Brésil: le barrage de la discorde [Mise à jour 17 août 2012: Un tribunal fédéral a demandé l'arrêt des travaux, au motif que les Indiens n'ont pas été consultés avant leur mise en oeuvre.] Fin août 2011, des manifestations ont été organisées dans quinze pays, du Brésil à l'Iran en passant par les États-Unis et le Canada, contre le grand projet hydroélectrique Belo Monte sur le fleuve Xingu, en Amazonie. Le futur troisième plus grand barrage au monde inondera 500 km2, forçant plus de 16.000 personnes à se déplacer. "Préservons la forêt et l'humanité. Alstom visé En France aussi, une manifestation d'opposants au projet s'est déroulée le 20 août devant la grande Arche de la Défense. Cette action contre Belo Monte n'est pas anodine. Ses propos ont cependant reçu un écho plus que modéré puisque selon l'AFP, les manifestants français étaient seulement une cinquantaine. Regardez la vidéo: Les travaux ont débuté Lles constructions de Belo Monte ont bel et bien débuté selon le collectif brésilien opposé au barrage Xingu Vivo.
CO2 Now | CO2 Home Monsanto crimes contre l'humanité Hermann Scheer - Home Greenspace - Environmental news from California and beyond The U.S. Fish and Wildlife Service is investigating the killing of a female Mexican gray wolf that had been denning with pups in New Mexico. The animal, known as F1108, was found in late June shot to death, authorities said. Her pups were assumed to be dead. The 6-year-old female was born in the wild, captured with her pack and placed in New Mexico's Sevilleta National Wildlife Refuge. She and a male were released in May and placed in a temporary pen in the Gila National Forest. The female whelped her pups, but signals from her radio collar indicated that she, too, was on the move. Federal authorities provided no further information except to say the case is under investigation. Endangered species protections for wolves in the Northern Rockies and Great Lakes were removed...
La typologie 2011 des consommateurs face au développement durable C’est à partir de son enquête annuelle sur les Français et la consommation durable (voir notre article d’avril 2011), que le cabinet Ethicity a établi, en collaboration avec Aegis Media, une typologie des consommateurs. Ainsi, en fonction de la manière dont ces derniers intègrent le développement durable dans leurs comportements, on peut identifier les leviers à activer pour les inciter à aller vers une consommation plus responsable. La présentation des résultats de l’étude s’est déroulée le 8 septembre au Comptoir Général, en présence de Dominique Dron, Commissaire Générale au développement durable. On constate tout d’abord que les consommateurs français se différencient avant tout en fonction de leur pouvoir d’achat et de leurs convictions, et que par conséquent les caractéristiques telles que l’âge ou la CSP sont moins segmentantes quand il s’agit de consommation responsable. L’analyse a permis d’identifier 3 grands groupes de consommateurs, qui ont été répartis en 8 sous-groupes :
How Australians were ready to act on climate science 25 years ago … and what happened next | Environment There’s something about climate change that almost everyone in Australia has either forgotten or never knew in the first place. In 1990 Bob Hawke announced his government wanted the country to cut greenhouse gas emissions by 20% by the year 2005. For a fleeting moment, it seemed the Australian public, politicians and the media were in agreement with the science. But a new book investigates how the industries that stood to lose the most worked to undermine the science and entirely reshape the story being told to the public. “We have been propagandised,” says the author, Maria Taylor. Hawke was ready In 1989 Hawke described a “growing consensus amongst scientists” showing there was a strong chance that major climate change was on its way, that this change was linked to human activity, and this could have “major ramifications for human survival” if nothing was done. The UN’s intergovernmental plan on climate change delivered its first blockbuster assessment of the climate science in 1990.
Vache Folle et Lait De AVE (Association Végétalienne Espagnole) Español - Français L'exploitation de la vache La vache est un animal herbivore noble exploité pour sa chair, son lait et sa peau, dont le bien-être, comme celui du bœuf ou du taureau, ne cause pas de grandes préoccupations dans un pays principalement "tauricide". Le bétail n'est pas une chose ou simplement une marchandise prédestinée à satisfaire les aberrantes habitudes alimentaires humaines, mais un animal sensible et pacifique qui mérite le plus grand respect. Son espérance de vie de plus de vingt ans se voit cruellement tronquée et frustrée par une fin d'existence brève dans un abattoir lugubre, à l'âge de trois ou quatre ans. Statistiquement, l'Espagne est, après le Danemark, la plus grande consommatrice de viande par habitant de l'Europe. Contrairement à ce qui se passe avec les moutons et les cochons, au lieu de provoquer la naissance de jumeaux chez les vaches, on a développé la transplantation d'embryons. Les "Vaches Folles" rapide. 1.