Écrire un roman d’héroic fantasy GNA HA HA HA HA ! JE SUIS DIEU ! Je crée des mondes fabuleux et je les détruis d’une simple pression du doigt. J’invente des monstres d’une laideur repoussante, leur haleine fétide empestant le brocoli pourri. Dans ma grande mansuétude, j’abandonne mes héros dans des contrées dangeureuses où ils doivent mettre la clé à molette dans le pot de fleur pour trouver la sortie… … Bon, je pense que vous avez compris le principe. Voici une trentaine de questions auxquelles vous devez répondre en les étoffants le plus possible (Autrement dit, faites chauffer vos neurones ! 1- Y a-t-il plusieurs peuples ? 2- Où se situe votre monde ? 3- Est-ce qu’une certaine forme de technologie existe ? 4- La science est-elle développée ? 5- Comment est la médecine ? 6- Quel genre d’arts retrouve-t-on ? 7- Est-ce qu’il y a de la magie ? 8- Où est Charlie ? 9- Y a-t-il une malédiction qui pèse sur le monde ? 10- Y a-t-il des monstres, des créatures surnaturelles ? 13- Comment est la température ? 32- Etc.
Le mind mapping, arme fatale du community manager Cet article a été publié il y a 3 ans 2 mois 4 jours, il est possible qu’il ne soit plus à jour. Les informations proposées sont donc peut-être expirées. Le mind mapping (également connu sous le nom de carte heuristique) se présente sous la forme d’une arborescence, formée autour d’un concept central dont découlent plusieurs ramifications, par association d’idées. C’est tout simple, et à vrai dire cela n’a rien de novateur, mais c’est une méthode précieuse pour structurer sa pensée dans deux cas paradoxalement opposés : soit quand votre tête fourmille d’idées au point que vous avez peur d’en oublier une dans l’excitation, soit quand vous manquez cruellement d’inspiration et qu’un peu de logique ne vous ferait pas de mal. On trouve en ligne de nombreux logiciels gratuits pour s’initier au mind mapping (Freemind, XMind, Bubbl.us pour ne citer qu’eux… ), mais bien sûr, on peut tout aussi bien dessiner sa carte heuristique sur une simple feuille de papier !
Ecrire une saga d'Héroïc Fantasy Naturellement, il vous faudra un peu d’investissement personnel. Je présume que vous disposez déjà d’un ordinateur, puisque vous lisez cette chronique. De même, j’imagine que vous avez à votre disposition un traitement de texte (avec correcteur orthographique incorporé) et quelques après-midi libres. L’hiver approche, il n’y a rien sur TF1... Vous avez toutes les cartes en main ! Première chose, le titre : Il doit être choisi avec circonspection, mais peut n’avoir aucun rapport avec le sujet qui sera traité dans votre saga (encore que ça peut aider). Il y a quelques critères à respecter. Un exemple. Chronique des Morts Evocatrices : un titre évocateur donc, qui associe de façon incongrue un adjectif au terme porteur d’impact qui en constitue l’élément quasi « réglementaire ». Or donc, un sous-titre, pour le premier tome. « Chroniques des Morts Evocatrices : Le prince perdu de la lande noire. » « Je suis le ténébreux, le veuf, l’inconsolé, le Prince d’Aquitaine à la tour abolie. Voilà.
Léonard de Vinci Invention Arbalète Géante One thing Leonardo da Vinci may have understood better than any of his contemporaries was the psychological effects of weapons in warfare. Da Vinci knew that the fear weapons could instill in enemies was just as important (if not more so) than the damage they could actually inflict. This was one of the main ideas behind many of da Vinci’s war inventions – among them, his giant crossbow. Designed for pure intimidation, da Vinci’s crossbow was to measure 42 braccia (or 27 yards) across. The device would have six wheels (three on each side) for mobility, and the bow itself would be made of thin wood for flexibility. Rather than fire giant arrows, Leonardo’s crossbow instead seems to be designed to fire large stones or possibly flaming bombs. The giant crossbow invention is a great example of the way da Vinci’s artwork really brought his ideas to life. For more information on Leonardo da Vinci’s giant crossbow invention, please visit:
Cyberpunk Studies Comment faire un nuage de mot(s) dans un mot J’ai eu une petite commande récemment qui consistait à insérer une nuage de mots dans un mot. J’ai choisi le mot AMOUR (1) pour l’exercice. 1) aller sur le site gzaas.com. Ce site est normalement fait pour envoyer des twitts. Dans l’exercice il faut choisir, une police convenable (chewy ((2), des lettres en noir (3) et un fond blanc (4) Il faudra ensuite faire une copie d’écran. Ensuite, je lance le logiciel photoscape (liste de sites pour télécharger photoscape) et rogner la copie d’écran, puis appuyer sur Enregistrer (en bas à droite). Et voilà le résultat de l’image récupérée. Pour faire un nuage de mots plutôt sophistiqué, il faut aller sur le site htagxedo.com. Vous allez déjà avoir un beau résultat avec la forme par défaut, mais il faut maintenant créer le nuage de mot dans l’image avec le mot « AMOUR ». Ajuster si nécessaire les paramètres comme blur (1) qui permet de grossir les caractères, puis appuyer sur Accept (2). D’autres essais!
Brandon Sanderson: Sanderson's First Law Introduction I like magic systems. That’s probably evident to those of you who have read my work. A solid, interesting and innovative system of magic in a book is something that really appeals to me. True, characters are what make a story narratively powerful—but magic is a large part of what makes the fantasy genre distinctive. For a while now, I’ve been working on various theories regarding magic systems. I’d like to approach the concept of magic in several different essays, each detailing one of the ‘laws’ I’ve developed to explain what I think makes good magic systems. The Law Sanderson’s First Law of Magics: An author’s ability to solve conflict with magic is DIRECTLY PROPORTIONAL to how well the reader understands said magic. When I applied to be on the programming of my very first Worldcon (following my sale of Elantris, but before the book was actually released) I saw that they were doing a “How does the magic work?” It my very first panel at the convention. “Well,” I said.
Créer des infographies en ligne : outils et bonnes pratiques La visualisation des données offre aux professionnels une manière innovante de communiquer des informations. Éditeurs web et journalistes, services de communication d'entreprise, spécialistes du marketing -et plus généralement les professionnels amenés à faire des présentations publiques- recourent aux infographies pour mettre en valeur l'information, la vulgariser et la contextualiser. Si la création d'infographie est avant tout un métier, elle est aujourd'hui également accessible aux non-initiés. Bonnes pratiques Cerner l'objectif d'une infographie : traduire simplement des données complexes, pour comparer ou mettre en valeur des informations, dégager une tendance/évolution, dresser un bilan, etc. Enfin, penser à s'appuyer sur des outils existants : comme Microsoft Excel, qui permet de générer de manière très soignée une grande variété de diagrammes qui pourront ensuite être intégrés à l'infographie. Les grands types de diagrammes Chronologie Camemberts Graphes à barres comparées Tree maps