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Life Inc

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Books Life Inc. How Corporatism Conquered the World,and How We Can Take It Back This didn't just happen. In Life Inc., award-winning writer, documentary filmmaker, and scholar Douglas Rushkoff traces how corporations went from a convenient legal fiction to the dominant fact of contemporary life. This fascinating journey reveals the roots of our debacle, from the late Middle Ages to today. Most of all, Life Inc. shows how the current financial crisis is actually an opportunity to reverse this 600-year-old trend, and to begin to create, invest and transact directly rather than outsourcing all this activity to institutions that exist solely for their own sakes. Corporatism didn't evolve naturally. Rushkoff illuminates both how we've become disconnected from our world, and how we can reconnect to our towns, to the value we can create, and mostly, to one another. Taking on some of the biggest assumptions of our age, this is a book filled with dangerous ideas and rather unspeakable heresies:

Vivre sans feux rouges, c’est possible ! De mémoire de Lausannois, on n’avait jamais vu ça. Ce mercredi 7 septembre, entre 7h45 et 8h50 du matin, une quinzaine de jours après la rentrée des classes, en pleine semaine et à l’heure de pointe, il n’y avait pratiquement aucun bouchon dans la capitale vaudoise. Selon Georges-Marie Bécherraz, qui rapporte l’événement pour 24heures.ch, « le trafic s’est écoulé avec une fluidité comme on n’en voit que le dimanche à une heure pareille de la journée ». On aurait pu s’attendre à un embouteillage monstre, à de la tôle froissée et à quelques solides empoignades entre Helvètes exaspérés mais rien de tout cela ne s’est produit : la circulation a rarement été aussi fluide, on n’a pas déploré le moindre accrochage et tout s’est passé dans la bonne humeur. Ce que nos voisins vaudois ont vécu est une expérience de coopération sociale. C’est en tout cas ce que semble en avoir retenu M. Article en accès libre. envoyer More Sharing Services

La démocratie directe de la Puerta del Sol Ce texte est précédé d’une chronique écrite par un autre historien de l’Université Autonome de Madrid, Juan Luis Simal, qui permet de replacer les événements de la semaine dernière dans leur contexte. Chronique d’un mouvement horizontal, par Juan Luis Simal Pendant la semaine qui a précédé les élections du 22 mai ont eu lieu des protestations pacifiques dans les villes de toute l’Espagne, relayées à l’extérieur du pays, et qui ont réuni des milliers de personnes. Elles ont été baptisées de diverses manières, dérivées des plateformes qui les ont promues, des appellations utilisées pour les dénommer dans les réseaux sociaux, et de la presse : Democracia Real Ya (Une vraie démocratie maintenant), mouvement 15-M, #spanishrevolution, Indignados (Indignés), acampadasol (campement Sol), tomalaplaza (Prendslaplace), nonosvamos (Nousnepartironspas), yeswecamp etc. Rassemblement à Barcelone (cc)Nora Gonsalvis Il s’agit d’un mouvement horizontal de citoyens qui ne représentent qu’eux-mêmes.

Francis Pisani : "Il faut remettre en question le concept d'innovation" “Il n’y aura pas de web 3.0 après le web 2.0″, expliquent Dominique Piotet et Francis Pisani, dans la seconde édition de leur ouvrage, “Comment le Web change le monde ?”. Analyste dans la Silicon Valley et journaliste indépendant longtemps basé en Californie, les deux co-auteurs préfèrent le terme de “Web Métis”, une imbrication de technologies et de nouveaux usages. À l’occasion de la conférence “Du web 2.0 au web métis”, ce vendredi 9 septembre à La Cantine, Francis Pisani nous ouvre une fenêtre sur le web de demain. Pourquoi parlez-vous de « Web Métis » ? Je vais répondre de façon alambiquée. Je suis en train d’écrire un billet intitulé La mort existe-t-elle vraiment ? Pour définir le « Web Métis », vous évoquez un futur des technologies de l’information marqué par l’hyperconnectivité, la mobilité, l’importance des réseaux sociaux… Les réseaux sociaux sont un bon exemple de ce « Web Métis ». Les États se sont rendu compte qu’il se passait quelques chose qui leur échappait.

FRANCE CULTURE, Place de la Toile, samedi 10 septembre à 18h10 Le podcast est déjà en ligne ! J’ai été l’invité de Place de la Toile, autour des ordinateurs et de la crise financière. Les ordinateurs dans la crise : blâmer des algorithmes plutôt que des hommes ? Nous avons évoqué à la fois Le capitalisme à l’agonie (Fayard 2011) et La guerre civile numérique (Textuel 2011). La simulation des marchés boursiers dont je parle se trouve ici. Romain Vitorge a pris la peine de transcrire l’émission. Paul Jorion Bonjour PJ Ah non, elle n’est pas négligeable du tout, elle fait partie d’une crise plus large qui est celle, je dirai, de la complexité en général, mais nous avons introduit la complexité délibérément dans nos environnements en introduisant, non pas le main frame, le gros ordinateur des années cinquante, mais en introduisant la micro informatique dans notre vie quotidienne, et nous avons la capacité de faire des choses qui nous dépassent de beaucoup et ça a été le cas bien entendu en finance comme dans le reste. XP C’est à dire, vous pensez à quoi ?

Rapport des Ponts sur les données publiques remis aujourd'hui au Ministre de l'Economie numérique - Pour une politique ambitieuse des données publiques Romain Lacombe a remis aujourd'hui, 13 juillet 2011, à Monsieur Eric Besson, Ministre de l'Industrie, de l'Energie et de l'Economie numérique, le rapport sur l'ouverture et la réutilisation des données publiques qu'il a co-écrit avec trois élèves du Mastère d'Action Publique de l'Ecole des Ponts ParisTech. Pour une politique ambitieuse des données publiques - Ecole des Ponts ParisTech - Rapport Données Publiques... Les auteurs proposent un tour d’horizon des premières initiatives d’Open Data à travers le monde, une analyse des obstacles auxquels les politiques publiques en la matière peuvent se heurter, et une étude des bienfaits démocratiques et économiques que la société peut retirer de la réutilisation des données publiques. La réutilisation des données publiques est un enjeu majeur de l’action publique à l’ère numérique. L’ouverture des données de l’État et de la sphère publique est un projet de longue haleine.

L’économie du Partage face au modèle économique dominant Il faut parfois savoir revenir aux fondamentaux. Particulièrement dans les périodes de crises structurelles comme celles que nous traversons aujourd’hui et qui remettent directement en cause les bases mêmes de nos économies. Nous ne pourrons pas comprendre ce que signifie économie du partage si l’on ne se demande pas d’abord ce que le mot « économie » veut vraiment dire. Je m’en tiendrai à la définition de Wikipédia qui me paraît être assez juste et inspirante : L’économie est l’activité humaine qui consiste en la production, la distribution, l’échange et la consommation de biens et de services. Si l’on s’intéresse aux modifications structurelles que l’on doit apporter à nos économies, il faut se poser des questions telles que : Comment produit-t-on ? Je me suis demandé si nous pouvions comparer point par point le modèle économique dominant issu des théories classiques avec l’économie du Partage, modèle émergeant et prometteur mais qui doit encore prouver sa validité.

You Are Solving The Wrong Problem There is some problem you are trying to solve. In your life, at work, in a design. You are probably solving the wrong problem. Paul MacCready, considered to be one of the best mechanical engineers of the 20th century, said it best: “The problem is we don’t understand the problem.” Story time. It’s 1959, a time of change. Paul MacCready holding a “Speed Ring”, a device he invented for competitive glider flying. Thanks to Alan Kay for turning me on to this story. A decade went by. MacCready’s insight was that everyone working on solving human-powered flight would spend upwards of a year building an airplane on conjecture and theory without the grounding of empirical tests. The problem was the problem. The first airplane didn’t work. 18 years had passed since Henry Kremer opened his wallet for his vision. What’s the take-away?

Anarchists should be reported, advises Westminster anti-terror police | UK news What should you do if you discover an anarchist living next door? Dust off your old Sex Pistols albums and hang out a black and red flag to make them feel at home? Invite them round to debate the merits of Peter Kropotkin's anarchist communism versus the individualist anarchism of Emile Armand? No – the answer, according to an official counter-terrorism notice circulated in London last week, is that you must report them to police immediately. This was the surprising injunction from the Metropolitan Police issued to businesses and members of the public in Westminster last week. There was no warning about other political groups, but next to an image of the anarchist emblem, the City of Westminster police's "counter terrorist focus desk" called for anti-anarchist whistleblowers stating: "Anarchism is a political philosophy which considers the state undesirable, unnecessary, and harmful, and instead promotes a stateless society, or anarchy.

Quitter Facebook et rester connectés : l’aube des réseaux sociaux décentralisés Image originale par Rishibando Lors de la conférence de développeurs Facebook (f8) du 22 septembre dernier, le PDG de la firme, Mark Zuckerberg, présente la nouvelle version du populaire réseau social : il déclare que les nouvelles fonctionnalités de Facebook permettront dorénavant un partage « sans frictions » (frictionless sharing). Cette annonce est suivie par le dévoilement d’un reformatage radical des profils des utilisateurs, ainsi que d’un historique (timeline) qui liste en ordre chronologique toutes les informations que les utilisateurs ont partagées dans le passé au moyen du site. Zuckerberg note également que les applications tierces ayant accès au service pourraient dans le futur (avec l’accord des utilisateurs) partager automatiquement toute action entreprise par l’usager, que ce soit l’écoute d’une chanson ou le visionnage d’une vidéo.

Can I Trust You Really?: The Reputation Currency Startups like TrustCloud would like to become the portable reputation system for the web. The company is building an algorithm to collect (if you choose to opt in) your online "data exhaust" -- the trail you leave as you engage with others on Facebook, LinkedIn, Twitter, commentary-filled sites like TripAdvisor, and beyond -- and calculate your reliability, consistency, and responsiveness. The result would be a contextual badge you'd carry to any website, a trust rating similar to the credit rating you have in the offline world. Facebook also has the potential to become the arbiter of online trust. "The incentive to be a good player in that ecosystem goes up dramatically when it's associated with my real identity," says Carl Sjogreen, manager of Facebook's platform product team., "because if someone leaves a bad review of me on AirBnB, that will carry with me to the rest of the web.” Prepare for the worst, so users can trust So, do you think you can trust me?

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