Les abeilles plus que les pesticides pour le colza
Les producteurs de colza sont prévenus : mieux vaut utiliser des abeilles plutôt que des produits phytopharmaceutiques dans les parcelles. C'est plus rentable, selon une étude menée par des chercheurs de l'Inra et du CNRS, publiée dans la revue Proceedings of the Royal Society London B. Un producteur de colza qui veut optimiser ses rendements a deux stratégies : utiliser des pesticides ou avoir des abeilles. De 2013 à 2016, Vincent Brétagnolle, directeur de recherches au CNRS, a étudié avec ses collègues de l'Inra plus de 300 parcelles de colza et de tournesol, dans les Deux-Sèvres.
Il faut lire les commentaires délirants à la suite des articles traitant du dernier Envoyé spécial. J'espère que le Conseil supérieur de l'audiovisuel - CSA les prendra en compte. La rage se déchaîne, la peur... "Ce poison TUE !" Ils prouvent que ce repor
Il faut lire les commentaires délirants à la suite des articles traitant du dernier Envoyé spécial. J'espère que le Conseil supérieur de l'audiovisuel - CSA les prendra en compte. La rage se déchaîne, la peur... "Ce poison TUE !" Ils prouvent que ce reportage a désinformé à plein...
L’agriculture de conservation
Les systèmes de culture en agriculture de conservation se développent dans le monde depuis plusieurs décennies, et gagnent du terrain aussi en France. L’agriculture de conservation a été officiellement définie par la FAO en 2001, comme reposant sur trois grands principes : couverture maximale des sols, absence de labour, rotations longues et diversifiées. En théorie, ces trois principes doivent être appliqués simultanément, car, en l’absence de labour, la couverture du sol et la diversification des rotations permettent de maîtriser les adventices et de diminuer la pression des ravageurs. On obtient dans l’idéal un agroécosystème dans lequel les régulations écologiques permettent de diminuer l’artificialisation du milieu (intrants, travail du sol), mais cela suppose des changements profonds dans la conduite des systèmes de culture par rapport à l’agriculture conventionnelle.
L’Agriculture de Conservation et sa diffusion en France et dans le monde
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Le ROMARIN, Rosmarinus officinalis, plante médicinale, foie et voies biliaires, huile essentielle de romarin tonique et antiseptique, condiment dans l'alimentation
Les cookies Google Analytics Ce site utilise des cookies de Google Analytics, ces cookies nous aident à identifier le contenu qui vous interesse le plus ainsi qu'à repérer certains dysfonctionnements. Vos données de navigations sur ce site sont envoyées à Google Inc Le romarin est une plante typiquement méditerranéenne. C ’est un arbrisseau, très ramifié, assez touffu, aux feuilles petites et étroites dont la face supérieure est convexe un peu luisante, l’intérieure concave et blanche. Les fleurs sont discrètes, violettes, parfois plus claires voire blanches, typiquement bilabiée avec deux étamines bien visibles.
Les 10 aliments à consommer bio absolument
Passer à une alimentation bio ne se fait pas du jour au lendemain. C'est le fruit d'un cheminement de pensée, mais aussi une rupture avec son mode de consommation. Quels sont donc les principaux aliments qu'il faut acheter bio ? Si le ministère de la santé nous incite à manger 5 fruits et légumes par jour ce qu'il ne précise pas, c'est qu'il est préférable de consommer des aliments bio. En effet, les pesticides utilisés constituent un risque important pour la santé des consommateurs et le rinçage seul ne suffit malheureusement pas à limiter les risques d'ingestion de résidus de pesticides. Le seul moyen d'être certains de ne pas consommer de produits chimiques reste l'alternative bio.
Glyphosate et Roundup dans Envoyé Spécial : réponse de Gilles-Eric Séralini
Le 17 janvier 2019, Envoyé Spécial diffusait sur France 2 une enquête sur le glyphosate, sous la houlette d'Elise Lucet et son équipe. L'émission se déroulait en plusieurs phases, remettant notamment sur la table l'affaire des Monsanto Papers. Celle-ci révélait en 2017 que Monsanto avait eu recours à la pratique du "ghostwriting", forme grave de fraude scientifique qui fait appel à des "rédacteurs fantômes" signant des études pour leur apporter une crédibilité. Cette affaire dévoilait également que le géant de l'agrochimie avait rémunéré des experts pour rédiger des synthèses niant l'effet cancérogène du glyphosate. Dans la ligne de mire de cette affaire des Monsanto Papers se trouve notamment le Professeur Gilles-Eric Séralini et son équipe de chercheurs ayant abouti à deux conclusions majeures : la toxicité du Roundup et du maïs OGM NK603, un maïs OGM manipulé par Monsanto pour tolérer les herbicides à base de glyphosate.
Des robots désherbeurs pour réduire les pesticides
Comment lutter contre les plantes indésirables dans les cultures, qu'on appelle parfois "mauvaises herbes" ? Les arracher à la main est long et fastidieux, recourir aux pesticides peut s'avérer nocif pour la santé et l'environnement. Pourtant, une alternative existe et connait une croissance rapide depuis quelques années: les robots de désherbage.