelle l’« hermaphrodite concret » et l’« androgyne rituel » : un nouveau-né présentant des signes d'hermaphrodisme était dans certaines cultures et à des époques particulières, considéré comme un signe de la colère des dieux et mis à mort sur le champ. Ainsi, chez les Romains, la naissance à Sinuessa d'un androgyne durant la deuxième guerre punique est rangée avec d'autres phénomènes hors normes, tous considérés comme des prodiges, signes de la colère des dieux.